Très cher joli gentil et vivifiant mauvais marché (c'et une entrée en matière comme une autre) je suis venue te dire pas que je m'en vais, parce que j'ai encore le temps pour ça, mais te dire je sais même pas quoi au juste, je fais de l'improvisation.
Parce que j'ai envie d'écrire mais pas de parloter virtuellement, pas de dormir, pas de lire, pas d'autre-ir(e).
Je suis plutôt contente parce que je te rappelle que je suis une fille chanceuse dans l'ensemble. L'ensemble des réels positifs privé de zéro, par exemple.
Hier je pensais au fait de faire baptiser ses enfants, va savoir pourquoi. J'adhère pas à l'idée, pas pour un quelconque athéisme ou quoi (j'ai décidé de plus me prononcer quant à une quelconque religion ou areligion que je pourrais avoir parce que la réponse m'a l'air pas mise au point (comme avant que je découvre le mode macro sur mon appareil photo, ouais enfin j'étais jeune et innocente (je le suis toujours))) mais c'est juste pour le coup d'imposer une religion à un enfant sans lui demander son avis. Je pense que c'est une conversation que j'aurai dans quelques années avec pomme de pin, et qui aura le mérite d'être réjouissante, jusqu'à ce que l'un de nous cède (youp).
J'annonçais que j'avais pas méga envie d'aller sur MSN, et la logique du truc que j'ai comprise, c'est que quand j'ai pas envie d'y aller c'est précisément le moment le plus malin pour y aller.
Pour parler à ces gens que je vois demain (ou aujourd'hui, vu l'heure)), dans trois semaines ou dans un an.
En vrai ça sera peut-être un peu plus qu'un an, on verra ce que l'été prochain nous réserve (une question me traverse l'esprit et tiens pomme de pin si jamais tu passes par ici ce week-end, dis-moi, quand tu seras muté sur ton bateau-navire l'année prochaine, ou je sais pas quels termes utiliser, à quel moment est-ce que tu sauras quand tu décanilles sur mer et m'abandonne sur terre pour de longs mois (hisse et oh, Santiano, sauf que je m'appelle pas Margaux) ?).
C'est une question qui me traverse l'esprit depuis disons mardi, depuis que le temps est devenu trop long.
J'ai toujours du mal à envisager qu'on puisse passer un quart, voire un tiers de l'année loin l'un de l'autre, d'affilée, ça risque de me faire sombrer du côté dinguote-absence de sourire de la force, ou quoi.
Surtout que m'est venue cette réflexion à l'esprit, je suis pas censée survivre toute seule dans un appartement.
Je dis environ depuis que je suis en âge d'y réfléchir, en poignardant dans le dos toutes les féministes (haha) que quand je quitterai la maison de mes parents ce sera pour vivre avec mon mari.
J'ai pas le potentiel pour être indépendante, diantre, je sais même pas me servir de la machine à laver, à 19 ans, tu avoueras que c'est franchement scandaleux.
J'avais pas prévu dans le plan que le mari en question (ou fiancé, pour quelques moments encore) serait un marin (j'avais écrit Martin, haha). Je suis même pas allée te chercher en Bretagne, pourtant, pomme de pin, au beau milieu du Brabant Walllon, qui l'eut cru ?
J'aime bien parfois écrire ce qu'il faut sur mon blog, et d'autres fois non.
J'ai décidé par une curieuse envie de ne plus réfréner mes envies de poster des articles (hahaha). J'te jure je le faisais des fois. Vu la quantité qui traîne par ici ça semble improbable un peu, je trouve.
La censure qui m'interdit de parler le soir pour cause de regain de sérieux a chu, pas pour des raisons d'introspection, haha, mauvais marché, ne te fourvoie pas.
Le dernier article nocturne que j'ai posté m'a apporté une nouvelle connaissance (mais je ne le connais pas, bla, bla, bla (même pas besoin que tu sois là pour avoir les réflexions appropriées, haha)). Et sait-on jamais, que l'expérience se réitère.
