C'est assez bizarre de se dire que dans quelques semaines j'aurai le même niveau d'études que mes profs de lycée. J'étais au lycée et je prenais mes profs pour des puits de savoir. Et maintenant j'arrive à la fin de la licence, et ils sont pas allés beaucoup plus loin que ça. Si eux ils ont le CAPES, qui paraît-il est dur à obtenir, mais y'a plein de choses qui sont paraît-il dures à obtenir et finalement, hein.
Maintenant il y a les profs de la fac que je prends pour des puits de savoir, et eux je rattraperai jamais leur niveau.
Les trois ans ils ont passé plutôt vite, et sans difficultés particulières, et là je me rends compte qu'avec ces trois petites années je suis au même niveau que les dizaines de profs que j'ai eu au collège ou au lycée. Avec ces trois petites années je deviens une des humaines les plus diplômées de ma famille.
Et finalement.
Je pourrais bien refaire encore une licence, la même en histoire, mais avec pratiquement que des cours différents. J'aurais bien voulu suivre aussi les cours sur l'Égypte pharaonique ou sur l'histoire de la Chine s'ils avaient existés quand j'étais en première année.
Je pourrais refaire au moins deux L3 sans avoir un seul cours en commun avec ceux de cette année.
J'ai pas vu l'histoire politique, l'histoire institutionnelle, l'histoire économique, l'histoire des relations internationales et d'autres. Ni l'épigraphie, la démographie, l'archéologie et autres machins en "ie" qui sont des sciences d'historiens. Ni la civilisation de l'Angleterre médiévale ou celle de la Mésopotamie, pas plus que l'histoire ancienne, l'histoire moderne ou l'histoire contemporaine en matière principale.
Je pourrais même pas tout faire en trois années de L3, et finalement c'est assez frustrant.
C'est vraiment bizarre bizarre, vous avez dit bizarre, de finir sa licence.
Même si en vrai j'avoue y'a encore les derniers partiels à passer, avant d'être à ce niveau-là.
Maintenant il y a les profs de la fac que je prends pour des puits de savoir, et eux je rattraperai jamais leur niveau.
Les trois ans ils ont passé plutôt vite, et sans difficultés particulières, et là je me rends compte qu'avec ces trois petites années je suis au même niveau que les dizaines de profs que j'ai eu au collège ou au lycée. Avec ces trois petites années je deviens une des humaines les plus diplômées de ma famille.
Et finalement.
Je pourrais bien refaire encore une licence, la même en histoire, mais avec pratiquement que des cours différents. J'aurais bien voulu suivre aussi les cours sur l'Égypte pharaonique ou sur l'histoire de la Chine s'ils avaient existés quand j'étais en première année.
Je pourrais refaire au moins deux L3 sans avoir un seul cours en commun avec ceux de cette année.
J'ai pas vu l'histoire politique, l'histoire institutionnelle, l'histoire économique, l'histoire des relations internationales et d'autres. Ni l'épigraphie, la démographie, l'archéologie et autres machins en "ie" qui sont des sciences d'historiens. Ni la civilisation de l'Angleterre médiévale ou celle de la Mésopotamie, pas plus que l'histoire ancienne, l'histoire moderne ou l'histoire contemporaine en matière principale.
Je pourrais même pas tout faire en trois années de L3, et finalement c'est assez frustrant.
C'est vraiment bizarre bizarre, vous avez dit bizarre, de finir sa licence.
Même si en vrai j'avoue y'a encore les derniers partiels à passer, avant d'être à ce niveau-là.
Clio, la muse de l'Histoire, pour te servir.
l'histoire moderne et la contempo sont les deux matières centrales de la première année, j'ai étudié un peu, avant que ce soit bloqué, l'Egypte ancienne au second semestre, l'histoire contemporaine est très axée sur les sociétés, mais aussi les institutions la politique, j'ai même eu un UE (au choix) intitulé histoire des idées politiques contemporaines :p
elle est chelou ta licence ma ptite Kromm ^^