Bulbo fait les choses fois seize.

Jeudi, 3 janvier 2008.



Avec Bulbo je vois environ ça quand je regarde vers un endroit de l'écran de l'ordi
Environ, sauf qu'en plus c'est enfermé dans un rond, qui est le corps de Bulbo, je dois dire.
Ou des fois c'est seize je tire la langue ou des fois c'est seize je regarde le clavier ou des fois c'est seize sourires sans dents, ça dépend de la fois.

Tu percutes que j'aime bien Bulbo.

Et puis sinon, je suis absente sur MSN, alors je réponds pas, c'est pour ça que je suis absente, la logique est ma potine.
Des fois je suis associale et on peut tout mettre sur le dos de mon égoïsme, ça lui fera les jambes.

Voilà c'est pour expliquer le peut-être je réponds pas sur MSN mais je poste un article.

Et puis demain vers je sais pas quelle heure m'sieur mon fiancé arrive et puis disons que jusqu'à lundi soir tu risques de plus avoir de mes nouvelles, ça voudra dire que je vais plus que mieux que bien.


De krommlech.

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Diantre.

Samedi, 29 décembre 2007.

Diantre, j'ai même pas écrit dans mon article que je t'aime et que merci.

Je peux le dire ici, et puis ici.
Le premier ici c'est MSN où mon cri de détresse (haha) s'est fait entendre, et le deuxième ici c'est ici, parce que c'est logique.

Plus tard on me fera cuire au feu de bois et je fondrai parce que je serai de la guimauve mais en attendant, je peux dire que je t'aime et que merci.
Après seulement on se sustente de moi.

Je t'aime.
Merciiiiiii.


Pistache.
Bleu.

%££££££*


Bon appétit.


De krommlech.

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Mercredi, moins R, moins E et moins D.

Samedi, 29 décembre 2007.

J'ai réfléchi à la situation (quelle situation, euh je te dis peut-être après, on voit) et la solution la plus plausible que j'ai trouvée, c'est que dans une vie antérieure je devais être un peu quelqu'un comme l'abbé Pierre, du genre très très chouette tu vois.

Je te parle rapport à mon niveau de chance qui est, dois-je le rappeler, plutôt élevé dans son genre.
Je veux dire, je fais rien qui mérite particuièrement que la Terre me rende grâce (haha), alors, qu'est-ce que le point ?
Je serais comme Brad Pitt qui fait construire des maisons écolo pour les victimes de Katrina (je l'ai lu tout à l'heure il fallait bien que je le recase), encore, je dis pas.

Là en fait l'astuce c'est que si tu avais pas vu l'image de plus bas tu te demanderais peut-être à quel propos je palabre cette fois-ci, mais là avec la photo qui gît sous tes yeux forcément ça brise un peu le suspens, alors je vais abréger la souffrance de tes yeux, en quelque sorte.
Note que si tu l'as pas déjà vu ça abrège tes souffrances quand même, c'est tout bénéf.

Oui tantôt moman et Noyémie ont tape-tapoté à la porte de ma chambre armées d'un bouquet de fleurs très chouette.
Je te dirais bien qu'il venait en direct de Belgique sauf que de toute évidence ce n'est pas le cas, il venait du fleuriste de Dombs.
Mais, l'idée de m'envoyer des fleurs a pas traversé l'esprit du fleuriste de Dombs toute seule, évidemment, il semblerait que ça lui ait été soufflé par un jeune homme qui roule en Opel Corsa bleue, je te rappelle pas qui ?

Ma moman m'a tenu un langage qui ressemblait fort à un panégyrique.

Donc voilà, à la rigueur, tu peux l'admirer (le jeune homme, ou le bouquet, et dans un instant de grâce je t'autorise à admirer les deux (je te montrerais bien d'admirables photos d'ailleurs  mais je crains que ça ne se fasse pas ce genre de choses, ohoh (c'était pour l'amusement de moi-même cet aparté))).

Aussi si quelques instants d'ennui se profilent dans ton horizon tu peux me trouver pourquoi j'ai autant de chance de l'avoir, ce monsieur (et ce bouquet de fleur, dans une moindre mesure).



Et puis disons que c'est la fin de mes folles aventures de la journée.

De krommlech.

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En vrai et en faux.

Samedi, 22 décembre 2007.

