Et voilà, 10h11 en train de tapoter ceci alors que je suis censée passer mon oral de 9h45 à 10h15, si c'est pas beau la technologie moderne quand même ! Aucun rapport.
[Bien sûr le temps que je finisse l'article, que je mette en page, que je vaque à mes diverses occupations, il va être beaucoup plus tard, mais c'est le destin que veux-tu.]



Vois-tu ("Vois-tu, je sais que tu m'attends" nan c'bon j'recommence pas avec mon ami Victor), je devais passer à l'oral à 9h45 sachant que c'est un quart d'heure de préparation et un quart d'heure de passage et que je suis huitième dans la liste alphabétique. Cependant nous étions convoqués à huit heures, et comme une brave bonhommette que je suis, me suis levée à 6h30 pour être là-bas à 8h pour pouvoir passer à 9h45. C'est-à-dire la pointillosité de la fille.
Le programme était de relire les petites fiches que j'ai allégrement faites au cours de la semaine, rien que pour rentabiliser le temps que j'ai passé à les faire, puis lire mon chouette roman jusqu'à ce qu'on m'appelle. Ceci accompagné de musique dans la théorie, mais dans la pratique l'ami MP3 a eu un bug ce matin vers quand j'étais en train d'attendre le train à la gare. Donc dans le silence oppressant du couloir du quatrième étage de cette université à demi désertée. Nan je plaisante.
Bref, à 8h j'étais tranquillement assise par terre dans le couloir à relire ma petite fiche intitulée Qu'est-ce que la Renaissance ? première de la série de petites fiches, avec à mes alentours quelques 4 gugussons qui attendaient en oabcem, et le prof s'est pointé pour faire l'appel, 'fin normal.
Numéro 1 était déjà dans la salle, numéro 2 n'était pas là, alors hop le prof il demande un volontaire pour passer direct. Et puis tu sais quoi? Ces 4 forts aimables bonshommes qui attendaient avec moi ce sont tous mis à me regarder un peu comme quand on regarde un aquarium tu vois ? Le prof il en a déduit très justement que ça voulait dire qu'ils voulaient que je passe d'abord. Des gentlemen, ces braves.
Mais j'en étais à la première petite fiche intitulée Qu'est-ce que la Renaissance ?, sur huit petites fiches que je me suis tartie à faire (et hier je les ai juste relues une fois dans l'aprèm et une fois avant Morphée, parce que suis allée voir Pirates des Caraïbes avec famille puis suis allée au restaurant, haha, et donc j'étais absente quelques 7h de la maison dans les environs et donc j'ai pas pu passer ma soirée à relire tout ceci, trop bête). Mais avec mon esprit de sacrifice légendaire (comme si), je me suis traînassée vers la salle pour dans la joie et l'allégresse préparer un truc sur l'essor des marchands pendant la Renaissance (Marchands et banquiers, petite fiche numéro 6-que-je-n'ai-pas-eu-le-temps-de-relire).

Le prof m'a gentiment laissé palabrer sur les lettres de changes et les assurances et Venise et les Médicis et les Fugger et le mécénat et blablabla et blablabli.
Après il m'a dit un truc comme "il faut oublier sa timidité quand on passe à l'oral." Hahaha, oui bien sûr. Compte là-dessus et bois de l'eau fraîche mon bon ami.
Après il m'a posé la question hahahante de l'année, comment fonctionne une lettre de change ? Et j't'embrouille, et j't'embrouille, et à grand renfort de stylos-ça-c'est-le-vendeur-ça-c'est-l'acheteur et de craies-ça-c'est-les-intermédiaires et de temps perdu et de à la sueur de mon front et de n'importe quoi, finalement je me suis extirpée de la question. Non sans quelques pertes (de points), note bien.

Après avoir rangé mes affaires, déguerpi de la salle, whouhoué intérieurement dans les escaliers sur mon statut de vacancière-enfin, attendu des plombes au comptoir de la BU pour rendre un bouquin, découvert qu'en fait on pouvait mettre les bouquins à rendre à la BU dans une boîte aux lettres prévues à cet effet (mieux vaut tard que jamais, soit-disant), indiqué son chemin à l'individu alpha, et voilà, je me suis retrouvée libre comme l'air à 8h36.
Bon plan, bon plan.

Sauf que je devais faire achetage du cadeau de moman Chritelle, mais le premier magasin ouvre à 9h30 dans ce bled et j'avais pas envie de patienter en vaquant à des occupations non-traînage-dans-les-magasins-de-livres-et-de-cartes-postales. Alors merci mal ça attendra, je me suis engouffrée dans le bus de neuf heures et me voici me voilà à te raconter ce palpitanisme qui te trépide je n'en doute pas.



