Bon sinon l'autre fois j'ai revu l'Effet Papillon. Je l'avais vu une seule fois au cinéma (j'étais avec Chritelle et mère-grand, et mère-grand elle a à peu près rien de rien compris au film, haha) et même si sur le moment j'avais bien aimé, le seul truc qui restait vraiment dans ma mémoire c'est le coup du chien, là (si tu as vu le film tu sais forcément de quoi je parle, et si tu l'as pas vu je peux rien pour toi ma brave dame).
Donc dans mon cerveau l'Effet Papillon c'était rangé dans la même case que Requiem for a Dream : FILM À JAMAIS REVOIR SOUS PEINE DE DÉCÊS.
Encore que bon, Requiem for a dream il a la palme, maintenant rien que d'entendre la musique j'ai des frissons de dégoût, à peu près.
Bon p'is j'étais avec Jacques et d'un coup il a eu envie de revoir l'Effet Papillon, et comme je suis une fille conciliante et tout, (et qu'il y a Ashton Kutcher dedans) j'ai fait ouais, vas-y mets-ça on regarde (en vrai je parle pas comme ça, j'ai juste dit "d'accord").
Sans galéjade il me fait regarder que des films avec des trucs glauques dedans, comme Destination finale, là (bon c'est funky, mais c'est glauquounet quand même (ou comment te dégoûter à vie des cabines à UV, des courses de voiture, des avions, des bus, des cinémas, des ascenseurs, et bien plus encore)).
(La prochaine fois je vais emmener des DVD de Oui-oui ou je sais pas quoi.)
Le plan dans ma tête c'était d'accord, mais que dès qu'il se passe un truc abomiffreux je me cache contre Jacques et je ferme les zyeux.
Le truc que j'avais pas envisagé, c'est que je me suis rendue compte au fur et à mesure du film qu'en fait je me souvenais de tout, et alors c'est pas tellement la peine de fermer les yeux si de toute façon tu sais ce qu'il va se passer.
Et finalement, quand même, je survécu à la vision (mais je retenterai pas ma chance avec Requiem for a dream, laisse tomber la neige).
Mais quand même, le chien, quoi ! (Et la boîte aux lettres, et le truc des stigmates, et dans la baignoire, et Lenny dans la décharge, et en prison, et cætera, et cætera.)
Puis au moment de dormir alors que j'avais évacué toute trace du film pour passer une nuit sereine et détendue et que Morphée aller pointer le bout de son nez à l'horizon, une voix s'éleva dans la nuit (celle de Jacques, quoi (c'est pas difficile à deviner on était que deux dans la pièce)) : "pense à la scène du chien".
Et quand j'ai dit qu'il est méchant à tenter de me faire faire du traumatisme à tout va, il a dit "c'est parce que je veux un câlin".
Donc dans mon cerveau l'Effet Papillon c'était rangé dans la même case que Requiem for a Dream : FILM À JAMAIS REVOIR SOUS PEINE DE DÉCÊS.
Encore que bon, Requiem for a dream il a la palme, maintenant rien que d'entendre la musique j'ai des frissons de dégoût, à peu près.
Bon p'is j'étais avec Jacques et d'un coup il a eu envie de revoir l'Effet Papillon, et comme je suis une fille conciliante et tout, (et qu'il y a Ashton Kutcher dedans) j'ai fait ouais, vas-y mets-ça on regarde (en vrai je parle pas comme ça, j'ai juste dit "d'accord").
Sans galéjade il me fait regarder que des films avec des trucs glauques dedans, comme Destination finale, là (bon c'est funky, mais c'est glauquounet quand même (ou comment te dégoûter à vie des cabines à UV, des courses de voiture, des avions, des bus, des cinémas, des ascenseurs, et bien plus encore)).
(La prochaine fois je vais emmener des DVD de Oui-oui ou je sais pas quoi.)
Le plan dans ma tête c'était d'accord, mais que dès qu'il se passe un truc abomiffreux je me cache contre Jacques et je ferme les zyeux.
Le truc que j'avais pas envisagé, c'est que je me suis rendue compte au fur et à mesure du film qu'en fait je me souvenais de tout, et alors c'est pas tellement la peine de fermer les yeux si de toute façon tu sais ce qu'il va se passer.
Et finalement, quand même, je survécu à la vision (mais je retenterai pas ma chance avec Requiem for a dream, laisse tomber la neige).
Mais quand même, le chien, quoi ! (Et la boîte aux lettres, et le truc des stigmates, et dans la baignoire, et Lenny dans la décharge, et en prison, et cætera, et cætera.)
Puis au moment de dormir alors que j'avais évacué toute trace du film pour passer une nuit sereine et détendue et que Morphée aller pointer le bout de son nez à l'horizon, une voix s'éleva dans la nuit (celle de Jacques, quoi (c'est pas difficile à deviner on était que deux dans la pièce)) : "pense à la scène du chien".
Et quand j'ai dit qu'il est méchant à tenter de me faire faire du traumatisme à tout va, il a dit "c'est parce que je veux un câlin".