En vrai je travaille, et en faux je poste un article (en vrai il est mini et je viens de finir de trier je-ne-sais-quoi de mes cours, d'ailleurs où sont les cartes de l'Allemagne point d'interrogation (par terre je viens de les voir) et je sais pas ce que je fais après).
En encore plus vrai alors, jefais une pause.

Ouhouuuuh, c'est mystérieux, je suis seulabre dans l'étage d'une maison plus géante que Géant Vert, où je PEUX dormir dans un lit de la taille de Géant Vert justement, Tu sais plus grand que mon pote de la chambre 202 même.

Et il y a une souris et un clavier sans fil et une vue sur le jardin depuis la fenêtre.

Même que je suis encore vivante et j'ai eu droit à retente ta chance pour le nombre de bises pour dire bonjour-bonsoir, et que le stress m'a pas tuée.

Le chien il est doux et le chat il est lourd (et doux aussi, ohoh, évidemment).

Et peut-être ils vont me manger à Noyel j'en sais rien encore.

Pour l'instant en vrai je travaille et en faux je poste un article et en même temps je me demande comment je peux être dans la même maison que m'sieur mon fiancé mais pas dans le même étage pour une durée indéterminée, qu'est-ce que le point ?

De krommlech.

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Il est où ?

Mercredi, 12 décembre 2007.

Ça m'embête je trouve pas sur internet un poème d'Eluard que j'ai appris en CM2 et que j'aimais bien, où le trouvé-je, où le trouvé-je ?
Tu le connais, le Visage de la Paix ?

"Je connais tous les lieux où la colombe loge,
Et le plus natuel est la tête de l'homme.
L'amour de la justice et de la liberté
A produit un fruit merveilleux
Un fruit qui ne se gâte point
Car il a le goût du bonheur."
Etc, etc.

Bon tu vois je sais pas où les vers commencent, s'arrêtent, rapport au fait que comme je te l'ai dit je l'ai appris en CM2 et depuis de l'eau a coulé sous les ponts et 9 ans ont coulé sur mes épaules.

Et d'ailleurs je sais plus si c'est "pas" ou "point" après "gâte" et ça a le chic-choc pour me tapoter sur le système de pas pouvoir vérifier, vu que je le trouve pas sur internet, tss, tss, tss.
Mais "point" ça sonne plus chouette je trouve.

C'est parce que j'entends Gainsbourg qui parle de Verlaine et ça me fait réciter Strophes pour se souvenir,d'Aragon, et je repense à ce poème d'Eluard que je cherche, dans la foulée, mais Verlaine, néant, cherche l'erreur.



Tout à l'heure j'ai reçu un message qui dit "J'aimerais qu'on parle parce que depuis quelques temps je te trouve très distante" (langage SMS, au revoir !), et dans l'ensemble je trouve ça plutôt drôle quand je me reproche dans les une fois par jour ou bidule du même acabit d'être distante avec, disons, tout le monde moins un, depuis, re-disons, le mois de juin.
Et ça me rappelle que l'année dernière une bonhommette a un brin beaucoup reproché à un monsieur de ma connaissance de délaisser ses amis et un an plus tard, je pourrais m'accrocher une pancarte avec écrit "fais ce que je dis, pas ce que je fais" sur le torse (j'aurais bien dit sur le front mais y'a pas assez de place j'ai pas un géant front tu comprends).
Mais j'oublie personne, hein, juste je pense plus à que je ne parle avec, je dirais.

De krommlech.

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C'est encoooore moi.
Oui en fait je pouvais pas t'abandonner pour aujourd'hui sans te montrer la chouettitude de l'évènement qui vient de se produire sous mes yeux ébahis.

Tantôt j'ai donc posté mon articlounet pour te raconter que j'ai failli mourir, et une fois qu'il a été posté, je suis renvoyée vers la page de Cowblog et qu'est-il apparu sous mon oeil (le droit) ?
Je te le donne en quatre mille :



Saperlipopette d'ailleurs, entre parenthèses, je vais devoir payer le Premium bientôt, peut-être popa va-t-il encore se montrer généreux pour les trois prochains mois, sait-on jamais.
Sinon je vais devoir amputer mon crédit d'1.50€ ou mon compte en banque de 3€ et je peux m'en passer efficacement, je te le promets.