Je t'ai dit que j'ai eu 18 à mon partiel d'anglais ? Haha nan je t'ai pas dit j'ai su ce matin.
J'me-la-pète, parce que ça sera la seule note que je peux exposer avec la fiertitude de rigueur (enfin vu la tête du partiel on peut oublier la fiertitude, mais chut toi tu sais pas ça), alors profitons-en les cha-mis.

Sinon, j'aime plus trop aller à l'UGC, parce que c'est en VF alors on peut pas entendre la jolie voix de Johnny Depp et c'est plutôt balot balot. Et les gens ils font des bruits de manger ou des bruits de téléphone portable, Glingling, sale niouk on éteint son portable au ciné, ou alors on a pas d'amis, au choix. Plus souvent qu'au Caméo, le glingling.
Et puis aussi, y'a les lumières qui se rallument dès que l'écran devient noir. Même pas le "Directed by Gore Verbinsky" (je prie pour que l'orthographe soit bonne mais j'ai la flemme de vérifier en fait) affiché, déjà de la lumière et c'moyen pas hilarant. Et les gens ils se lèvent tous comme des gredins et toi t'es là et tu veux regarder le générique mais y'a ce grand dadais debout devant toi qui cache l'écran, tu veux écouter la BO et y'a cette enclume à côté qui raconte sa vie à son autre voisine, et elle te cache le son.

Par contre Pirates des Caraïbes y'a des moments assez désopilants. Larry reste mon préféré, je me suis gaussée pendant un moment.
Me souviens plus du texte exact alors je t'en fais grâce, mais c'est le moment où Jack parle de la non-imagination des pirates pour donner des noms aux trucs, d'ailleurs il a connu un pirate à qui il manquait les deux bras et un oeil. Et comment il s'appellait ? Larry. Et démarrage de l'esclaffe mais tu peux pas comprendre si t'as pas vu le film (et si tu l'as vu t'as aussi trouvé ça gaussant ?).
Et bien sur le grand moment de désopilance, Will (Orlando Bloom il est beaaaaaaaaaau. N'imp mon bon monsieur, il a de chouettes noeils mais le reste est superflu) qui se la joue pirate avec son bandana et sa chemise virilement ouverte sur son torse. Rien que d'y repenser j'ai des gloussements qui naissent dans la zone du rire (et non dans la zone de la groupie-tude, confonds pas).

Sinon ils avaient du mascara méga waterproof à l'époque mine de néant, pas un poil de noir sur les joues après s'être échoué sur une île, avec l'option "le bateau se retrouve dans l'eau et on est tout mouillé". Ha bien, les cheveux mouillés, oui, le mascara qui coule, non. C'est qu'on rigole pas avec ça, ils ont pris de la qualité niveau maquillage.

Et puis si ça t'intéresse (pas), je me suis amusée ("amuser" ici présent étant le synonyme du verbe tartir-parce-que-ça-m'intriguait-mais-j'ai-vu-mieux-niveau-ludique (mais tu vois bien que ça va plus vite d'écrire "amusée")) à calculer à l'aide de tous mes bulletins de collège et lycée que j'ai retrouvés (c'est-à-dire tous sauf ceux de cinquième et du troisième trimestre de sixième, bande de boulets échangeurs de bulletins dans les dossiers scolaires en action), à calculer, disais-je, la moyenne globale par matière que j'ai passée au bac, sauf la philo ça compte pas ça (c'est-à-dire pour les non-compréhensifs, pas les matières que j'ai pas passées au bac comme la techno ou la musique ou le latin ou tu vois).
Je vais pas tout t'exposer je tiens un minimum à ta survie, et l'ennui est un moyen efficace de trépas, mais j'ai remarqué qu'outre le sport (Sporty Emil, c'bien connu), la matière dans laquelle j'ai globalement eu la plus mauvaise moyenne (enfin mauvaise, comprenons-nous, 13.67 hein (balancement de coquelicots activé)), c'est l'histoire.
Ce qui laisse un grand mystère sur le "pourquoi suis-je fac d'historienne je vous le demande".
Mais quand même, vive le collège et ses moyennes hululantes sans rien faire, j'adhère (rime, rime !). Comme ça ça me fait de très jolies moyennes, haha, et je dirais même plus haha, et voilà ça sert à rien mais j'avais envie.

Bon bah tais-moi maintenant.

