Le samedi, c'est nostalgie.

Samedi, 29 mars 2008.

J'étais en train de faire des bidules et des machins ce matin (je te détaille pas le programme parce que e sais plus ce que je oabcem exactement (je te rappelle que oabcem  a la forme "oabcem" à tous les temps toutes les personnes)) et tout à coup (suspens) je me suis souvenue de Draculito.



Tu regardais Draculito mauvais marché ? Parce que c'était quand même super bien (dans mes souvenirs du moins).
Et donc voilà, séquence nostalgie, hop, hop Youtube et la vidéo du générique (je suis pas dinguotte, je mets plus un doigt de pied sur Coucoucircus, ça rend rapidement dingue ce truc, tellement tu t'extasies et t'égosilles sur les génériques de ton enfance).

Et puis ce faisant j'ai repensé à Robin des bois Junior, et ça c'est toute une histoire d'amour, il était quand même beau Robin des bois Junior, nan ?




Et du coup, si le trèfle t'en dit, regarde les vidéos, c'est les deux génériques, et si le trèfle t'en dit pas, bah le fais pas, hein, personne va te forcer avec un canif sous la carotide.

De krommlech.

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La chute enceinte.

Samedi, 22 mars 2008.

Elizabeth Teissier, par voie de programme télé (les lectures philosophiques du samedi) vient de m'annoncer une naissance ou une chute enceinte pour la semaine qui vient.
Rapport au fait que j'ai pas l'air sur le point d'accoucher, je suppose que ça veut dire que je vais tomber enceinte.
Ensuite elle a dit je vais vivre amour-passion vendredi prochain.

Le point est que pomme de pin est au pays des Bretons pour une semaine, dois-je en conclure que je vais faire un enfant dans son dos ? Cette bougresse de Babette me pousserait-elle à l'infidélité ?

Le suspens est à son comble.


Elizabeth n'a-t-elle pas lu dans les astres
qu'elle devrait changer de rouge à lèvres ?


P.S. : En fait j'avoue c'est pas Babette le coup du je vais tomber enceinte, elle elle m'a juste parlé d'amour-passion, sauf que je sais pas le nom de l'autre (deux horoscopes pour le prix d'un) donc je mets tout dans la même sacoche.

De krommlech.

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Bon.
Bon. Haribo (haha).
C'est beau la vie. Point.

Bref. Le 20 mars 2006 (tiens ça fait deux ans pile poil poule, je fais dans la coïncidence, tu remarques un peu ?), je disais donc, le vingtième jour du mois de mars de l'an de grâce 2006, c'était le demi-anniversaire de Nicolas. Parce qu'il est né le 20 septembre 1985 et donc ce jour là il a eu 20 ans et demi.
Et aujourd'hui il a 22 ans et demi, donc, si tu suis.


Oh le grand garçon !

Mais sérieusement, c'est pas ce dont je voulais te parler. Mais quand même je fais pas du total hors-sujet, sinon des fois y'a des profs qui retirent des points (pour du travail en plus, diantre) et je voudrais pas avoir une très sale note.
Note (haha) que j'ai conscience que je suis pas notée (heureusement entre les syntaxes hésitantes et les mots inventés, les expressions remaniées, et l'inintérêt global des sujets, j'irais pas loin).

Donc il se trouve que par hasard le 20 mars 2006 après mes cours et en attendant le train je vaquais sur les ordis du lycée (la Terminale et ses révisions pour le bac, c'est bien connu) et c'est là que pour la première fois de ma vie (instant d'émotion) j'ai aperçu le pseudo Tigrou143.
Voilà.

Non je continue un brin sur le sujet, ça me palpite (si toi pas, qu'y puis-je, mon brave ?).

Enfin attends avant de t'affoler, je te raconte pas toutes les turpitudes qu'il y a eu depuis, parce que ça a beaucoup turpituré.
Surtout que depuis le temps que je raconte blogifèrement ma vie, j'en ai narré pas mal, des turpitudes. Toutes plus intéressantes les unes que les autres, ça va sans dire. Note qu'il y a une des turpitudes qui a disparu de mon blog, à propos d'une lettre que j'ai reçu le 18 avril, j'y pense (entres autres machins qui ont été censurés, mais très peu, dans l'ensemble).