Mais bref on s'en fout c'est pas ça l'important, et d'ailleurs l'important est tellement important que j'ai sorti LA LOUPE pour te montrer, des fois que tu sois passé à côté le premier coup.
La loupe de 'rdinateur, hein, pas la loupe dont mère-grand se sert pour bien voir son modèle de nappe en crochet quand elle crochette.
En fait j'avoue je m'en suis servie pour la première fois de mon existence (de la loupe, pas du modèle de nappe en crochet, des fois que tu te sois perdu dans mes élucubrations) l'autre jour lorsque je n'avais plus de voix, et c'est très amusant je trouve (on s'amuse comme on peut dira-t-on).

Donc si je trouve une occasion de m'en servir, tu penses bien que je vais pas me priver, on est pas chez les euuuuuuuh je sais plus lesquels se privaient là, mais on a qu'à dire les moines cisterciens pour exempler.



Oui oui oui, 311 articlounets !
Bon, 312 maintenant mais toutes les bonnes choses ont une extrémité.

Je te rappelle ou t'apprends (je suis pas pédagogue, tu feras sans), si t'es pas au courant, que 311 est mon nombre d'amour, 3h11 mon heure d'amour, tout ça tout ça, et ça n'a aucun rapport avec le fait que je sois née un 3 novembre bien évidemment, t'imagine rien.

De krommlech.

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Le parcours du combattant de l'article.

Mardi, 11 décembre 2007.

Bonjour, mauvais marché !

Aujourd'hui, j'ai failli mourir.

Au revoir, mauvais marché !
Ou Tot ziens comme diraient les gugussons de la langue des doubles voyelles à profusion.




Je te mets quand même une image pour la peine.

De krommlech.

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Alors là, tagada tsoin-tsoin, ou je sais pas comment dirait l'autre, mais on peut dire que niveau exécution des désirs je suis servie.
La Fortune est ma potine, c'est ça l'astuce je crois.

Bref, je t'explique le pourquoi du parce que.
Tu te souviens tantôt avant de monter travailler (si t'as déjà lu, hein, sinon tu verras ça l'article du dessous dès fois que tu aies envie d'ee lire un autre après lui) je t'ai dit que j'avais envie de couleurs et tout ça en ce moment, et même qu'une autre fois je t'ai dit que ma chambre manquait de couleurs chouettement joyeuses.

Et alors, mise en situation :
J'étais attablée à la table (logique) du salon, en train de lire et surligner allégrement des informations capitales sur les jansénistes, le mini-chat sur les genoux pour éviter qu'il escalade mes jambes à coups de griffes dans le jean (son péché mignon), quand dring-dring, entendis-je.
Ni une, ni trois, je me précipite vers mon ami le téléphone.
Mais en fait c'est quelqu'un qui me dit Allô Mme D. point d'interrogation, et j'ai répondu que je suis sa fille et il avait l'air désappointé, mais en fait pas trop non.
C'juste qu'il voulait s'assurer qu'il y avait des gens à la casbah cet aprèm pour réceptionner des fleuuuuuuuuurs qu'il doit livrer à Mme D. Emilienne.
Haha, en fait il voulait pas parler à ma moman mais à imou, sauf qu'il le savait pas le pauvre homme, il croyait que j'étais Madame.

Du coup le mini-chat posé sur mon bras et le sourire posé sur mon visage, hop, hop, je suis allée me remettre à étudier les jansénistes et leurs non-poteaux les protestants en attendant l'autre dring-dring, la sonnette, qui n'a pas tardé à surgir hors de la nuit tel Zorro (je suis passée en mode n'importe quoi, ne pas s'alarmer, s'il te plaît).

Même que mon popa il a dit en voyant les fleurs qu'il fallait pas que je le laisse partir, Nicolas (j'en avais pas la moindre intention, ça tombe pile poil poule).

Et voilà maintenant j'ai de nouveau un joli bouquet de fleurs plein de chouettes couleurs dans ma chambrette à regarder dès que mon cou pivote vers la gauche (quand je suis sur l'ordi, mais vu que dans ma chambre je suis soit sur ma chaise de bureau soit sur mon lit, et que quand je suis sur le lit souvent je dors), et un charmant monsieur à remercier de mille feux.

MERCIIIIIIIIIIIIIIIII m'sieur mon fiancé =)



Ha oui, je dois te signaler en passant qu'en plus d'être charmant, ce demi-ange est dingue, de la catégorie des dingues, comme tu peux t'en rendre compte par ici (c'même pas moi sur la photo, hein).