De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

J'ai un peu peur des fois que mes pieds ils se canardisent si je descends trop souvent les escaliers qui vont vers le sous-sol de la maison des dalmatiens de la montagne.
Les marches elles sont pas grandes comme ça (tu peux éventuellement songer que mes pieds sont trop grands aussi, mais merci mal je préfère la version des marches), alors je suis obligée de m'encanardiser de la démarche pour descendre les escaliers en courant, sans passer par la case "je porte le poids de mon corps sur la plante de mes pieds qui ne touchent pas le sol et je chois sans graciosité".
Et puis souvent je cours dans les escaliers parce que je suis pressée de redescendre peut-être, pour regagner ma chambre ? Je sais pas juste je cours.
Et je pense bien à baisser la tête vers la fin quand le plafond est bas et que si je cours ça tressaute du crâne et ça fait monter le niveau de ma tête et ça rentre dans le mur qui est aussi le plafond et bim ça fait mal. Alors je pense à baisser la tête sauf une fois ou deux j'ai oublié et ça fait mal.
Mais sinon c'est plutôt un réflexe.
C'est pas la peur comme la cubiculacétphobie qui a l'air ridicule comme ça mais je suis couarde t'façon, ou la peur de s'éclater l'oeil nan mais vraiment ça je passe, la peur de la souffrance physique, ha là ça fait plus sérieux, et la peur qu'ils tombent mais ça n'en parlons pas avant d'avoir compris le pourquoi du parce que [Qui n'existe pas m'est avis c'est juste du n'importe quoi]. Plutôt une peur pour pas chercher le mot qui convient le mieux.

À un moment ça ressemble à un partiel d'anglais confirmé où rien n'est confirmé et ils donnent un texte à trou. Y'a un trou, voilà c'est pas du gruyère ici. Dans le gruyère y'a pas de trous, mais ici y'en a un.
Sauf qu'il y a pas de sournois ou bien alors d'espace vide ou bien alors de tiret-de-la-touche-huit. Devine.
Tu devines où il est le trou et tu devines ce qui va dedans, et la consultation des copies c'est le 14 juin de 15h à 15h12, et sinon tant pis tu sauras jamais.

Ils parlent des prénoms qui sont dans les chansons et qui deviennent des modes. C'est à cause de Roch Voisine qui est là, et qui a chanté Hélène (mais pas il s'appelle Hélène il est une fille commeuh les auuuuuutreuhs).
Ils ont même pas dit Emilienne.
Quoi y'a une chanson avec Emilienne, et c'est pas devenu une mode de s'appeler Emilienne ? C'était tendance vers 1921 j't'assure !
"Emilienne, ta mère a dit qu'tu r'viennes"
Quand j'étais petite je l'entendais souvent, souvent, maintenant ça va.

Des fois je me demande si les gens ils sont pas déçus ceux qui cliquent sur les liens des derniers articles postés depuis Cowblog. Ils trouvent le titre hululant ou j'sais pas, et là aucun rapport.
C'plutôt balot.

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Tes amis sont là, pas très loin, à portée de voix. Tu vois qu'ils sont là, alors qu'ils ignorent que tu es là. Disons qu'ils n'ont aucune certitude, mais certains doivent savoir que tu n'es pas si loin, qu'en t'appelant un peu plus fort qu'un murmure, tu te montrerais. Ou peut-être pas.
Ils sont là, pas très loin, tu aimes bien, doux euphémisme, être avec eux. Tu aimes bien leur parler et que vous riiez ensemble.
Tu as, pourquoi pas, envie de leur parler, mais tu restes là, invisible à leurs yeux, sans même te demander pourquoi tu le fais. Tu le fais, et puis voilà.
Tu t'occupes, ou plutôt tu essayes, pour ne pas penser à eux, à leur présence. Pas toujours, mais parfois. D'autres fois tu t'occupes pour d'autres raisons.
Tu suis leurs mouvements du coin des yeux, et tu restes où tu es, coi, immobile.
Et au bout d'un moment, tu te dis, ça y est, il est temps. Certains sont repartis et tu les as ratés, c'est dommage, mais tu te dis, une autre fois. D'autres sont encores là. Ils te voient arriver, et t'accueillent à bras ouverts.
Tu souris, parles avec eux, te demandes pourquoi tu es resté si longtemps près d'eux sans bouger.
Ou plutôt, tu souris, essayes de parler avec eux, et pourrais te demander pourquoi tu es resté si longtemps près d'eux sans bouger. Sauf que tu n'as pas vraiment le temps, maintenant vous êtes là, les uns près des autres, vous vous voyiez tous, et tu restes coi, vous restez cois, immobiles.
Tu ne te demandes pas pourquoi, tu te souviens.
Alors lentement, tu retournes là où on ne te voyait pas, mais où tu pouvais suivre leurs faits et gestes. Tu les regardes se mouvoir, et tu les vois moins bien que si tu étais avec eux, mais tu les vois suffisamment.
Tu restes coi, immobile, jusqu'au moment où tu te diras, ça y est, il est temps.
Et ça recommencera.

POUCE, maintenant.

De krommlech.

Rangé dans Guilleret c'est où ?

Nous sommes en deuil les cha-mis. Enfin moi oui et par extension toi aussi parce que tu vas pas me laisser seule dans mon chagrin ou tu vois.

En l'an de grâce 2006, quand nous étions vers le 4 novembre se tint une panne de courant dans le secteur du coin d'ici.
Mais là n'est pas la question, alors.