N'en déplaise à cette jeune pomme de pin (et je sais que ça lui déplaît), il semblerait que ses absences m'apportent de nouvelles connaissances, ce qui tend à prouver que mon petit monde tourne quasiment uniquement autour de pomme quand il est là .
Haha, jeune personne qui me lit, me parle et me connait, sois joyeux, il repart en octobre, je serai de nouveau tout à fait disponible.
Cette nouvelle connaissance dont je parlais, n'en re-déplaise à pomme (scrogneugneu, totem) en plus de m'être sympathique, à une qualité inconnue jusqu'alors dans mon entourage.
Il y eut la Suisse, le Centre, la Belgique, le Sud, l'Ouest, et bien sûr l'Est qui m'entoure chaque jour, introduisons maintenant le Nord.
Pile poil poule l'endroit où je devrais me rendre, et où je me rendrai, l'an prochain, la licence dans la poche et le master en vue. Si les choses se déroulent comme elles doivent se dérouler. Mais je suis chanceuse, je te rappelle, ça force l'optimisme, et la relativisation est un recours.
Ce qui implique, pour ceux qui ne suivent pas, ou que ça n'intéresse pas, qu'en plus du joli marin qui me manque plus que jamais (en même temps je dois dire que jamais me manque pas, je sais même pas qui c'est), j'aurai une connaissance par là -bas.
La bonne nouvelle d'habiter avec pomme de pin a parfois du mal à se suffire à elle-même, notamment en juillet, qui est, je te le rappelle, le mois de l'attente, de l'ennui et de la glande.
Juillet me rappelle qu'il est chouette de vivre avec lui mais qu'il faudra aussi accepter de le voir partir. Juillet n'est pas utile pour que je me souvienne que ma famille, celle dont je suis fan, mes amis, ceux qui ne sont déjà pas loin physiquement pour cause d'habitation dans le Sud ensoleillé (j'espère que la nouvelle sera bonne lundi =)), mon chat, qui n'est bien que proche physiquement, étant donné son peu de conversation, seront restés dans le Nord-Est où se range la Lorraine, ou éparpillés ailleurs dans le monde si tel est leur désir.
Après avoir fini gentiment ma deuxième année de licence, deux constats peuvent se faire.
Petit UN, c'est quand même plus facile d'avoir de meilleurs résultats quand on révise. Il ne m'aura fallu que 14 années d'école (je ne compte pas la maternelle, merci mal) pour m'en rendre compte, bon timing.
Petit DEUX, je suis carrément pas faite pour faire de nouvelles rencontres, si l'on en croit le nombre de gens de la fac qui sont devenus pour moi ne serait-ce que de vagues connaissances. je rassemble mes forces, je compte, aucune.
Juillet à donc tendance à ternir mes pensées, mais pour faire revenir un sourire, oh, il suffit d'allumer ma webcam, c'est bien connu que je ne peux que sourire en présence de mon visage sur un écran.
C'est pas tellement une histoire de narcissisme, c'est juste la vieille habitude de voir mon visage souriant dans une glace.
Je m'demande vraiment comment ils font, là , ces couples que je croise parfois au détour d'un blog, les relations longues distance qui ne s'accordent de la proximité que pendant les vacances scolaires, ou autre.
Erf, ça me semble improbable de rester tant de temps sans se voir.
Comme je le disais, je disais rien de construit, vu l'heure tardive et le brouille boruille de mes pensées.
Brouille-brouille, ça n'existe pas comme mot, n'essaye pas de l'utiliser pour avoir l'air cultivé. Mais tu peux filer l'adresse de mon blog pour montrer que tu lis de bonnes choses par contre. Enfin je plaisante.
J'aime pas écrire des descriptions, enfin j'aime pas décrire, et c'est peut-être pour ça qu'en règle générale j'aime pas parler de ce que je ressens-qui-ne-sautille-pas-de-joie, j'y songe.
J'veux dire, les pensées sont bloquées, elles tournent plus.
Je peux pas palabrer mille ans sur le fait que pomme de pin me manque, parce qu'une fois que c'est dit, mais y'a plus rien à dire, saperlipopette.
