Nous sommes en deuil les cha-mis. Enfin moi oui et par extension toi aussi parce que tu vas pas me laisser seule dans mon chagrin ou tu vois.
En l'an de grâce 2006, quand nous étions vers le 4 novembre se tint une panne de courant dans le secteur du coin d'ici.
Mais là n'est pas la question, alors.
En l'an de grâce 2006, quand nous étions vers le 4 novembre, disais-je, se tint l'anniversaire de trois bonhommettes là -bas présentes, dont imou. Et imou se vit offrir entre autres joyeusetés LE verre tordu de chez Printemps (quand tu dis "tordu" il faut faire la petite danse qui va avec pour être optimal) par ses très chères potines.
Celui-là même dont j'étais tombée amoureuse en traînassant du côté de Printemps un bel après-midi d'avant le 4 novembre.
Ce fut un plaisir de m'abreuver [presque] chaque matin du lait indispensable à ma survie avant-midinale à ses côtés, d'observer sa orangitude innée se transformer en une espèce de couleur indéfinissable quand on le remplissait de jus de fruit, de le porter amoureusement à mes lèvres, et tous les caetera.
Cependant popa Vévé en faisait la vaisselle vers hier a très incidemment brisé ce compagnon fidèle et orange. Et il m'en a fait part aujourd'hui-même, posant sur mes épaules le poids de la culpabilité de l'avoir laissé seul dans un moment si cruel (LE verre, pas mon popa. Vévé il s'en remet bien, pas de choc psychologique à déplorer merci pour lui (et pourtant, quelle épreuve !)).
Mais assez de gausseries, on est en deuil saperlipopette.
Il va me manquer, LE verre tordu (petite danse de coutume) de chez Printemps, mine de néant.
Maintenant il va se réincarner en autre chose et il va m'oublier, mais moi je l'oublierai jamais.
Jamais.
[Veuillez excuser ce n'importe quoi de tonalité et tout les toutims, et porter la responsabilité de ceci sur le compte du choc émotionnel.]
En l'an de grâce 2006, quand nous étions vers le 4 novembre se tint une panne de courant dans le secteur du coin d'ici.
Mais là n'est pas la question, alors.
En l'an de grâce 2006, quand nous étions vers le 4 novembre, disais-je, se tint l'anniversaire de trois bonhommettes là -bas présentes, dont imou. Et imou se vit offrir entre autres joyeusetés LE verre tordu de chez Printemps (quand tu dis "tordu" il faut faire la petite danse qui va avec pour être optimal) par ses très chères potines.
Celui-là même dont j'étais tombée amoureuse en traînassant du côté de Printemps un bel après-midi d'avant le 4 novembre.
Ce fut un plaisir de m'abreuver [presque] chaque matin du lait indispensable à ma survie avant-midinale à ses côtés, d'observer sa orangitude innée se transformer en une espèce de couleur indéfinissable quand on le remplissait de jus de fruit, de le porter amoureusement à mes lèvres, et tous les caetera.
Cependant popa Vévé en faisait la vaisselle vers hier a très incidemment brisé ce compagnon fidèle et orange. Et il m'en a fait part aujourd'hui-même, posant sur mes épaules le poids de la culpabilité de l'avoir laissé seul dans un moment si cruel (LE verre, pas mon popa. Vévé il s'en remet bien, pas de choc psychologique à déplorer merci pour lui (et pourtant, quelle épreuve !)).
Mais assez de gausseries, on est en deuil saperlipopette.
Il va me manquer, LE verre tordu (petite danse de coutume) de chez Printemps, mine de néant.
Maintenant il va se réincarner en autre chose et il va m'oublier, mais moi je l'oublierai jamais.
Jamais.
[Veuillez excuser ce n'importe quoi de tonalité et tout les toutims, et porter la responsabilité de ceci sur le compte du choc émotionnel.]
Mais je suis sure que tu retrouveras un autre joli verre ! Même s'il ne remplacera jamais celui-ci.
Et lui, il va devenir... une bouteille peut-être ? Ou un pull en polaire ?