Et du coup, question existentielle numéro quarante-deux mille six cent vingt-neuf bis :
Samedi, 12 décembre 2009.
Et du coup, question existentielle numéro quarante-deux mille six cent vingt-neuf bis :
De krommlech.
Rangé dans Point d'interrogation.
Vendredi, 11 décembre 2009.
Sa technique, c'est qu'à chaque fois qu'il sous-entendait quelque chose, dans la phrase d'après il t'expliquait ce qu'il venait de sous-entendre, pour être bien sûr qu'il perde pas des lecteurs en route.
C'est l'histoire d'une fille qui tient un café et qui mène une enquête. À un moment elle utilise une fausse identité :
"Ce même jour, à quatre heures précises, Mrs. Sarah Richmond - ou du moins, celle qui se faisait appeler ainsi - arriva à Berkeley Square."
À un autre moment, elle va voir le boucher Mr. Sanders, pour discuter avec lui seul à seul, et là y'a les commères du quartier qui commèrent :
"D'aucunes n'hésitèrent pas à en tirer la conclusion absurde et calomnieuse que [...] la mère Sanders ferait bien de tenir son bonhomme à l'oeil, sous-entendu qu'autrement le boucher bien en chair risquait de succomber sans mal aux charmes de la patronne de café."
D'autres fois, quand y'a pas de sous-entendu à dé-sous-entendre, l'auteur il se lance dans de grandes grandes phrases avec plein de mots et de propositions, qui veulent pas dire grand chose mais il aime bien quand même.
"Dans un autre [box] se trouvaient deux marchands des quatre-saisons qui argumentaient à propos des mérites respectifs des mules et des ânes, tous deux pouvant de targuer de l'entêtement que l'on prêtait à leurs bêtes de somme favorites."
Je sais pas si tu es plus doué que moi, mais j'ai du la relire deux fois la phrase, pour la comprendre. Et finalement c'était pas la peine parce qu'elle sert à rien. Mais ça utilise 5 lignes alors c'est bien.
L'histoire elle se passe au XIXe siècle à Londres. Et ça implique encore un truc saoulant, c'est l'auteur qui veut montrer qu'il a bien étudié Londres au XIXe siècle, que ses recherches furent longues et fructueuses et blablabla, et qu'il a pas commencé son roman un jour d'ennui entre le café et la douche.
Donc à chaque fois qu'il peut recaser de petites références qui ont rien à faire dans l'histoire, il le fait. Et surtout, le pire, c'est qu'à chaque fois qu'un personnage se déplace, il te fait tout le trajet rue par rue.
"L'infirmière traversa Mayfair par un itinéraire direct : elle passa l'angle de Grosvenor Square, longea Duke Streer, et poursuivit ves le nord."
Le presque mieux du mieux c'est quand même dans les dialogues. Il fait exactement ce que je faisais quand j'étais jeune et innocente et que je voulais écrire un roman. Pour pas dire "dit-il" tout le temps, il utilise des synonymes. Mais le truc qui fait pas du tout naturel, parce qu'à chaque fois qu'ils parlent il utilise un verbe différent avec vingt-cinq qualificatifs.
"[...] Insista calmement Mrs. Tanner.
[...] maugréa Cranks d'une voi pâteuse.
[...] répondit Mrs. Tanner avec une naïveté délibérée.
[...] rétorqua Mr. Cranks, bopuffi d'un orgeuil d'ivrogne.
[...] intervient Arthur DeSalle."
Le pire dans tout ça, c'est que ce livre c'est le sixième d'une série, et ça m'a donné envie de lire les autres tomes pour savoir ce qui arrive à la fille. Mais je sais pas si je vais supporter ce style décapant pendant 5 livres, ou même un seul.
De krommlech.
Rangé dans Pas douétitude innée.
Jeudi, 10 décembre 2009.
Je parle des gens qui font le machin du patrimoine, parce que les autres qui font un mémoire et blabla, ils ont plus d'heures de cours que nous. Plus leur mémoire. Nous on a rien.