Je sais pas non plus décrire un lieu fantastique, à moins que j'introduise des coquelicots multicolores, plein de coccinelles et peut-être un ciel vert. Uniquement si l'herbe est bleue, cela dit.
Donc là c'est le moment ou soit j'arrête soit je continue sur ma lancer en disant de pire en pire (ça ne veut rien dire, j'en ai conscience, mais ça exprime bien mon idée cependant).
Pomme il a dit qu'il me construirait un truc chouette avec son fer à souder, qu'il serait un bidule pour m'aider à prendre des décisions. D'unbe part, c'est totalement inutile, d'autre part, c'est totalement rigolo, je crois que j'adhère à cette idée.
Mais dans l'attente dudit objet, et en l'absence d'une pièce de 50 cents (les Belges ils disent pas centimes, quel peuple étrange) qui pourrait pile ou facer pour moi, me voici cntrainte de continuer.
Puisque de toute façon à part quelques suicidaires et les gens dont le niveau d'ennui a du aterrir en-dessous de la limite du supportable (soit, dans la fosse des Mariannes), je pense que plus personne ne me lit, je peux donc dire tout et n'importe quoi.
Même raconter des secrets honteuyx sur moi, ou genre.
Le problème majeur est que j'ai pas de secret honteux. J'aime même pas de secret qui est pas honteux, je crois.
Enfin j'ai bien du secret en réserve mais il m'appartient pas, alors je le laisse enhtre mes deux oreilles.
Qu'est-ce que je pourrais avoir comme secret ?
Bien sûr, à la vue de la taille de l'article, tu imagines bien que je me suis pas tartie à relire, donc tu pourras bien gentiment excuser mes fautes de frappe, d'orthographe, de grammaire, de conjugaison, et autres encore. Et me signaler s'il y a de telles choses (sauf les fautes de frappe, ça me passe au-dessus du genou) afin que je meure de honte puis rectifie ça.
C'est rigolo cet article je trouve, c'est comme si je parlais à quelqu'un pendant un moment et qu'il oubliait de m'arrêter de parler, je continue, je ontinue, et on ne m'arrête plus.
C'est tout à fait vivifiant.
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Parce que j'ai envie d'écrire mais pas de parloter virtuellement, pas de dormir, pas de lire, pas d'autre-ir(e).
Je suis plutôt contente parce que je te rappelle que je suis une fille chanceuse dans l'ensemble. L'ensemble des réels positifs privé de zéro, par exemple.
Hier je pensais au fait de faire baptiser ses enfants, va savoir pourquoi. J'adhère pas à l'idée, pas pour un quelconque athéisme ou quoi (j'ai décidé de plus me prononcer quant à une quelconque religion ou areligion que je pourrais avoir parce que la réponse m'a l'air pas mise au point (comme avant que je découvre le mode macro sur mon appareil photo, ouais enfin j'étais jeune et innocente (je le suis toujours))) mais c'est juste pour le coup d'imposer une religion à un enfant sans lui demander son avis. Je pense que c'est une conversation que j'aurai dans quelques années avec pomme de pin, et qui aura le mérite d'être réjouissante, jusqu'à ce que l'un de nous cède (youp).
J'annonçais que j'avais pas méga envie d'aller sur MSN, et la logique du truc que j'ai comprise, c'est que quand j'ai pas envie d'y aller c'est précisément le moment le plus malin pour y aller.
Pour parler à ces gens que je vois demain (ou aujourd'hui, vu l'heure)), dans trois semaines ou dans un an.
En vrai ça sera peut-être un peu plus qu'un an, on verra ce que l'été prochain nous réserve (une question me traverse l'esprit et tiens pomme de pin si jamais tu passes par ici ce week-end, dis-moi, quand tu seras muté sur ton bateau-navire l'année prochaine, ou je sais pas quels termes utiliser, à quel moment est-ce que tu sauras quand tu décanilles sur mer et m'abandonne sur terre pour de longs mois (hisse et oh, Santiano, sauf que je m'appelle pas Margaux) ?).