Bah du coup je me dis que je vais pas palabrer des masses sur le sujet, si je dis pas les turpitudes. Fichtre, te voilà marri, j'suis sûre.

Juste (Leblanc), tu sais que le monsieur, dans l'ensemble, m'a fait passer par une gamme d'émotions très variée (c'est la gamme qui est variée, nan ?), par moults sourires et multiples fous rires ?
Oui, tu sais, je sais, je raconte trop ma vie.

Attends, je cherche un truc que tu sais pas.
Une anecdote pas spécialement croustillante (je préfère les nuggets quand c'est mou le dessus, tu vois).
Pour meubler comme avec une commode. C'est bien commode, les anecdotes (je te fais un plein de blagues pas drôles pour le week-end de Pâques).

Oui tu sais que pendant les deux premières semaines où on s'est parloté, (nan je raconte pas ça, haha, on va me prendre pour une pas-innocente fille (alors que je suis une innocente fille)).

Là ça se voit pas parce que je fais des effets spéciaux et tout, mais ça fait bien mille ans que je cherche quelle anecdote servira d'armoire (au milieu de convers MSN, j'avoue).

Parce qu'en fait, à moi-même personnellement (si t'avais pas encore remarqué que ma nouvelle passion c'était le redondant) les anecdotes elles me palpitent toutes (égocentrisme, bonjour "mais bien sûr vu que je suis concernée" égocentrisme au revoir) mais toi-même, très cher ?
Parfois il m'arrive entre deux respirations d'avoir une brève pensée pour toi (brève sinon je m'asphixie, tu voudrais pas que je meures ?) et de me demander quel intérêt tu trouves à ce que je raconte.

Passons.

Mardi dans la voiture qui me ramenait à ma demeure, je me suis demandé à quoi ressemblerait l'existence sans tous les petits machins, qui ont fait que.

Si je m'étais pas connectée sur le site ce jour-là, ou si lui non, ou si j'avais pas vu son pseudo, ou si, ou si. Ça c'est le premier jour.
Si on s'était vu en août de 2006 comme c'était prévu, lui avec sa copine (sale blonde) et imou guide touristique célibataire comme les blés (mais pas encore amoureuse dudit, dois-je préciser) , ou si on s'était vus en octobre de la même année (voiture de popa qui est tombée en panne, dididing). Là ça aurait été plus cocasse entre pas-célibataire-mais-bon-si-jamais (oui bonjour très cher je bousille ta réputation de jeune homme qui a jamais songé à tromper sa copine, mais c'pas grave c'était avec moi et ladite était une sale blonde, et moi aussi je t'aime =) et m'en veux pas de bousiller ta réputation d'ac ? (reprends-je ma respiration)) et célibataire-et-amoureuse-du-cité-au-dessus-mais-j'ai-pas-envie-de-répéter-l'expression-usitée-précédemment. Ça c'est les occasions manquées.
Ou, si on était restés en contact pendant la période où on est pas restés en contact, justement. Ou s'il avait pas envoyé la lettre de mea culpa, ou si j'y avais pas répondu. Ça c'est la période "bouh ils sont fâchés (surtout elle, nan ?)".
Ou, s'il était resté avec la fille aux cheveux blonds (pouark (c'est pour bien assimiler que je ne la porte pas en mon coeur (bien que ne la connaissant pas, mais j'assume bien, merci de t'en inquiéter))) et donc passé à côté de la MAGNIFIQUE (haha) jeune fille de la Lorraine (charmante région). Ça c'est l'épisode "ça fait plus peur que Sixième Sens" (oui ça fait peur quand il est aux toilettes pendant la nuit et que le gugusson passe derrière lui et va dans la cuisine).
Ou (nan j'ai pas bientôt fini), si sa moman avait pas coupé le modem un soir de juin avant qu'on ait eu le temps de se dire salut, et que donc je l'aie pas appelé pour lui dire bonne nuit, puis rappelé pour discuter encore, puis rappelé le lendemain, pendant des heures (et plein d'euros en moins ^^). Ça c'est le moment "comment passer à côté d'une demande en mariage et d'un pomme de pin tombe amoureux". Qu'il arrive précisément à dater à quel moment il est tombé amoureux de moi, ça m'épate toujours, j'avoue.
Ou, si en août il avait eu la réaction normale, à savoir : sursaut d'horreur en me voyant descendre du train et fuite dans la direction opposée (je m'aime, tu sais ?). Ou juste hôte accueillant, je passe la semaine avec elle comme prévu et après je la rapatrie chez elle et je consulte un psy pour faire disparaître le traumatisme. Enfin dans l'option il aurait pas essayé de former un couple avec la fille qui se tenait près de lui (et j'aurais gagné le pari !). Ça c'est l'épisode "restons bons amis".
Voilà en gros c'est tout des plus ou moins petits machins, et quand je songe que des fois, on est absolument pour rien dans le déroulement des évènements, ça flippe quand même.