Les patrimonieux sont ménagés.
Je vais avoir d'ailleurs 39h de cours sur le patrimoine, répartis par-ci par-là dans mon emploi du temps du semestre (s'ils arrivent à trouver des trous là -dedans), de préférence le vendredi en fin d'après-midi au quatrième étage.
À part ce surmenage qui fait une moyenne de trois heures par semaine, ça sera plus facile.
Le mardi après-midi je vais avoir 1h30 sur l'histoire de la Lorraine, et une semaine sur deux, deux heures d'informatique. Avant ça, y'a rien le lundi ou le mardi matin pour nous faire un petit week-end prolongé. Un week-end double en quelque sorte.
Ensuite le mercredi on a rien parce qu'on se repose du mardi après-midi, qui représente une sacrée charge de cours par rapport au reste de la semaine.
Ensuite le jeudi j'aurai cours de 14h à 15h mais pas plus.
Ensuite le vendredi, mais seulement une semaine sur deux, j'aurai deux heures d'anglais le matin.
Si t'as pas envie de te tartir à additionner cette multitude de chiffres mais quand même que ça t'intéresse (peut-être tu songes à te réorienter dans le farniente), je vais avoir grosso et modo entre 2h et 7h de cours par semaine, plus les gugusses du patrimoine qui viennent nous parler pendant 39h. Les semaines dures j'aurai 10h de cours, on va dire. Dont deux heures d'informatique et deux heures d'anglais.
Quand même, hein ?
(J'ajoute pas que j'ai trois semaines de vacances dans le semestre et que je finis les cours le 30 avril sinon tu vas vraiment penser que je vais rien faire de mon semestre (t'as pas tort))
De krommlech.
Rangé dans Histoire d'étudier.
Mardi, 8 décembre 2009.
Donc je suis viendue te donner des nouvelles de Kromkrom mon chat, parce que je sais qu'il y a moults humains qui sont intéressés (soit 1.27 environ).
Dans l'épisode précédent, elle avait un machin neurologique qui était peut-être une tumeur ou une otite, franchement la vie serait plus simple si les animaux pouvaient donner leurs symptômes, hein (et les consultations seraient peut-être moins chères, en bonus).
Dans l'épisode actuel, elle a toujours son machin neurologique parce que y'a des bouts de son cerveau qui fonctionnent plus, mais dans l'ensemble ça fait juste qu'elle tourne la tête plutôt souvent et qu'il vaut mieux pas qu'elle aille dans les escaliers sous peine de choir.
Mais à part ça ça boume environ, surtout que comme elle passe 95% de son temps à dormir et les 5% restants à manger, elle a nul besoin d'emprunter les escaliers. Et elle est toujours assez vigoureuse pour tabasser Gogolito et nous charcuter d'un peu partout quand on lui file ses médicaments, elle est vaillante cette Jeannette-Pierrette.
Elle va rester comme ça jusqu'à la Saint-Glinglin mais elle est pas en souffrance ni rien, faudra juste lui installer un monte-escaliers comme Jean Lefebvre qui doit monter ses lunettes à sa femme, puis son tricot. Et puis elle va tourner la tête toujours mais ça lui donne une vue panoramique comme un hibou, alors c'est un peu bien.
Pour conclure, un cliché superbe que je pris pas plus tard que tout à l'heure alors qu'elle finissait ses croquettes au poulet, un régal en barre apparemment (enfin une barre en forme de croquette, du coup).
De krommlech.
Rangé dans Reportage animalier.
Lundi, 7 décembre 2009.
Avec de l'anglais ça fait plus épique, tout de suite.
L'histoire se situe ainsi :
- Géographiquement, la maison des dalmatiens de la montagne, dans ma chambrette.
- Historiquement, vendredi, entre 12h30 et 13h. J'avais pas de coucou sous la main pour plus de précision, tu me pardonneras.
Vévé était en train de vaquer à ses occupations sur l'ordinateur et après la sustente je suis redescendue en chambrette. Puis comme j'avais Bob le bricoleur sous la main, je lui expose le problème métaphysique du moment : il faisait froid dans ma chambre.