C'est une question qui me traverse l'esprit depuis disons mardi, depuis que le temps est devenu trop long.
J'ai toujours du mal à envisager qu'on puisse passer un quart, voire un tiers de l'année loin l'un de l'autre, d'affilée, ça risque de me faire sombrer du côté dinguote-absence de sourire de la force, ou quoi.
Surtout que m'est venue cette réflexion à l'esprit, je suis pas censée survivre toute seule dans un appartement.
Je dis environ depuis que je suis en âge d'y réfléchir, en poignardant dans le dos toutes les féministes (haha) que quand je quitterai la maison de mes parents ce sera pour vivre avec mon mari.
J'ai pas le potentiel pour être indépendante, diantre, je sais même pas me servir de la machine à laver, à 19 ans, tu avoueras que c'est franchement scandaleux.
J'avais pas prévu dans le plan que le mari en question (ou fiancé, pour quelques moments encore) serait un marin (j'avais écrit Martin, haha). Je suis même pas allée te chercher en Bretagne, pourtant, pomme de pin, au beau milieu du Brabant Walllon, qui l'eut cru ?
J'aime bien parfois écrire ce qu'il faut sur mon blog, et d'autres fois non.
J'ai décidé par une curieuse envie de ne plus réfréner mes envies de poster des articles (hahaha). J'te jure je le faisais des fois. Vu la quantité qui traîne par ici ça semble improbable un peu, je trouve.
La censure qui m'interdit de parler le soir pour cause de regain de sérieux a chu, pas pour des raisons d'introspection, haha, mauvais marché, ne te fourvoie pas.
Le dernier article nocturne que j'ai posté m'a apporté une nouvelle connaissance (mais je ne le connais pas, bla, bla, bla (même pas besoin que tu sois là pour avoir les réflexions appropriées, haha)). Et sait-on jamais, que l'expérience se réitère.
N'en déplaise à cette jeune pomme de pin (et je sais que ça lui déplaît), il semblerait que ses absences m'apportent de nouvelles connaissances, ce qui tend à prouver que mon petit monde tourne quasiment uniquement autour de pomme quand il est là .
Haha, jeune personne qui me lit, me parle et me connait, sois joyeux, il repart en octobre, je serai de nouveau tout à fait disponible.
Cette nouvelle connaissance dont je parlais, n'en re-déplaise à pomme (scrogneugneu, totem) en plus de m'être sympathique, à une qualité inconnue jusqu'alors dans mon entourage.
Il y eut la Suisse, le Centre, la Belgique, le Sud, l'Ouest, et bien sûr l'Est qui m'entoure chaque jour, introduisons maintenant le Nord.
Pile poil poule l'endroit où je devrais me rendre, et où je me rendrai, l'an prochain, la licence dans la poche et le master en vue. Si les choses se déroulent comme elles doivent se dérouler. Mais je suis chanceuse, je te rappelle, ça force l'optimisme, et la relativisation est un recours.
Ce qui implique, pour ceux qui ne suivent pas, ou que ça n'intéresse pas, qu'en plus du joli marin qui me manque plus que jamais (en même temps je dois dire que jamais me manque pas, je sais même pas qui c'est), j'aurai une connaissance par là -bas.
La bonne nouvelle d'habiter avec pomme de pin a parfois du mal à se suffire à elle-même, notamment en juillet, qui est, je te le rappelle, le mois de l'attente, de l'ennui et de la glande.
Juillet me rappelle qu'il est chouette de vivre avec lui mais qu'il faudra aussi accepter de le voir partir. Juillet n'est pas utile pour que je me souvienne que ma famille, celle dont je suis fan, mes amis, ceux qui ne sont déjà pas loin physiquement pour cause d'habitation dans le Sud ensoleillé (j'espère que la nouvelle sera bonne lundi =)), mon chat, qui n'est bien que proche physiquement, étant donné son peu de conversation, seront restés dans le Nord-Est où se range la Lorraine, ou éparpillés ailleurs dans le monde si tel est leur désir.
Après avoir fini gentiment ma deuxième année de licence, deux constats peuvent se faire.
