Hier matin ça a bien commencé, puisque Gogolito s'est tiré des bras de Morphée à 5h du matin et qu'il a pensé qu'il serait bon de me faire profiter de l'info. Au bout d'un moment j'en ai eu un brin marre de son entraînement pour le championnat du monde d'athlétisme (sprint, saut en hauteur, saut en longeur, attaque d'humain (ça va peut-être être introduit bientôt aux JO, dans le doute, il s'entraîne) à peu près).
Je me suis courageusement extirpée hors de ma couette, j'ai pris le chat et illico presto il est allé faire un tour à l'extérieur de ma chambre pour voir si j'y étais.
J'y étais pas. Manque de bol, il s'en est rendu compte. Du coup il a voulu revenir dans ma chambre, vu que c'est là que j'étais. Sauf que j'avais fermé la porte.
Bah rien ne l'arrête, ce barjot. Il a ouvert la porte tout seul comme un grand.
Il a sauté sur la clenche pour l'ouvrir et après il l'a poussé tant et plus qu'elle finit par céder.
Total, il m'a saoulée jusqu'à 6h45 du matin. Après mon réveil a sonné. Un dimanche matin. À 6h45. Improbable.
Mais c'est là que la journée devient bien, parce qu'avec Pat&Pat qui sont mon oncle et ma tante et Adiboux qui est ma cousine mais pas la fille de Pat&Pat, on est allés à Paris-Paris. Pour l'anniversaire d'Adiboux et moi-même.
Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, le scrogneugneu belge qui se trouve être mon amoureux à ses heures perdues (quand il est pas marin) il nous a rejoint. Mais sans ses cheveux, il a préféré les laisser chez le coiffeur, du coup j'ai été obligé de le regarder avec le bord de mes lunettes juste au niveau de son front, pour pas voir qu'au-dessus il était démuni de chevelure.
On a fait les touristes en goguette à l'opéra Garnier, on a affronté le vent en haut de la tour Montparnasse, on a échangé le billet de train de pomme pour qu'il reste plus longuement avec nous, on s'est faufilés au milieu de la foule sur les Champs Elysées, on s'est abrités de la pluie dans un café de Montmartre.
Mais je te raconte pas, je te montre des photos. Sauf du restaurant japonais parce que, bon. En plus j'avais des spaghettis (c'en était pas mais ça s'assimilait, quoi) alors vas-y amuse-toi à manger des spaghettis avec des baguettes et on en reparle.
Puis j'ai pas non plus de photo du Jean-Pierre qui a eu la merveilleuse idée de se jeter sous un TGV le dimanche soir et qui nous a refilé 2h de retard, parce que j'en ai pas, en fait (on a qu'à le plastifier et le mettre à l'exposition des chinois plastifiés : les conséquences de l'égoïsme, et voilà ).
Je me suis courageusement extirpée hors de ma couette, j'ai pris le chat et illico presto il est allé faire un tour à l'extérieur de ma chambre pour voir si j'y étais.
J'y étais pas. Manque de bol, il s'en est rendu compte. Du coup il a voulu revenir dans ma chambre, vu que c'est là que j'étais. Sauf que j'avais fermé la porte.
Bah rien ne l'arrête, ce barjot. Il a ouvert la porte tout seul comme un grand.
Il a sauté sur la clenche pour l'ouvrir et après il l'a poussé tant et plus qu'elle finit par céder.
Total, il m'a saoulée jusqu'à 6h45 du matin. Après mon réveil a sonné. Un dimanche matin. À 6h45. Improbable.
Mais c'est là que la journée devient bien, parce qu'avec Pat&Pat qui sont mon oncle et ma tante et Adiboux qui est ma cousine mais pas la fille de Pat&Pat, on est allés à Paris-Paris. Pour l'anniversaire d'Adiboux et moi-même.
Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, le scrogneugneu belge qui se trouve être mon amoureux à ses heures perdues (quand il est pas marin) il nous a rejoint. Mais sans ses cheveux, il a préféré les laisser chez le coiffeur, du coup j'ai été obligé de le regarder avec le bord de mes lunettes juste au niveau de son front, pour pas voir qu'au-dessus il était démuni de chevelure.
On a fait les touristes en goguette à l'opéra Garnier, on a affronté le vent en haut de la tour Montparnasse, on a échangé le billet de train de pomme pour qu'il reste plus longuement avec nous, on s'est faufilés au milieu de la foule sur les Champs Elysées, on s'est abrités de la pluie dans un café de Montmartre.
Mais je te raconte pas, je te montre des photos. Sauf du restaurant japonais parce que, bon. En plus j'avais des spaghettis (c'en était pas mais ça s'assimilait, quoi) alors vas-y amuse-toi à manger des spaghettis avec des baguettes et on en reparle.
Puis j'ai pas non plus de photo du Jean-Pierre qui a eu la merveilleuse idée de se jeter sous un TGV le dimanche soir et qui nous a refilé 2h de retard, parce que j'en ai pas, en fait (on a qu'à le plastifier et le mettre à l'exposition des chinois plastifiés : les conséquences de l'égoïsme, et voilà ).
(Fais abstraction de l'absence de cheveux de pomme.)
Derrière c'est la Tour Eiffel parce qu'on est des touristes.
Je suis pas là je cliquais sur le bouton de l'appareil photo.
Derrière c'est la Tour Eiffel parce qu'on est des touristes.
Je suis pas là je cliquais sur le bouton de l'appareil photo.
mais non, il gère pas, pff !!
en tout cas t'as l'air d'avoir passé une bonne journée, excepté la partie avec Gogolito. Il est intelligent, ce ptit, la classe ^^