En l'an de grâce 2006, quand nous étions vers le 4 novembre, disais-je, se tint l'anniversaire de trois bonhommettes là-bas présentes, dont imou. Et imou se vit offrir entre autres joyeusetés LE verre tordu de chez Printemps (quand tu dis "tordu" il faut faire la petite danse qui va avec pour être optimal) par ses très chères potines.
Celui-là même dont j'étais tombée amoureuse en traînassant du côté de Printemps un bel après-midi d'avant le 4 novembre.

Ce fut un plaisir de m'abreuver [presque] chaque matin du lait indispensable à ma survie avant-midinale à ses côtés, d'observer sa orangitude innée se transformer en une espèce de couleur indéfinissable quand on le remplissait de jus de fruit, de le porter amoureusement à mes lèvres, et tous les caetera.

Cependant popa Vévé en faisait la vaisselle vers hier a très incidemment brisé ce compagnon fidèle et orange. Et il m'en a fait part aujourd'hui-même, posant sur mes épaules le poids de la culpabilité de l'avoir laissé seul dans un moment si cruel (LE verre, pas mon popa. Vévé il s'en remet bien, pas de choc psychologique à déplorer merci pour lui (et pourtant, quelle épreuve !)).
Mais assez de gausseries, on est en deuil saperlipopette.

Il va me manquer, LE verre tordu (petite danse de coutume) de chez Printemps, mine de néant.

Maintenant il va se réincarner en autre chose et il va m'oublier, mais moi je l'oublierai jamais.
Jamais.



[Veuillez excuser ce n'importe quoi de tonalité et tout les toutims, et porter la responsabilité de ceci sur le compte du choc émotionnel.]

De krommlech.

Rangé dans Pas douétitude innée.

J'ai rien à dire, alors je dis pas grand chose.

Je vais dans le jardin avec le cochon d'inde de soeurette (des fois que tu saches pas qu'il y a un cochon d'inde dans la casbah, vu que je parle que de Krom animaux de compagnièrement) et aussi avec l'appareil photo.
Je prends des photos de l'animal et aussi de mon cerisier et aussi des fleurs avec des bêtes zzzzzzz-zzzzzzzzzoantes dedans. Des photos des fleurs sans bêtes zzzzz-zzzzzoantes aussi dedans, là c'est des roses, et plein de gens prennent de jolies photos de roses, alors laissons-leur les photos de roses à montrer.

Par contre personne prend de photo du cochon d'inde de ma soeur ou bien de mon cerisier ou bien des fleurs de ma moman avec les bêtes zzzzz-zzzzzoantes dedans, alors je peux montrer ça fait exclusif.
Exclusivement dépalpitant, ou tu vois.

Des fois j'oublie même le mode macro, mais des fois non alors c'est pas si grave.

Aujourd'hui Elisabeth Teissier, qui conseillait François Mitterand le président de la République avant qu'il prenne des décisions importantes, et qui maintenant m'explique ce qu'il va se passer dans ma semaine si je lui fais confiance (belle promotion), elle m'a dit que vendredi j'allais gagner des sous ou bien en perdre, et aussi que j'allais changer mon organisation de travail la semaine prochaine.
Je pense que ça veut dire que vendredi j'achèterai un cadeau de fête des momans à Chritelle et aussi que je vais réviser mes cours sur la Renaissance pas au dernier moment.
Sinon elle a tort Isidore et c'pas malin malin.









C'est juste pour te faire envie avec mes cerises et te montrer les bêtes zzzz-zzzzzoantes et aussi te présenter Helena (un jour elle s'appelait Helena, mais maintenant je sais plus alors on va dire qu'elle s'appelle toujours comme ça, d'accord ?). Aussi y'a le gros zzzzz-zzzzzzoeur mais toi tu vois pas comme il est gros alors c'balot.

J'aime bien les trucs qui servent à rien sauf des fois. Mais là j'aime plutôt bien que ça serve à rien.

De krommlech.

Rangé dans Photo-photo.


De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Quand on était vers l'année dernière ou celle d'avant, mais plutôt la dernière, aux alentours de midi par exemple en attendant qu'il y ait moins de gens dans la file de la cantine on savait pas tellement quoi faire avec potines et potines et les caetera, alors la plupart du temps on allait sur les 'rdinateurs. On s'envoyait des emails, on laissait des messages dans le forum, on s'amusait avec Google traduction (que d'esclaffe avec Google traduction n'empêche), 'fin on passait le temps tu percutes.
Aussi on faisait les questionnaires, tu sais ceux que tu reçois des milliards de fois dans ta boîte email et que tu te retrouves à remplir le soir quand tu sais pas quoi faire, et que si tu t'ennuies vraiment trop beaucoup tu postes sur ton blog. Ça c'est chouette après tu lis les réponses des autres et tu te gausses, j'aime bien. T'apprends des bidules et tu peux les ressortir au cours de la convers anodinement et c'est plutôt hululant.
Y'avait un des questionnaires, c'est pas toi qui remplis sur toi c'est la personne à qui tu l'envoies qui remplit sur toi. 'Fin je présume que tu l'as déjà eu c'pas tellement probable d'avoir échappé à ça, mine de néant.
Et la question numéro 6 ou 16 ou quelque chose en 6, c'est quelle est ma plus grande qualité/mon plus grand défaut.
Y'a des gens ils s'abstiennent de répondre et y'en a d'autres ils remplissent (tu remarqueras que les gens sont plus enclins à citer les qualités que les défauts d'ailleurs), et ils disent des trucs plutôt en accord entre eux en fait.