Les grandes coïncidences (tu vises le lien avec le début de l'article, là ?), comme t'imagines si le spermatozoïde de ton popa il avait pas rencontré l'ovule de ta moman (ou le têtard et la boule de coton, dans la version soft qui m'a été servie dans mon enfance), et tout, et tout.

Le truc qui donne envie de se mettre à regarder les nuages. Enfin ça me donne envie de regarder les nuages, je sais pas pour toi.

Tout ça pour conclure qu'au final j'aime la Terre entière, merci, merci, parce que tu dois bien avoir un truc à faire avec la rencontre de Nicolas et d'imou, ou si c'est pas toi c'est tes ancêtres, même tarif.

Voilà je me calme, je respire calmement.

Et pomme de pin je t'aime et joyeux nannicversaire de notre première parole échangée, et tout ça, et pareil.

De krommlech.

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Des morceaux seulement.

Mardi, 18 mars 2008.

J'avais avoué hier que je te raconterais mon week-end et que je te montrerais de jolis gens en uniforme, MAIS.
Oui y'a un mais, comme dans "Mais ou et donc or ni car ?"
Le machin, c'est que primo, je suis censée aller un tantinet à la BU, pour préparer mon TD sur les premièers années du règne de Charles II (le roi d'Angleterre, tu vois lequel ? Celui d'après la République dictature de Cromwell), faire une petite fiche sur la querelle du donatisme et recopier la chronologie de la déceninie révolutionnaire, du Consulat et du premier Empire, et d'autres machins mais je tiens à ta survie d'ici la fin de l'article.

En fait, j'ai des machins bidules à te raconter, avec un resto grec-source-de-stress, de comment j'ai failli pas m'arrêter à la bonne gare, de comment la SNCF est spécialiste du retard, comment le mythe du voisin qui te tape la causette dans le train est vérifiée, comment dans une école militaire c'est dingue le nombre de militaires (haha) et la musique pourrie (moins haha), comment le cinéma il a la classe, comment je l'aime pas l'escalator de la plus petite gare de Bruxelles.

Mais comme je sais pas quand la motivation me quittera, ben on a qu'à dire, je commence, et quand j'en ai marre, je décampe, ni vue ni reconnue, et tu restes sur ta faim. Ça marche ?

Bien.

Donc à l'aller, le train avait 20 minutes de retard (en partant à l'heure, normal), et au retour, le train avait 20 minutes de retard (en partant à l'heure, normal). C'est parce que ils avaient le choix entre prendre un train suisse ou un train français ou un train luxembourgeois ou un train belge (c'est la ligne Bâles-Bruxelles, si ça te palpite), et ils ont choisi le tchou-tchou du pays des monolingues, forcément ça pouvait que mal se passer.
La SNCF est mon amie.

