Hier j'ai mis la table (l'aventure commence bien) et une réflexion m'a traversé l'esprit, j'aurais préféré la mettre pour cinq plutôt que pour quatre.
Aussi pour exempler hier dans le matin vers les 10 ou 11h, je révisais l'histoire économique et sociale du siècle des Lumières (l'intitulé est top-wahou, et le contenu est tout simplement divin, bien sûr) et je me suis dit à la place je ferais bien la grasse mat', avec autour de moi des bras qui sont pas les miens, ou avec mes bras autour de quelqu'un, ça dépend des circonstances. La même chose m'a effleuré l'esprit ce matin pendant que je relisais un livre dont le héros s'appelle Arthur Rimbaud.
Plus tard dans la journée je verrai l'heure qui défile, soit je me dis ça m'approche de mon partiel de demain, je te rappelle celui qui sera la note pas-la-moyenne de mon semestre (espérons que ce sera le seul ^^), soit je me dis ça m'approche du moment où jeune homme mon fiancé garera son Opel Corsa derrière la voiture de mon popa (en fait non, vu que popa travaille samedi matin, tu t'en souviendras ? :p).
Soit le court soit le moyen terme (ma notion du moyen terme est courte, je te l'accorde).
Dans tous les cas, la partie relativisation de mon cerveau, après avoir hier imaginé si là j'avais pas révisé, si là j'avais mis la table pour 5, si là je l'avais pas vu partir à un match de foot, et puis si, si, aujourd'hui plus tard dans l'après-midi elle se dit qu'elle sera quitte de voir mon moral diminuer graduellement avec l'heure qui s'avance. L'heure peut avoir un complément du nom dans cette phrase, et c'est "de son départ".
Avec l'heure de son départ qui s'avance.
Là c'est plutôt l'heure de son arrivée qui s'avance même si entre il y aura des partiels des jours de rien des jours de pas de communication ou si peu des jours de que vais-je faire point d'interrogation et autres.
Tu as une idée de cadeau pour un bonhomme de 22 ans et toutes ses dents (sauf celle de la sagesse, rapport au fait qu'il est dingue sûrement) qui lui donnerait des sourires ?
C'est gentil un garçon mais c'est plus facile de trouver un cadeau pour une fille diantre.
Cette nuit j'ai rêvé que je parlais à Johanne sur MSN, rêve plein d'action donc, et ensuite je me suis lancée dans une profonde réflexion et je me suis dit que je pouvais pas considérer que la Belgique serait mon "nouveau pays" contrairement à elle qui pense que les Pays-Bas sont.
Je me suis dit sûrement c'est parce que les gens parlent français et donc c'est moins dépaysant et j'aurai pas vraiment l'impression de changer de pays.
Je veux dire ils parlent français sauf des fois ils disent "sonner" pour téléphoner ou "chicon" ou d'autres bidules et ça donne des doutes, mais tu vois l'idée ^^
Sauf bien sûr en Flandre ils parlent néerlandais et ils ont la mer, et les marins ça aide s'ils ont la mer comme leur nom l'indique.
Le petit bouquin de néerlandais pour passer la semaine, disons, comme si j'imaginais que ça se passera comme ça, dans un nombre d'années qui devient en vrai un nombre de mois, parce qu'il y a pas assez d'années à attendre pour mettre un s à "an".
Tiens c'est drôle quand j'étais petite je me disais que je vivrais en Lorraine toujours toujours, j'ai été habituée à voir ma famille toutes les semaines, il faut dire on est pas des aventuriers dans la famille, environ tout le monde vit en Meurthe-et-Moselle.
Ma mère-grand, la maman de ma maman, elle a eu neuf enfants et sur les neuf quatre qui vivent dans la même ville qu'elle, à moins de 15 minutes de marche.
Après on s'étonne pas que je m'imaginais vivre toute ma vie en Lorraine et j'aurais eu, dans mon imaginaire de petite fille, un mari et une maison, des enfants sûrement, je travaillerais et pendant mon temps libre je verrais mes amis, plutôt mes amies, celles du collège et du lycée.