P.S : (hors-sujet évidemment) Voilà j'ai fait une bannière plus appropriée (mais pas belle pour autant), Paint est mon ami tellement je suis douée en informatique et en dessin. Plus qu'(à changer quelques bidules et ça sera tout fini.

De krommlech.

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Faire un article sur nous.

Lundi, 10 décembre 2007.

Faire un article sur nous.

Déjà pour commencer un article sur nous, j'te laisse deviner de quel "nous" je parle, je me dois de faire des avertissements d'usage.
Si tu es célibataire et que tout ce qui ressemble à un couple dont une des moitiés n'est pas toi te donne des envies de machette décorée aux intestins, lis pas le ci-dessous je tiens à mon non-trépas.
Et si tu veux pas lire un truc gnangnan, dans le doute, lis pas. Je sais pas tellement ce que je vais mettre dedans mais ça risque de l'être, hein, en toute logique.

Ha oui avant de poursuivre, je te préviens d'avance que j'ai envie de parler de montgolfière, alors si par hasard à un moment y'a aucun rapport avec le reste t'inquiète pas, dis-toi que c'est une pause.

Bref, faire un article sur nous.

Un article sur nous, ça devrait comporter une photo de nous, mais c'plutôt balot, j'ai point l'envie d'exposer mon angélique visage pour l'instant, j'espère que tu t'en remettras (mieux que si je l'avais exposé en tout cas).

Un article sur nous, ça doit parler de nous. Mais "nous" en tant que les demi-personnes que nous sommes devenues, pas celles que nous sommes à part entière chacune de notre côté, sinon ça a moins de saveur.
Mais histoire de sortir de l'humanité, on a décidé (arbitrairement) qu'on était pas des demies-personnes, nan on fait le niveau du dessus, on est des demis-anges. Rien que ça.
Mais en fait si tu veux une explication démystificatrice, c'est parce qu'on a une aile chacun, donc à nous deux on est un ange (on aurait pu choisir un perroquet ou une autruche, mais bon, question de mignonnitude, tu comprends). Enfin en l'occurence, un L chacun plutôt.

Donc voilà, je peux te parloter quelque peu de deux demis-anges, on vole pas mais peut-être qu'un jour on fera un vol en montgonlfière et ça réglera le problème (ha bah voilà je t'avais prévenu).
Non mais en fait je dois t'avouer avant de continuer c'est ma nouvelle lubie le vol en montgolfière, je m'imagine bien en train de m'extasier au-dessus de champs, on a les envies qu'on peut, hein.



Revenons-en à nos moutons à moitié volants.

On a qu'à dire qu'on a une originalité, en plus d'être des demis-anges, et que je vais te la livrer en quatre mille dès maintenant.
D'ailleurs si tu passes par ici, voire, soyons dingues, que tu me (nous) connais pour de la vraie, tu t'en es rendu compte toi-même, mais on a réussi à se fiancer avant même d'être ensemble, et encore plus que mieux-mieux, avant même de s'être déjà vus, et ça avoue, c'est la méga-classe de l'optimisme-réalisme (ce dernier tronçon de phrase ne signifie rien, cherche pas à percuter Isidore).
C'est drôle hein, d'être fiancés un mois et demi avant de véritablement former un couple.

Sinon à part se fiancer par téléphone et par SMS (encore plus original hahaaaaa ! La question posée par téléphone, la réponse donnée par SMS pendant la conversation téléphonique), on fait d'autres trucs un tantinet bizarres, et je sens que tu meures d'envie d'apprendre lesquelles, alors soyons généreux je t'en livre une ou six.

Pour exempler, on arrive à se faire des débats, dénués d'arguments, en faisant les questions-réponses par appuyage sur le nez.
L'astuce c'est que son nez est un bouton à "faux" et que mon nez est un bouton à "vrai", c'est bien pratique pour débattre sans trop réfléchir.

Des fois on se fait des débats avec des arguments, aussi, quand même, mais maintenant j'hésite, la dernière fois jeune homme mon fiancé m'a relancé mes arguments contre moi, et si en plus de me trouver des arguments, je dois trouver les contre-arguments à mes propres arguments, on est pas sorti de la petite maison dans la.

On arrive bien à se donner des surnoms mignons comme "mon enveloppe" ou "mon arbre" ou tu vois un peu l'esclaffe, aussi, tout est dans le romantisme.