Froid du genre que mes mains sont glagla quand je tapote sur l'ordi alors que ma chaise de bureau est le truc le plus proche de mon radiateur, tu vois le sinistre.
Alors j'explique que depuis genre deux semaines, il fait toujours froid, même quand j'augmente consciencieusement le radiateur et tout, que dalle, que dalle.
Puis Vévé tente la solution pour débile moyen (moi) : "t'es sûre qu'il est allumé, au moins ?"
Et en fait, bah non.
Ça faisait deux semaines que j'augmentais en vain le petit numéro de la molette du radiateur parce que je trouvais qu'il faisait froid, mais ledit radiateur était sur OFF.
(Maintenant Vévé va être content parce que je me suis humiliée sur mon blog et pas seulement lui et ses talents de peinture, ça lui fera son cadeau de Noyel. (Haha.))
De krommlech.
Rangé dans Pas douétitude innée.
Lundi, 7 décembre 2009.
Et hop, affaire rondement menée.
Le petit point rouge c'est le pointeur laser de pomme, de l'amusement en veux-tu en voilà plein, rapport au fait que dès que Gogolito entend le CLICLIC pour allumer le pointeur, il se met au garde-à -lui.
Bref, observe le chat-kangourou.
La tapisserie arrachée c'est pas qu'on vit dans une maison en démolition, c'est le chat-kangourou qui l'arrache petit à petit
De krommlech.
Rangé dans Reportage animalier.
Si tu veux m'inviter au cinéma.
Dimanche, 6 décembre 2009.
Bref j'ai pris le questionnaire, j'ai remplacé une question par une autre, et aussi j'ai choisi deux films par catégorie parce que j'arrivais vraiment pas à me décider sur un seul, des fois.
Et crois pas que je me suis tartie à mettre un lien pour chaque film, si tu veux des infos va voir sur Google qui est ton ami, hein.
Et si toi aussi tu veux le faire, je t'en prie, copie-colle.
Les films dont je connais les répliques par cœur
Le cercle des poètes disparus
Le secret de Brokeback Mountain
(Je réécris les titres si tu es un peu bigleux, on sait jamais (note que là même moi j'arrive à lire.)
Les films qui m'ont traumatisée
Requiem for a dream. Genre, j’entends la musique et ça me donne envie de vomir, à peu près.
La passion du Christ. Immonde immonde immonde.
Les films que j'ai vu au moins 10 fois
Sleepy Hollow. La première fois que je l'ai vu, je l'ai regardé trois fois dans la même semaine.
Les deux tours. Trois fois au cinéma et ensuite en version longue pas mal d'autres fois.
Les films dont personne n'a parlé...et pourtant
Stage beauty. Je l‘avais trouvé trop top-moumoute quand je l'ai vu. Mais il avait une mauvaise critique dans le Première et d’ailleurs j'’avais envoyé un mail au journaliste qui a écrit la critique pour lui dire qu’il était pourri.
C.R.A.Z.Y. bon on en a parlé un peu quand même
Les films dont tout le monde a parlé...et pourtant
Astérix et Obélix mission Cléopâtre
Les Bronzés 3
Les films cultes que je n'ai pas aimés
Star Wars III. Ça me tapait trop sur le système les bruits de sabre laser.
Le monde ne suffit pas, j'ai mis, mais en fait n’imoprte quel James Bond sauf que celui-là c’est le seul que j’ai vu.
Les films que je pourrais voir 100 fois
Ensemble, c’est tout
Les chansons d’amour
HAAAAAA !
Les films qui me font toujours autant rire
Le dîner de cons : "Il s'appelle Juste Leblanc. - Ha bon il a pas de prénom ?"
Very Bad trip, je l’ai vu qu’une fois mais ça doit être le film pour lequel j'ai le plus rigolé au cinéma.
Les films que je n'ai toujours pas compris
The fountain : J'ai compris que y'avait Hugh jackman, et c'est tout.