Et à Bruxelles y'a plein de gares, cinq ou six mille à peu près, et les gens ils aiment pas se déplacer trop alors le train il s'arrête dans toutes les gares de Bruxelles.
À un moment le train il était arrêté au milieu de nulle part, mais j'ai vu des gens sur le côté du train, et mon gentil voisin m'a informé qu'en fait le milieu de nulle part c'était la gare Bruxelles-Schuman. Celle où je devais descendre, t'as percuté. Du coup telle la bise j'ai filé vers la porte et je suis descendue, et en fait c'est pas vraiment une gare c'est juste deux voies, comme ça, là. Bon dans un bâtiment, quand même, c'est pas Rosières non plus.

P'is là y'avait LE jeune homme, du coup ça palpitait un max.

Jeune homme que je n'ai guère quitté de vendredi 13h30 à lundi 13h05, donc là on a qu'à dire, dès que je parle je dis on c'est égal à jeune homme plus imou.

On a vu une girafe et un éléphant et un livre dont Oscar Wilde était le héros (et pas un livre dont vous êtes le héros, ne confonds pas tout, je te prie (à moins que tu sois Oscar Wilde, cela va sans dire)) et des bagues et les trucs chers-et-chouettes de Nature et Découverte et tout.

Bon je vais pas tout te résumer le week-end point par point, en fait, j'y songe.

Passons au dimanche, je zappe le resto grec de totue façon ça t'intéresse pas, et le cinéma aussi, je fais ce que je veux (avec mes yeux).

Dimanche à l'aube (bon à 8h (haaa, attention, anecdote gaussante (tout est relatif) : pomme de pin à son ami Yves "je parie que tu t'es levé plus tard que moi ce matin". En vrai ledit Yves s'était levé à 5h30 et pomme de pin à 8h, donc. Il a le sens des réalités, ce petit)) ben le vilain réveil a sonné.

Donc au bout d'un moment on était devant la PRESTIGIEUSE Ecole Royale Militaire, au début j'attendais dans la voiture que j'ai le droit d'aller dedans, comme j'avais pas de tenue de militaire, il fallait qu'il soit 10h, tu vois. Bon je mourrais pas d'ennui les yeux dans le vague, j'avais un livre et au moins 5.784 gens qui faisaient leur jogging à observer. Complétement dingues ces Belges (et cette à moitié Toulousaine, aussi. C'est quoi le trip du jogging ?).


Ça c'est l'entrée, un peu.

Figure-toi que ladite école est très grande, avec des bâtiments très jolis, des jeunes gens en uniforme (ou en maillot de bain quand on passe à proximité de la piscine, que de joie), plein de machins pour faire du sport (mais vraiment plein) (traumatisme d'imou), des frites (y'a que des frites à manger pas de légumes ou des pâtes ou du riz ou que sais-je, juste des frites (tiens, serait-ce la Belgique ?)), des armes, des maquettes de navires (jai bien observé la salle de la Marine pendant dix ou quinze ans, je maîtrise à fond le Léopold I et les machins de 45kg qui servent à je-sais-plus-quoi (la preuve que je maîtrise)).
Et surtout, la musique.
De la musique à la mode, mais à la mode y'a vingt ans, chantée dans une jolie langue, avec cette chouette consonnance germanique que j'aime tant, enfin, même pas de la musique militaire, juste de la musique pop. La joie des oreilles-et-heureusmeent-dans-les-bâtiments-on-l'entendait-pas.

Si tu cliques là tu vas voir des p'tites marins, je peux pas mettre l'image elle est trop grande.
Même que j'ai été témoine de la prise de ladite photo, c'est dingue hein.
D'ailleurs si tu veux regarder plein de photos de dimanche parce que ça te palpite, ils sont efficaces dans cette école, ça gésit par là-bas.

Là je suis motivée pour arrêter, t'excuseras l'infamie.
Je continuerai plus tard, ne sois pas inquiet (plus tard signifie avant dimanche, dans mon langage cette semaine, ne te méprends pas).

P.S. : Quand je suis dans ma maison je te montre un joli marin, amis là je ne puis.

De krommlech.

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Tant que j'y pense.

Jeudi, 13 mars 2008.