En vrai j'ai plutôt peur de me retrouver toute seule dans une région où les gens parlent pas la même langue que moi, loin de ma famille de mes amis de mon chat, de tout ce que je connais.
Toute seule et j'aurai un mari, un fiancé, ça dépendra du moment, et lui il fera son métier ça veut dire il sera sur un navire, pendant plusieurs mois et je ferai je sais pas quoi en attendant qu'il revienne.
Comme la chanson de Renaud ou dans les livres ou tu vois, je serai l'épouse aimante qui attend son marin de mari pendant des semaines.
Voilà quand je dis ça ça me fait sourire, voire rire de m'imaginer en épouse aimante, haha, et alors c'est mieux que d'avoir peur.
Ça me fait penser Chritelle qui me disait que plus le temps passe et plus vous aurez envie de vous voir et plus ce sera dur, elle elle parlait de l'année prochaine quand le jeune homme aura sûrement déménagé plus près de la mer plus loin de la Lorraine, elle disait ça et je pensais à ce que j'ai écrit dans le paragraphe du dessus.
Voilà je tire pas de plans sur la comète (cette expression est louche (comme "sur des chapeaux de roue")) c'est juste que j'imagine mon avenir et c'est l'avenir qui me semble le plus probable, le seul que j'envisage pour de vrai.
Aujourd'hui c'est un bon week-end pour penser à ça parce que l'économie du XIXè siècle ça m'inspire pas vrament, j'ai relu tous mes autres cours et j'ai pas envie de les relire encore.
C'est le bon week-end qui a commencé par "si j'étais en train de faire la grasse mat'" et qui se finit par "j'ai peur d'être toute seule plus tard".
Mais pour conclure, je vais bien, je suis de gracieuse humeur, je stresse pas pour mon partiel, je vais au cinéma demain, je vois jeune homme mon fiancé vendredi et tout plein de potines samedi et ça va être une bonne journée.
C'est juste que ça me trotte dans la tête souvent et une fois je le dis comme ça c'est fait.
Aussi pour exempler hier dans le matin vers les 10 ou 11h, je révisais l'histoire économique et sociale du siècle des Lumières (l'intitulé est top-wahou, et le contenu est tout simplement divin, bien sûr) et je me suis dit à la place je ferais bien la grasse mat', avec autour de moi des bras qui sont pas les miens, ou avec mes bras autour de quelqu'un, ça dépend des circonstances. La même chose m'a effleuré l'esprit ce matin pendant que je relisais un livre dont le héros s'appelle Arthur Rimbaud.
Plus tard dans la journée je verrai l'heure qui défile, soit je me dis ça m'approche de mon partiel de demain, je te rappelle celui qui sera la note pas-la-moyenne de mon semestre (espérons que ce sera le seul ^^), soit je me dis ça m'approche du moment où jeune homme mon fiancé garera son Opel Corsa derrière la voiture de mon popa (en fait non, vu que popa travaille samedi matin, tu t'en souviendras ? :p).
Soit le court soit le moyen terme (ma notion du moyen terme est courte, je te l'accorde).
Dans tous les cas, la partie relativisation de mon cerveau, après avoir hier imaginé si là j'avais pas révisé, si là j'avais mis la table pour 5, si là je l'avais pas vu partir à un match de foot, et puis si, si, aujourd'hui plus tard dans l'après-midi elle se dit qu'elle sera quitte de voir mon moral diminuer graduellement avec l'heure qui s'avance. L'heure peut avoir un complément du nom dans cette phrase, et c'est "de son départ".
Avec l'heure de son départ qui s'avance.
Là c'est plutôt l'heure de son arrivée qui s'avance même si entre il y aura des partiels des jours de rien des jours de pas de communication ou si peu des jours de que vais-je faire point d'interrogation et autres.
Tu as une idée de cadeau pour un bonhomme de 22 ans et toutes ses dents (sauf celle de la sagesse, rapport au fait qu'il est dingue sûrement) qui lui donnerait des sourires ?