"toujours disponible et de bonne humeur, un vrai rayon de soleil!! (ce qui explique que tu n'as jamais froid!!)"
"t'es toujours en forme et partante pour tout et n'importe quoi, c'est bon pour le moral (des autres)"
"Ton humour et ton énergie, on ne peut pas s'empêcher d'être de bonne humeur quand on discute avec toi."
"ta bonne humeur !!!"

Un peu une fête des coquelicots ou tu vois.
Maintenant je me demande si les gens ils diraient encore la même chose, mais quand même ça m'avait fait faire des sourires plus grands que comme ça en lisant, et à chaque fois que j'y repense aussi d'ailleurs, c'est de là qu'était venu mon trip de cacheton de vitamine C, que de souvenirs, que de souvenirs, c'était le bon temps ma brave dame.
Nan j'arrête de partir en n'importe quoi promis.

"Ce n'est pas vraiment un défaut mais il est parfois difficile de savoir ce que tu penses ou ressens c'est comme si tu voulais empêcher les gens d'être trop proches de toi."
"ce n'est pas vraiment un défaut ça dépend des circonstances: on ne sait jamais ce que tu penses, donc on ne devine jamais ce que tu vas dire... "

Remarque le "ce n'est pas vraiment un défaut" qui permet de modérer les propos puis-cités, c'est beau la vie quand même.

Et donc je me disais c'est vrai pour la défautisation parce que quand même, je voulais te parler de mon nouveau trip du moment, et j'avais commencé à tapoter, et je l'avais pas sorti de but en rouge comme ça, nan je t'avais préparé une jolie métaphore (jolie, c'est de l'ironie pure souche) à base de cheval blanc d'Henri IV (oui carrément, le cheval blanc, c'est r'cherché).
Et puis en fait je suis partie dans mes associations d'idées, et c'est pour ceci que je suis allée exhumer ces questionnaires terminaliens, et voilà.
En plus du fait que je suis dans ma période qualités-défauts, pour occuper mes longues nuitées de printemps à attendre le type au pavot, 'fin tu te rappelles ?

Du coup je me suis abstenue de mon trip de métaphore, surtout que je me suis dit que finalement c'est suffisamment compréhensible pour des êtres humains qui me connaissent un tantinet soit peu et alors très peu pour imou je préfère le garder par-devers moi-même jusqu'à ce que trépas s'en suive.
J'suis d'humeur exagératrice en ce soir d'hui tu remarques ?
Bref tu ne sauras rien de mon histoire de cheval blanc, c'est triste quand même, j'suis sûre tu en bouillais d'envie, hein ?
Mais tu rates pas grand chose, parce que c'était non-palpitant. Un peu comme un coeur de cadavre, non-palpitant comme ça.

Et donc au départ j'avoue il devait y avoir un but à toutes ces billevesées, mais là j'ai omis. Y'a JULIEEEEEN (groupie-attitude) qui vient de chanter, et y'a un entretien avec mon petit bonhomme qui a lieu dès maintenant, alors merci mal mais j'ai de l'excuse sous le coude, et donc tu n'auras pas le droit à la conclusion rationnelle que tu serais en droit d'attendre.
Trop bête.

P.S. : André Machinkian il en a jamais marre avec ses citations ? Et Saint-Augustin blablabla et Pythagore bliblibli, mais c'pas bouillon de culture ici, on regarde pas M6 pour réfléchir sinon ça s'saurait.