Je te le redis maintenant tant que j'y pense, et peut-être plus tard dans la journée vers ce soir je mets un article, sait-on jamais si j'ai le temps.
Bref, demain premier jour de week-end (je pense à à toi Elo-qui-est-en-exams (ça a été aujourd'hui-même ?)) je me lève à 6h30 (tsss) pour faire Rosières-Nancy en train.
Ensuite, innovation, je vais faire Nancy-Metz (c'est la deuxième fois de ma vie que je vais voir cette jolie ville de Metz (c'mon popa qui a dit que c'était joli), et pour la deuxième fois je vais voir un seul et unique truc : la gare).
Et re-innovation, Metz-Bruxelles.
Alors là je vais frauder au lieu de descendre à 13h05 à la gare de Bruxelles-Luxembourg, telle la siouse je ruse et je descends à 13h10 à Bruxelles-Schuman, ouhouh la jeune rebelle elle descend à l'arrêt d'après. Rapport au fait que ladite gare est plus proche de l'Ecole Royale Militaire où il semblerait qu'ils acceptent les pommes de pin pour les transformer en officier sou que sais-je encore.

Bref, delà je vais revoir le M. et Mme D. (chouette), dormir dans un chouette lit, rencontrer des gens qui ont entendu parler de moi mais moi pas d'eux (super) et autres machin-choses, comme visiter la précédemment cité Ecole Royale Militaire.

Vers lundi soir je regagne la meurthe-et-moselle dans la joie et l'allégresse (du tout), et donc t'auras pas de mes nouvelles pendant cette période.

Je sais ça va être dur mais soit fort.

Bon p'is là je vais me sustenter avec Youguette et Fanny, alors j'abrège.

De krommlech.

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Je dois dire que.

Dimanche, 9 mars 2008.

Scrogneugneu.
Ça, c'est le cil.

Voilà bonjour bonsoir on est dimanche soir alors devine, devin, où va nous porter l'esclaffe aujourd'hui.
Vers un racontage express de week-end accompagnée de pomme de pin, je te le donne en quatre mille des fois que tu aies pas le réflexe "dimanche soir".

Le dimanche soir triste qui suit le week-end joyeux, et qui précède re-le week-end joyeux.


On est en mars et donc, aucun rapport mais on a ri plus que plus, pendant deux jours.
En vrai c'est la fois où on a le plus ri hahaha de toutes les fois où on a été ensemble, m'est avis.
On a tous les deux eu droit à notre fou rire, et je t'explique pas le pourquoi du parce que parce qu'à vrai dire, y'a strictement rien de drôle. C'pour ça.

Sans transition entre esclaffe et ce qui suit, samedi soir eut lieu un genre de repas de mini-famille.
En gros tous les gens z'habituels plus mère-grand et un de mes oncles.
Et si tu connais la bonhommette qui tape ces lignes, tu vas voir le délire un peu.
Je fus en robe, avec des trucs de fille du genre des chaussures de, des bas (je précise pas de, ça porte des bas les garçons ?). Les ballerines que j'avais dit je les achèterais ce week-end et hop, la carte bleue de moman les a acquises, joie dans la maison de tout le monde les humains.
Mais c'est très malencontreux, nulle photo n'a été prise durant le dîner pour prouver la chose, j'avoue que j'en suis marrie puissance dix mille vingt-deux de ne pouvoir te montrer mes épaules de rugbyman et que sais-je encore.
Ohhh, quel dommage ! (Le point d'exclamation exprime pas l'exclamation mais la conviction. En vrai c'est un point de conviction sauf que si je dis ça on comprend pas)
J'avais la robe verte celle qu'on a l'impression qu'elle me va bien, et aussi j'ai essayé la rbe que je dois porter au bal (le bal, huhu) avec les assortiments de fille citées précédemment, et j'ai même pas eu envie de m'enfuir en criant en voyant le désastre, on s'améliore ma p'tite dame. Ça ressemblait pas trop à un désastre, c'pour ça (je veux dire avec les moyens du bord, qui sont en fait, mon corps, avec ça comme base on est mal barrés, hein).


La même chaussure, quoi. Sauf que j'en ai une pour chaque pied.