Et puis des fois on a des conversations élaborées qui consistent à citer les mots qui nous passent par la tête l'un derrière l'autre, mais au bout d'un moment après j'ai fini l'alphabet et ça s'arrête, et ça repart pas avec Mars (parce qu'on est en décembre, HAHA que je suis désopilante).

Oui en fait l'histoire quand tu as un n'amoureux qui vit dans un tréloindistan de la blague, c'est que le "nous" se résume surtout à des mots.
À des mots mais aussi à des trucs de touristes comme Bruges ou Bruxelles ou Verdun ou Paris, photo photo comme c'est joli, des week-ends et des bouts de vacances passés à moins de 4cm l'un de l'autre, si c'est plus loin on se manque.
Mais surtout à des mots. Des mots dits, écrits, murmurés, tapotés, parfois criés quand la surdité s'abat sur nos épaules (quand les nouvelles technologies se jouent de nous, plutôt).



Du coup, des mots, quand il faut en donner pour parler à quelqu'un d'autre du nous et des demis-anges que nous sommes, comme maintenant, ils se cachent espiéglement au fond de je-ne-sais-où, mais certainement pas vers la page de traitement de texte, ça vient moins facilement que quand il faut parler de tissu-tige ou de blocage de fac.

J'imagine bien parler de nous à m'sieur mon fiancé, parler de nous toute seule dans ma tête (oui j'aime bien me faire des conversations avec moi-même (nan je plaisante, en fait je pense mais je m'auto-parlote pas)).
Pour les autres il reste des anecdotes, des projets, des remarques, mais ça parle pas vraiment de "nous", ça nous représente plutôt.

Et là, voilà, faire un article sur nous, c'est un peu comme faire un article sur mon mollet (oui j'aime les comparaisons flatteuses), ça fait partie de moi mais c'est pas pour ça que j'ai de grandes choses à dire sur le sujet.
Je préfère vivre avec, et puis en parler quand il se passe des choses à raconter, comme un voyage à Paris ou une crampe, et garder ce qui se passe de naturel égoïstement au fond de ma mémoire pour sourire toute seule quand je le vis et quand j'y repense.

En fait "nous" se résume surtout à des mots, mais aussi à des projets d'avenir, et quand ils se réaliseront, à ce moment-là je pourrai te reparler des demis-anges que nous sommes.

Donc faire un article sur nous.

De krommlech.

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Ça arrive vespéralement.

Vendredi, 23 novembre 2007.

Hier soir alors que je gisais dans mon lit dans l'attente de ce vieil homosexuel de Morphée, j'ai eu une envie soudaine de faire du badminton.
Malgré ma langue qui menaçait de se décrocher sous le coup des bâillements (pourquoi pas ma langue, après tout ? Des fois qu'elle soit aventurière dans l'âme).
Donc j'étais là couchée en train de me demander où et avec qui j'allais pouvoir faire du badminton, bon t'abuse pas, pas tout de suite maintenant à l'instant où j'étais alitée, hein, je suis pas dingue-dingue non plus, mais disons le plus tôt possible.
Malencontreusmeent je n'ai point trouvé de solution à cet épineux problème.

Après je me suis lancée dans une profonde réflexion sur pourquoi j'aimais pas les sports d'équipe Et c'est pas parce que je suis une sale égoïste, mais c'est parce que généralement les sports d'équipe, c'est avec un ballon (du moins tous ceux que j'ai pratiquées au collège-lycée), du genre handball, basketball, volleyball, et autres trucs en "ball" (quand je te dis que ça se joue avec un ballon !), et quand on allie la peur des ballons, le réflexe de survie "pousse-toi d'sa trajectoire" et la culpabilisation à grande échelle, forcément, on ne peut qu'aimer, tu en conviendras.

Enfin bref je te retranscris pas ma palpitante réflexion, agrémentée de souvenirs de cours de sport du collège, et lycée, sinon tu risques de toi aussi t'endormir comme je l'ai fait, et là tu remarqueras que c'est pas l'heure.

En plus je vais bientôt partir, alors.

Et pour illustrer ceci je t'aurais bien mis une photo d'Emil pratiquant le badminton, sauf que je n'ai point trouvé ladite photo, malgré des recherches éprouvantes.
Trop dommaaaaaaaage.

P.S. : Et voilà j'ai ENFIN corrigé les fautes de frappe et tous les caeteras.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

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