De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

Sur les huit gugussons dans mon champ de vision bussique, y'en a sept qui avaient des écouteurs dans les oreilles. J'aime pas les transitions toujours. J'ai l'air d'avoir douze ans sans mes lunettes, dit-on. Plé-o-nasme, en avant les histoires ! La huitième personne avait l'air d'un psychopathe qui éventre ses victimes pour les étrangler avec leurs intestins, oui, oui. J'ai pas tenté la date du départ en croisade de Louis VII pendant laquelle Suger était régent du royaume, trop ambitieux. Par contre avec mes lunettes j'ai l'air d'avoir quatorze ans, on s'améliore petit à petit. Denis il aurait mieux fait de se recoucher plutôt que de se trimballer avec sa tête sous le bras et de se faire canoniser, nan mais vraiment. Il arrive bientôt l'article sérieux mine de néant ? Je présume que c'était pas les capacités pingouinales versus les capacités de sans-bras sinon c'pas tellement gaussant. J'ai parlé à mon ange bleu et c'est hululant encore plus que de la chouettitude absolue, enfin tu vois un peu. Maintenant que des photos d'imou ont chu dans un ranch je peux en mettre d'autres suis plus à ça près. Sur les sept personnes écouteurisées y'en a un qui faisait la fête du dodelinement de tête (ça f'sait longtemps hein ?), mais les six autres ils avaient plutôt l'air dépressivement suicidaires. C'est quoi le lien logique entre mon grand UN petit UN petit B, le vilain évêque de Paris jaloux il a piqué une paroisse à l'abbaye de Saint-Denis pour la filer à l'abbaye de Cluny et celle de Saint-Martin-des-Champs, et mon grand UN petit DEUX, le méchant seigneur de Corbeil il a laissé tomber une chapelle en ruines mais y'a eu des apparitions de la Vierge alors super-Suger il va construire un beau prieuré parce que c'est trop la classe ? Pas trouvé. Demain c'est le partiel de C2I et Youguette a parlé d'un truc smsiquement, un peu comme "réviser les cours" ou une bizarrerie du genre et maintenant j'ai le doute, peut-être il faut réviser ce bidule ? Mes lentilles je les mets plus depuis un an et demi mais c'est pas comme si je savais même pas où elles étaient sinon ça ferait vraiment désordonnée, c'est plutôt comme si j'aime bien mes lunettes-qui-sont-sales-tout-le-temps quand même, et c'est plus rapide que l'éclair à mettre whouhou. T'façon j'ai l'air d'avoir douze ans alors. Est-ce que c'est plutôt grave si j'ai dit que mon ami Suger il était mort en 1153 alors qu'il a trépassé en 1151 ? Peut-être bien qu'il était dans le coma pendant deux ans, finalement j'suis dieu je dois avoir plus raison que prof d'histoire quand même. L'autre fois, vers hier soir dans mon lit, je me disais que ça serait assez hululant de me réveiller un matin et de voir dans la nettitude absolue sans avoir à intercaler des bouts de verre entre mes noeils et le reste des trucs mondiaux. C'est quoi un muid ? Héé ça faisait longtemps qu'on avait pas entendu parler de Monsavon à la vanille nan ? Hop hop fini avec les amis dyonisiens médiévaux pour un moment, c'est pas chouette tout plein cela ? J'ai failli mourir d'un arrêt du coeur dû à l'effroi quand Julieta a par le plus grand des mazards sauté dans mon dos ce matin. Y'a trois liens qui traînent par ici, mais si tu rates les deux premiers c'est pas grave hein. Des fois j'arrive à tapoter des trucs sans regarder le clavier, un petit pas pour l'homme un grand galop pour imou, whouhou. En même temps ça m'inspire moyennement de me faire ouvrir le noeil pour mettre des bouts de j'sais pas quoi dedans. Ce soir avec un peu beaucoup (passionnément à la folie) de chance, peut-être Pierre-que-j'aime-pas-il-sert-à-rien il va être éliminationné et ça sera la fête dans les chaumières ? J'aime bien sur le bord de la route du bus y'a des tonnes de milliards de coquelicots, ça me fait des sourires comme ça et après j'ai l'air débile mais au moins j'ai pas l'air suicidaire comme les écouteurisés. Je pense que je vais aller faire un tour du côté du jardin pour voir mes amies les cerises avant que le soleil se casse la binette. Nan mais j'ai envoyé la photo où j'ai mon chapeau noir quand même c'la honte sur imou.  Mais c'est à mon pti bonhomme alors ça va. Ha non ça va pas il l'a imprimée n'imp n'imp. J'hésite entre commencer l'Herbe Rouge de l'ami Boris ou Electre de l'ami Jean, je vais demander aux pièces. Le problème c'est que je peux pas humainement laisser une case vide aors je réponds au pif quand je sais pas et du coup ça retire des points si c'est faux. Sinon c'est plutôt chouette les QCM. Ça a l'air d'être le bordel sur le dessus de mon armoire mais en fait c'est parce que c'est le bordel au-dessus de mon armoire. Remarque c'est plutôt pratique pour pas retrouver les trucs qu'on veut pas retrouver et hop hop qu'on met sur le dessus de l'armoire. En fait je voulais pas articlationner mais je voulais articlationner aussi, alors cet espèce de capharnaüm c'est un compromis, articlation sans avoir à se tartir un tapotage dans les équerres de l'art. J'ai pris mon cerisier en photo tellement je le trouve trop la classe et après mon popa il m'a montré les cerisiers des voisins et ça va je suis même pas jalouse du fait qu'ils aient plus de cerises que de feuilles. Mon mien je l'aime plus d'abord. Pourquoi j'ai pas l'air d'avoir dix-huit ans et toutes mes dents-sauf-celles de-sagesse ? Nan je mets pas d'image pour ilustrationner, mais t'as remarqué. Hier je regardais des photos et je me suis trompée et hop hop quand j'ai refermé la page j'ai vu le fond d'écran et c'était moi en gros plan un peu, et ça va je suis même pas morte d'un arrêt du coeur dû à la stupeur apeurée. J'ai remis des nuages à la place mais pas les mêmes qu'avant. Bon, voilà. Je me suis même tartir à tout relire pour effacer les fautes de frappe j'espère qu'il y'en a plus au moins. Utinam laeti sitis.