Ocean’s 13 : y'avait la clim qui m'empêchait de réfléchir, c'pour ça.
Les films que j'aime sans savoir pourquoi
Le roi Arthur (si je sais, je suis en amour pour Lancelot)
LOL. Peut-être parce que j'aurais bien aimé avoir des bouts de ça dans mes années lycée.
Les films qui m'ont perturbée pendant des jours
Le vent se lève. Mais je l'aime trop.
L’armée du crime, et tous les films sur la seconde guerre mondiale que j’ai vus, en général.
Les films qui me feront toujours pleurer
Léon, il a la palme.
Gladiator, à la fin, là , affreux.
Les films dans lequel j'aurais voulu être
L'auberge espagnole.
Le journal de Bridget Jones.
Â
Les films vraiment trop nazes
La chute du faucon noir. Argh.
Peut-être. On était tombés dessus une fois avec Vévé et on a failli mourir. pourtant c'est Klapisch avec Romain Duris, mais.
Les films cultes que je voudrais voir
Le dictateur, et je l'ai en DVD, faut que je m’y mette.
La liste de Schindler, parce que je l'ai ps vu en entier.
Les films que tout le monde a vu sauf moi
Twilight
Star Wars épisodes 1,2 , 4, 5 et 6.
Les films que je refuse de voir
SAW. N’importe lequel des 27.
Le jour d’après.
Les films qui mettent de bonne humeur
Juno
Little miss sunshine
Les films qui m'ont déçue
Pirates des caraïbes 3
Da Vinci code
Les films de mon enfance
La gloire de mon père, et le château de ma mère.
Forrest Gump.
Et aussi quatre bassets pour un danois et Beethoven, évidemment.
Les films vus en dernier
2012, j'en ai aprlé.
L’imaginarium du Dr Parnassus : ouais, ouais, ouais !
Â
De krommlech.
Rangé dans Au cinéma lala.
Dimanche, 6 décembre 2009.
Finalement, on a mangé des bretzels avec du gruyère et des lardons, Elo Anne-So et moi, et Youguette a acheté des minis beignets qui sentaient l'huile (je te dis pas qui en a mangé six mais ça commence par Y) et aussi on a mangé une banane recouverte de chocolat (surtout moi). On a attendu le bus dans le froid et après on est allées se réchauffer au Quick sauf que le bus est arrivé avec ses 20 minutes de retard donc on a du sortir du chaud. On a aussi mangé des Schokobons en buvant des trucs chauds (c'est presque l'hiver alors notre corps brûle des calories pour réguler sa température alors il faut qu'on mange beaucoup de choses grasses et bonnes).
On a essayé de gagner des Nintendo DS et des boules de Noël, on a regardé des trucs en ambre et aussi des vernis à ongles, et puis on a essayé des chapeaux moches (surtout moi). Et on a croisé les anges et des rois mages, et cinq mille paquets de M&M's pour le Téléthon.
Lise a dessiné un grand rectangle avec dedans un petit rectangle et dans le petit rectangle des gribouillis. Ça c'est sa description de son dessin pour nous faire deviner. C'était une cheminée. Ouais, ouais.
Et à un autre moment elle devait dessiner des frites, HAHAHA.
Et puis dans tout ça, finalement, on a pas pu voir le feu d'artifice de Nicolas le saint parce que la place de Stan était remplie. Y'avait que les vieux avec une invitation et aussi les handicapés qui pouvaient y aller, et Lise a pas voulu se faire passer pour une handicapée pour qu'on passe, alors voici.
Par contre on a bien entendu les feux, sauf qu'il y a de grands bâtiments partout dans Nancy, c'est agaçant. Ha et aussi à une seconde on a vu le reflet d'un feu d'artifice dans les vitres de la Caisse d'épargne, mais c'est tout.
Mais de toute façon hier c'était même pas la Saint Nicolas, c'était la Saint Dalmatien de Pavie. C'est-à -dire que c'était la fête à nous, les habitants de la maison des dalmatiens de la montagne !