Pomme de pin c'est un bonhomme, il peut t'épuiser (moralement je veux dire, je voulais pas dire il parle tellement on tombe dans les bras de ce vieil homosexuel de Morphée, ça c'est réservé aux applaudissements).
Je veux dire, on va innocemment dans la grande ville du coin (qui est pas la capitale de la Lorraine avec que le palais des ducs de Lorraine il est ici, qu'est-ce que le point ? OK Metz c'plus joli et tout, ET ALORS ? Je suis un brin chauvine de la Meurthe et Moselle, je dois dire, c'est pas grave ça se soigne peut-être), et il a réussi à m'offrir trois machins en si peu de temps, plus le repas si tu comptes le repas dans la catégorie "machin", ça fait quatre machins.
En échange il a eu on s'esclaffe devant Dany Boon et Kad Merad, c'tout.



Je voulais dire aussi qu'il faudrait expliquer aux gens qui nous font voter que avec leur espèce de règle trouée dans laquelle on doit faire la signature, c'pas possible de signer correctement, on croirait que j'ai des engelures sur plein de doigts.

Et d'ailleurs il faut que j'aille m'inquiéter de qui est notre nouveau maire, faire la bonne petite citoyenne.
En espérant que le nouveau maire ne soit pas nouveau, en fait. Voilà si ça te passionne et que tu connais les listes électorales de ce bled, tu sais pour qui j'ai voté, ça te fait une tellement jolie jambe tu devrais devenir mannequin de bas.

Bon, je dois dire que la fin des z'haricots est proche, je veux dire un brin, la fin de l'article.

Au final, on peut conclure que nos langues n'auront pas été bleues, il va vraiment falloir se rattraper.



Et la semaine prochaine je t'épargne l'article du dimanche soir, parce qu'en fait, je me téléporte chez les Belges, et je repars lundi aprèm (haha, la joie des week-ends de 4 jours, je dois dire), du coup dimanche soir j'aurai d'autres machins à faire.

Sinon, à titre informatif, il serait mignon d'éventuellement virer le mot "quai de gare" du vocabulaire de toute l'humanité pendant 8 jours.

Euh, en vrai voilà ma véritable conclusion,
Je t'aime Pomme de pin.

P.S : Et pour unijambiser les unijambistes encore plus (ou je sais pas quoi) aussi je t'aime Youguette et Julieta et Perle de Glace et Chipotala.
Et Kromkrom même si elle lit jamais par ici la pauvresse, elle sait pas lire.

De krommlech.

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Plum-plum et cheval mout-mout.

Dimanche, 24 février 2008.

Aujourd'hui je crois bien que c'est la première fois de mon existence complète que je vais dodormir toute seule dans une maisonnette.
Donc là si tu percutes bien, si tu sais où est rangée la maison des dalmatiens de la montagne sur la carte du monde et que tu as envie de venir cambrioler ladite (si tu as une passion pour les chouettes et hiboux, ou alors pour les photos de Noyémie et Emil, que sais-je), ben invite-toi je t'entendrai sûrement pas, et y'a personne à l'étage (à part Kromkrom qui dort souvent, voire tout le temps).
La nuit d'avant et celle d'avant-avant, en vrai y'avait personne à l'étage non plus, mais y'avait un homme fort qui se trouvait dans ma chambre et il pouvait taper sur les voleurs à l'aide d'objets sporadiques, par exemple (Kaamelott, t'as percuté ?).

Nous à la place on entendait des petites filles crier dans le jardin pendant la nuit. On croirait que c'est un rêve mais la connexion inter-cervale est pas encore assez puissante pour qu'on rêve de la même chose. En fait c'était un chat rouquin avec une voix de fillette, qui est amoureux de mon bidou j'crois bien.

On a bien aimer se balader dans la nature autour de Dombs. À cinq minutes à pied de chez moi c'est la nature, on se croirait en Meuse tellement.
On fraude et on passe sous les barbelés et on prend des photos et on fait des abdos sur le truc à faire des abdos (les parcours de santé c'est marrant). On a même vu des plum-plum, et un cheval mout-mout.