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

L'autre fois je t'ai dit que le prénom Elodie représentait l'archétype de la déesse, et là j'en ai la preuve formelle. Faut au moins être un archétype de la déesse pour me faire frétiller de joie comme ça (oui quand même j'étais contente).
Je te replace le contexte, le partiel d'histoire ancienne commençait à 8h dans la théorie, et dans la pratique il était 8h20 et on attendait que ça commence.
Le trip c'est qu'ils coupent la liste des élèves en deux, la première partie de l'ordre alphabétique à un sujet et l'autre partie un deuxième sujet, une travaille en histoire romaine et l'autre en histoire grecque.
Et pour décider qui fait quoi, ils demandent à une main innocente.
Et en l'occurence la main innocente c'était celle d'Elodie (mais Elodie G, pas Elodie qui est un grelon géant, des fois que tu sois à la ramasse niveau compréhension (Elodie G je t'en ai jamais parlé si tu t'en souviens plus c'normal.)).
Donc cette charmante mademoiselle utilise son innocente main pour tirer le papier qui décidera comment vont s'occuper le tas d'étudiants là-bas présents pendant les deux heures suivantes.
Et whouhou, elle a tiré histoire grecque ! Et donc la première partie de la liste fait histoire grecque, et l'autre partie histoire romaine, et c'est là que je remercie mon popa de m'avoir reconnue sinon j'aurais encore le nom de famille de ma moman, qui en plus d'être sujet à quolibets commence par un L.
Et donc dans la joie et la bonne humeur (nan je plaisante faut pas exagérer non plus. Disons que j'ai désenvisagé l'option suicide par overdose d'histoire romaine (overdose d'histoire romaine mais je risque pas de mourir d'une overdose de connaissance du programme d'histoire romaine, soit dit en passant)) j'ai tenté de commenter un discours d'Isocrate qui prônait une alliance panhellénique derrière Athènes pour lutter contre la tentative de domination perse en 380.
Ça avait l'air hululant hein ?
Et tu peux également avoir une petite pensée émue à l'évocation de cette pauvre Youguette qui étant affublée d'un nom de famille R-débutisé, a eu la grande chance de faire une dissertation à propos de je-ne-sais-quoi au juste en rapport avec l'empereur romain aux IIè et IIIè siècles.
Mais quand même, malgré les déboires de Youguette (c'est pour faire genre un peu), je trouve qu'Elodie G devrait se voir ériger une statue.
Bien sûr ça ne sous-entend pas comme l'ont follement cru mes parents que j'ai réussi l'épreuve. Je leur dis "ça s'est mieux passé que si j'étais tombée sur l'histoire romaine" et ils en déduisent que j'ai réussi, ouais ouais c'est ça. Mais au moins j'ai réussi à recaser qu'Agésilas est devenu roi de Sparte en 398 et au moins je l'aurai pas appris pour rien. Mais bref tout le monde s'en fout de la note que j'aurai, c'pas le palpitant.

Et hier j'ai encore fait preuve d'une naïveté déconcertante (naïveté, crédulité, c'du pareil à l'idem sauf que naïveté ça fait moins niouk je trouve. 'Fin bref).
Vois-tu ("Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne peux demeurer loin de toi plus longtemps." Des fois je dis des trucs ou j'en tapote et ça me fait penser à d'autres bidules et ça fait style je connais des poèmes je suis cultivée. Ça fait juste style, mais bon) dans la nuit du pénultième jour à hier, j'ai dormi euhh vers 9h et quelques dizaines minutes par là. De plus j'ai pas fait une pseudo-sieste-qui-m'occupe-beaucoup-de-longtemps hier après-midi, j'ai passé au moins trois ou plus heures à réviser des trucs dénués de palpitanisme, j'ai fait du vélo (j'ai procédé à la fatigation de l'esprit et du corps, un esprit fatigué dans un corps fatigué, ou truc du genre), j'ai pas passé ma soirée devant le 'rdinateur-qui-empêche-de-dormir-soit-disant, je me suis couchée tôt, j'avais mis de la musique sans paroles pour pas être tentée de chantonner et donc me concentrer et donc empêcher le repos d'imou.
Et évidemment, tous ces facteurs additionnés à ma crédulité de bas-étage m'ont fait croire que j'allais bien dormir et que j'allais être toute plein de non-fatigue en me réveillant ce matin à 6h15.
P'is à minuit j'ai arrêté de regarder les minutes qui passaient et j'ai demandé à mon ami Morphée de se pointer plus vite que ça nom d'un minuscule bonhomme j'ai besoin de huit heures de sommeil pour survire surtout quand j'enchaîne trois levages tôt en trois jours pour trois partiels tous niouks.
P'is au bout d'environ mille plombes il s'est pointé quand même, mais il doit travailler pour la SNCF à ses heures gâchées parce qu'il était vachement en retard mine de néant.