Petit UN, c'est quand même plus facile d'avoir de meilleurs résultats quand on révise. Il ne m'aura fallu que 14 années d'école (je ne compte pas la maternelle, merci mal) pour m'en rendre compte, bon timing.
Petit DEUX, je suis carrément pas faite pour faire de nouvelles rencontres, si l'on en croit le nombre de gens de la fac qui sont devenus pour moi ne serait-ce que de vagues connaissances. je rassemble mes forces, je compte, aucune.
Juillet à donc tendance à ternir mes pensées, mais pour faire revenir un sourire, oh, il suffit d'allumer ma webcam, c'est bien connu que je ne peux que sourire en présence de mon visage sur un écran.
C'est pas tellement une histoire de narcissisme, c'est juste la vieille habitude de voir mon visage souriant dans une glace.
Je m'demande vraiment comment ils font, là , ces couples que je croise parfois au détour d'un blog, les relations longues distance qui ne s'accordent de la proximité que pendant les vacances scolaires, ou autre.
Erf, ça me semble improbable de rester tant de temps sans se voir.
Comme je le disais, je disais rien de construit, vu l'heure tardive et le brouille boruille de mes pensées.
Brouille-brouille, ça n'existe pas comme mot, n'essaye pas de l'utiliser pour avoir l'air cultivé. Mais tu peux filer l'adresse de mon blog pour montrer que tu lis de bonnes choses par contre. Enfin je plaisante.
J'aime pas écrire des descriptions, enfin j'aime pas décrire, et c'est peut-être pour ça qu'en règle générale j'aime pas parler de ce que je ressens-qui-ne-sautille-pas-de-joie, j'y songe.
J'veux dire, les pensées sont bloquées, elles tournent plus.
Je peux pas palabrer mille ans sur le fait que pomme de pin me manque, parce qu'une fois que c'est dit, mais y'a plus rien à dire, saperlipopette.
Je sais pas non plus décrire un lieu fantastique, à moins que j'introduise des coquelicots multicolores, plein de coccinelles et peut-être un ciel vert. Uniquement si l'herbe est bleue, cela dit.
Donc là c'est le moment ou soit j'arrête soit je continue sur ma lancer en disant de pire en pire (ça ne veut rien dire, j'en ai conscience, mais ça exprime bien mon idée cependant).
Pomme il a dit qu'il me construirait un truc chouette avec son fer à souder, qu'il serait un bidule pour m'aider à prendre des décisions. D'unbe part, c'est totalement inutile, d'autre part, c'est totalement rigolo, je crois que j'adhère à cette idée.
Mais dans l'attente dudit objet, et en l'absence d'une pièce de 50 cents (les Belges ils disent pas centimes, quel peuple étrange) qui pourrait pile ou facer pour moi, me voici cntrainte de continuer.
Puisque de toute façon à part quelques suicidaires et les gens dont le niveau d'ennui a du aterrir en-dessous de la limite du supportable (soit, dans la fosse des Mariannes), je pense que plus personne ne me lit, je peux donc dire tout et n'importe quoi.
Même raconter des secrets honteuyx sur moi, ou genre.
Le problème majeur est que j'ai pas de secret honteux. J'aime même pas de secret qui est pas honteux, je crois.
Enfin j'ai bien du secret en réserve mais il m'appartient pas, alors je le laisse enhtre mes deux oreilles.
Qu'est-ce que je pourrais avoir comme secret ?
Bien sûr, à la vue de la taille de l'article, tu imagines bien que je me suis pas tartie à relire, donc tu pourras bien gentiment excuser mes fautes de frappe, d'orthographe, de grammaire, de conjugaison, et autres encore. Et me signaler s'il y a de telles choses (sauf les fautes de frappe, ça me passe au-dessus du genou) afin que je meure de honte puis rectifie ça.
C'est rigolo cet article je trouve, c'est comme si je parlais à quelqu'un pendant un moment et qu'il oubliait de m'arrêter de parler, je continue, je ontinue, et on ne m'arrête plus.
C'est tout à fait vivifiant.
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