Bon je te tartine pas mon week-end rapport au fait que tu trépasses possiblement pas d'envie de tout connaître dans les moindres détails, mais samedi soir fut drôle avec Elo et Youguette.
Youguette si tu sais pas encore, elle est absolument charmante mais aussi absolument dingue. Peut-être la dinguitude fait son charme, de ce fait. Et Elo elle rigole beaucoup.
Alors les deux dans la même pièce ça rend bien.
Même quand jeune homme mon fiancé met les gens à l'exercice et il faut se mettre à genoux par terre et pencher le dos en arrière pour s'appuyer sur ses coudes, et tout.

"C'est quoi un bicot ?
_ C'est un tracteur à roulettes.
_ C'est vrai ?"
Oui peut-être hors contexte tu trouves pas ça désopilant mais sur le moment ça l'était fort.
Aussi le solex est-il un tracteur à pédales ? Parce qu'on imagine tous bien un tracteur à pédales, y'a pas à dire.

Voilà y'a pas longtemps j'ai vu Wendy pleurer sur un quai de gare pendant que Xavier partait en train. Dans quelques semaines je serai dans un train en train (haha) de m'éloigner et diantre, j'pas envie d'y penser.

Là des fois on a besoin d'un deuxième essai pour partir, parce qu'on laisse pas une fille en train de pleurer dans une descente de garage.

Aujourd'hui, je crois, ça a été le plus mouillé des au revoir, fichtre (palsembleu, diable et bourgmestre).
Voilà expliquez au monsieur que si je pleure quand il s'en va c'est justement parce qu'il me rend heureuse, et pas mal-, sinon c'est quand il arriverait que je pleurerais.
Toi tu lui expliques et je lui fais une déclaration d'amour, possible ça te tartis de lire (alors lis pas, dirais-je), mais ça lui fera un sourire et j'aime bien.

Je t'aime pomme de pin, et merci pour le week-end =)

À la fin les Poupées Russes c'est joyeux, j'aime bien. Tout le long j'aime bien, hein, mais la fin redonne des sourires, encore plus.
Ça me rappelle quelque chose qui s'est déjà passé et quelque chose qui s'est pas encore passé, j'ai des souvenirs du futur, c'est drôle.



De krommlech.

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Du côté gauche.

Mercredi, 20 février 2008.

Parfois on dit "anti-romantisme, bonjour !", et j'aime bien. Hier soir quand je suis allée me coucher mon oreille a fait le bruit de la télé qui s'allume. Une fois je propose une sortie ciné et les gens décident d'y aller le jour où je peux pas. En sachant bien que je peux pas, haha. Un jour de la semaine y'a pas de soleil et c'est celui où je sors me promener pour aller offrir aux gens des CV et des lettres de motivations de moi.
Qui plus est j'ai mal à la tête donc magie magie j'arrête et je mets des chaussettes (c'est un subtil sous-entendu pour dire que je vais sortir, tu percutes ?).
Aussi j'attends vendredi.

De krommlech.

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Y'avait, par exemple, de la chance.
Tout pile la sortie qu'il faut prendre, c'est la sortie qui est fermée pour cause de manifestation.
Tout pile le jour où on vient, c'est l'ordination des frères dominicains, et la cathédrale est fermée.
Quand on va à Strasbourg et qu'on est un touriste, on va à la cathédrale, c'est obligatoire comme d'être joyeux de voir du soleil après longtemps de pluie.
Pour se rattraper on a monté des centaines et des centaines de marches on a fatigué nos jambes et raccourcit nos respirations, après on a pris des photos vu d'en haut de gens qui sont si petits qu'il faudrait bien viser pour les écraser en se suicidant comme dans Amélie Poulain, ou bien de la ville ou bien de la cathédrale sur laquelle on était.



Voilà on était à Strasbourg et il y avait du soleil, forcément c'était chouette.