Et hier dans un esprit de je-sais-pas-quoi-faire-titude, et parce que je me demandais l'autre fois, j'ai cherché ce que je pouvais bien avoir comme qualités et comme défauts. J'ai fait une sorte de liste ou tu vois, ça m'a occupé un moment alors c'tant mieux.
J'espère que avoir une plutôt bonne mémoire quand il s'agit de retenir des détails qui servent à rien et des dates d'anniversaires, ça compte comme une qualité, parce que j'ai mis.
Sinon tant pis je la raye.
Après je me souviens plus ce que j'ai fait mais y'avait Grey's Anatomy alors sûrement j'étais devant la télé à regarder Grey's Anatomy. Sauf que je me souviens plus à quelle heure j'ai fait la liste alors y'a peut-être un trou dans le souvenir de l'emploi du temps mais tu sais quoi ?
Je sais que tu t'en fous.

Bref je vais aller voir ce qu'on a de beau à me raconter sur les défrichements et l'essor des villes sous les Capétiens, et les rapports entre seigneurs et paysans et que sais-je encore. Au moins j'ai fini avec les hérésies et l'érémétisme et la réforme grégorienne et tous les blablatudes du genre, youpi youpi.

Bientôt y'a des cerises sur mon cerisier d'amour que j'aime plus que tout truc arbrisé au monde entier et ça va être la chouettitude absolue whouhouu !

Et mademoiselle le grelon géant je pense à toi pour demain et les jours d'après dans ta joie et bonne humeur examatorienne, et fais gaffe parce que je veux te demander ce que je veux alors !
Bref amuse-toi bien dans l'allégresse la plus folle et studieuse.

P.S. : Nan mais je l'aime cette photo, et vive le mode nuit étoilée quand on est dans sa chambre sans étoile et avec lumière, d'aillleurs.

De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

Plus de GLINGLING, whouhou !

Mardi, 22 mai 2007.

J'ai besoin d'un mode d'emploi. Même s'il est en polonais, m'en fous. Je me mettrai au polonais pour le déchiffrer. Mais un mode d'emploi ça serait sympa quand même.
Pour comprendre certaines personnes là. Elles ont pas la même logique que moi et j'ai du mal à comprendre ça. Pas la même notion d'envie, d'intérêt, de patience, de parler, et tous les caetera. Du coup je percute pas, et je voudrais bien quand même, je serais quitte de hmm disons perdre mon temps. Ou ma bonne humeur, au choix.

J'étais en train de réviser, mais "337, fondation de la Ligue de Corinthe par laquelle la plupart des cités grecques se soumettent à Philippe". Je peux le lire quinze fois, le recopier dix, si je pense à autre chose ça rentrera pas.

Je veux le mode d'emploi là.
Et aussi je veux bien un mode d'emploi pour comprendre les phrases du livre d'Amouretti et Ruzé des fois. Parce que quand même ça peut taper dans le sibyllin quand elles s'y mettent.

"Avec Alexandre Ier (environ 494/450), l'expansion reprend, et suit le reflux des perses. C'est ainsi que l'occupation du bas Axios puis de la dépression lacustre qui mène au golfe strymonique prélude au contrôle de la Bisaltie."
Oui bien sûr, bien sûr.
Et la marmotte, blablabla et blablabli.

Et puis voilà, j'ai écouté ce qu'on me disait depuis le temps, je vais plus me connecter sur MSN et me mettre occupée et dire que je ne répondrai pas.
J'ai viré les bruits d'alertes de connexion et tout le toutim, et du coup je vais pouvoir rester hors ligne, je saurai si j'ai reçu des emails et on viendra plus me dire que j'ai qu'à pas me connecter si je veux pas qu'on vienne me parler.
Un petit pas pour l'homme, et un grand pas pour, bah personne en fait.

Bref, je retourne voir la palpitante existence des Grecs et des Macédoniens entre la Pentékontaétie et la mort de Philippe II, assassiné en 336 pendant les fiançailles de sa fille Cléopâtre ou bidule du genre, ça je le sais whouhou.
C'est la joie dans les prés.



Vivement bientôt.

De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

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