(Sinon pomme il s'appelle Nicolas, mais j'dis ça j'dis rien.)
De krommlech.
Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.
Mystère et boule de chewing-gum.
Samedi, 5 décembre 2009.
Quel est le point commun entre les champignons hallucinogènes, Hamlet, la sédentarisation des hommes au néolithique, le BCG et les accidents miniers ?
C'est pas une blague de Carambar ni rien (prends jamais le McFlurry Carambar chez McDo, c'est juste improbablement pas bon ce truc), c'est rapport à mes activités de fac d'historienne.
J'ai un cours, ça s'appelle histoire de la Lorraine. Parce que je suis fac d'historienne et lorraine, ça tombe bien dis donc dis donc.
Bah dans le cours, pour l'instant, on a fait l'histoire de la Lorraine de Mathusalem à nos jours, ça ça va c'est normal. Mais après, on a fait l'anthropologie de la mort dans le monde, puis l'archéologie des cimetières dans le monde occidental, puis le suicide avec des extraits de livres, puis la tuberculose, puis le feu de saint-Antoine, puis on va avoir un cours sur les accidents dans les mines et aussi un cours sur la peine de mort.
Et apparemment y'a une connexion entre les thèmes puisque le partiel c'est un écrit de deux heures qui fera une synthèse de tout.
J'ai un peu du mal à saisir le concept, c'est pourquoi je te demande ton avis, sait-on jamais que tu sois lucide ou que tu vives dans la même logique que les prof d'historiens (si c'est le cas ça doit être gratiné).
Sinon je suis dans l'impossibilité psychologique de réviser mes cours, et j'en ai 17 et les partiels c'est dans un mois moins un jour pile poil poule et pomme est là pendant les deux semaines de vacances, mais sinon tout va bien se passer ne nous inquiétons pas.
Donc tout va bien se passer.
De krommlech.
Rangé dans Point d'interrogation.
La malédiction des fac d'historiens.
Vendredi, 4 décembre 2009.
Le bâtiment principal, il a quatre étages. L'étage des historiens, c'est le 4e.
À chaque fois, pour la moindre petite heure de cours, on est obligés de se taper les 111 marches qui mènent au palier du quatrième (depuis le déluge, je les ai comptées).
Puis c'est uniquement tourné vers les fac d'historiens, et trop pas vers les prof d'historiens, rapport au fait qu'eux ils ont leurs ascenseurs privés où y'a qu'eux qui peuvent aller dedans.
Pourtant, quand la fac a été inaugurée là -bas dans les années soixante, figure-toi que le doyen c'était un historien (le papa de ma prof de quelque chose, hé, ça t'épate ?). Du coup on aurait pu penser à un peu de commisération pour les fac d'historiens, mais que dalle.
Et alors aujourd'hui, par un hasard de la miséricorde, il se trouve que j'ai un cours de 17h à 19h.
Déjà un cours le vendredi de 17h à 19h, c'est juste une aberration de la nature, on est d'accord ?
Et bon, j'ai pas fait des statistiques, mais je dirais que le vendredi à 17h, il doit y avoir en moyenne 4,27 personnes qui ont cours sur le campus, profs compris. Déjà le vendredi matin y'a personne, l'aprèm je t'en parle même pas, alors de 17h à 19h, laissons-nous rigoler.
Donc ça doit être beau, dégagé, noir, lugubre, et vide (c'est ma première fois à la fac un vendredi après 16h, je suis émoustillée).
Bah voilà , même avec 4.27 paumés dans la fac, et environ 98.7% des salles vides, à tous les étages, À TOUS LES ÉTAGES, ils nous ont remisés au quatrième.
Sans rigolade.
On va devoir se taper les 111 marches alors qu'on ne sera entouré que de vide, qu'on marchera sur du vide, et autres choses à base de vide.
Ça me fatigue d'avance. (Pour rattraper, après les cours je vais au resto avec Youguette, HINHIN.)
De krommlech.
Rangé dans Histoire d'étudier.