Autrement, on a pu découvrir qu'on était unis par les liens du set de table. On a mangé dans un restaurant et alors personne il a fini son dessert qu'est-ce que le point ? De bon(ne ?)s profiteroles et une bonne coupe brownie-belle Hélène, c'est resté dedans vers la fin parce que plus possible.

On a remarqué pour contrer les manifestations et les ordinations qu'on a la chance de la chambre d'hôtel, apparemment.
La chambre d'hôtel du coin du bâtiment en général elle est plus grande, alors on a eu celle du coin comme la chambre 202-d'amour à Paris, sauf que là c'était la 404 de Strasbourg. En vrai, on avait un couloir en plus mais j'aimais bien.
En plus la déco de l'hôtel c'était COQUELICOTS.

On a vu des crânes, beaucoup, certains avec des trous dedans. Comment un être vivant il peut se laisser faire un trou  dans le crâne sans anesthésie ni rien, puis RÉITÉRER ?
Et des fémurs, des dents, des tibias, enfin des squelettes, tu vois l'esclaffe.

Il y avait forcément des magasins à touristes avec des trucs à touristes, et donc il fallait toujours vérifier s'il y avait mon prénom dans les bracelets-porte-clefs-camping-car en jouet-bloc-notes-bols-ronds de serviette, et autres bazars qu'ils aiment vendre dans les magasins à touristes et où on trouve son prénom (l'astuce c'est de ne pas m'emmener dans un truc avec ce genre de choses parce que je peux pas m'empêcher de chercher mon prénom et le plus souvent il y est pas alors je boude le magasin dans ma tête).

Bien.

Sinon il y a un bidule construit par Vauban et c'est bien connu qu'il est mon meilleur ami depuis l'oral d'histoire moderne, alors ça va.
Les maisons du genre "je suis en Alsace", mais sans les jolies (haha) couleurs qu'on trouve dans les villages sans nom prononçable, c'est beaucoup mieux du coup.

Là j'ai une question, pourquoi Tom Tom a un nom de garçon et une voix de fille ?

Y'avait aussi un pont qui tourne et donc ça c'est marrant, et des mouettes et des poules d'eau qui disparaissent.
Y'avait du soleil alors on s'est baladés comme si c'était déjà le mois d'août, et finalement, vivement le mois d'août.

En rentrant on a pu voir le mini-chat se prendre la fenêtre en sautant pour attraper son jouet, ce qui fut assez hululant dans l'ensemble entier.
Et voir Vévé jaloux parce que Chritelle elle a fait la bise à Nicolas mais lui il lui a pas serré la main alors il s'est levé guilleret pour le faire.
Et voir une pomme de pin feinter et partir de l'autre côté de la rue, pour une fois.
Et découvrir, cette information n'est pas des moindres, que Mars tombe très tôt cette année (en vrai même pas, tu remarques ?).

La semaine prochaine on va tester : être tranquille dans la maison tout le week-end pendant que tout le monde a décampé en Haute-Savoie.

Le week-end dernier nous fait attendre le mois d'août impatiemment et le prochain nous rappellera le mois d'août tous seuls à la maison, maiis pas la même cette fois-ci.
La clef c'est souvent août.


De krommlech.

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Et les apiculteurs ?

Jeudi, 14 février 2008.

Ce qui est bien c'est que Valentin de Terni, il est aussi le saint-patron des apiculteurs (l'apiculteur apicultive-t-il ?), et invoqué contre la peste.
Valentin il a été décapité, ça veut dire que l'amour fait perdre la tête ?

Si tu es apiculteur et que tu passes par là (on y croit, on y croit), bonne fête à toi.
Les amoureux, t'façon, ils ont l'autre moitié de leur couple pour leur souhaiter une bonne fête, alors les apiculteurs, voilà. [Bonne fête n'écureuil]

Les apiculteurs amoureux, si en plus ils ont la peste, Valentin est leur meilleur ami, en fait.

Je préfère Saint Nicolas c'est le saint patron des marins et des Lorrains (et des enfants mais je ne suis plus). En plus Nicolas c'était mon prénom préféré quand j'étais petite.

Voilà, deuxième édition (c'parce que je l'ai déjà dit).



De krommlech.

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