C'est gentil un garçon mais c'est plus facile de trouver un cadeau pour une fille diantre.
Cette nuit j'ai rêvé que je parlais à Johanne sur MSN, rêve plein d'action donc, et ensuite je me suis lancée dans une profonde réflexion et je me suis dit que je pouvais pas considérer que la Belgique serait mon "nouveau pays" contrairement à elle qui pense que les Pays-Bas sont.
Je me suis dit sûrement c'est parce que les gens parlent français et donc c'est moins dépaysant et j'aurai pas vraiment l'impression de changer de pays.
Je veux dire ils parlent français sauf des fois ils disent "sonner" pour téléphoner ou "chicon" ou d'autres bidules et ça donne des doutes, mais tu vois l'idée ^^
Sauf bien sûr en Flandre ils parlent néerlandais et ils ont la mer, et les marins ça aide s'ils ont la mer comme leur nom l'indique.
Le petit bouquin de néerlandais pour passer la semaine, disons, comme si j'imaginais que ça se passera comme ça, dans un nombre d'années qui devient en vrai un nombre de mois, parce qu'il y a pas assez d'années à attendre pour mettre un s à "an".
Tiens c'est drôle quand j'étais petite je me disais que je vivrais en Lorraine toujours toujours, j'ai été habituée à voir ma famille toutes les semaines, il faut dire on est pas des aventuriers dans la famille, environ tout le monde vit en Meurthe-et-Moselle.
Ma mère-grand, la maman de ma maman, elle a eu neuf enfants et sur les neuf quatre qui vivent dans la même ville qu'elle, à moins de 15 minutes de marche.
Après on s'étonne pas que je m'imaginais vivre toute ma vie en Lorraine et j'aurais eu, dans mon imaginaire de petite fille, un mari et une maison, des enfants sûrement, je travaillerais et pendant mon temps libre je verrais mes amis, plutôt mes amies, celles du collège et du lycée.
En vrai j'ai plutôt peur de me retrouver toute seule dans une région où les gens parlent pas la même langue que moi, loin de ma famille de mes amis de mon chat, de tout ce que je connais.
Toute seule et j'aurai un mari, un fiancé, ça dépendra du moment, et lui il fera son métier ça veut dire il sera sur un navire, pendant plusieurs mois et je ferai je sais pas quoi en attendant qu'il revienne.
Comme la chanson de Renaud ou dans les livres ou tu vois, je serai l'épouse aimante qui attend son marin de mari pendant des semaines.
Voilà quand je dis ça ça me fait sourire, voire rire de m'imaginer en épouse aimante, haha, et alors c'est mieux que d'avoir peur.
Ça me fait penser Chritelle qui me disait que plus le temps passe et plus vous aurez envie de vous voir et plus ce sera dur, elle elle parlait de l'année prochaine quand le jeune homme aura sûrement déménagé plus près de la mer plus loin de la Lorraine, elle disait ça et je pensais à ce que j'ai écrit dans le paragraphe du dessus.
Voilà je tire pas de plans sur la comète (cette expression est louche (comme "sur des chapeaux de roue")) c'est juste que j'imagine mon avenir et c'est l'avenir qui me semble le plus probable, le seul que j'envisage pour de vrai.
Aujourd'hui c'est un bon week-end pour penser à ça parce que l'économie du XIXè siècle ça m'inspire pas vrament, j'ai relu tous mes autres cours et j'ai pas envie de les relire encore.
C'est le bon week-end qui a commencé par "si j'étais en train de faire la grasse mat'" et qui se finit par "j'ai peur d'être toute seule plus tard".
Mais pour conclure, je vais bien, je suis de gracieuse humeur, je stresse pas pour mon partiel, je vais au cinéma demain, je vois jeune homme mon fiancé vendredi et tout plein de potines samedi et ça va être une bonne journée.
C'est juste que ça me trotte dans la tête souvent et une fois je le dis comme ça c'est fait.
par contre je sais plus quoi dire après, ca me fait réfléchir