Whouhouuuuu j'ai accompli la mission de la semaine, à savoir : trouver Jérémy.
Et oui j'suis fière là , j'me suis même pas trompée de bonhomme dis donc.
Donc voilà il y a eu échange de coordonnées, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes comme dirait l'ami François Marie.
Haaaa et j'ai eu ENFIN une réponse de la bibliothèque (plus de chance que toi jeune schtroumpf cannibale, ils me répondent au moins :p) Enfin y'a pas de place hahaaaa trop dommage. Je vais devoir continuer à avoir plein de temps libre, et chercher de l'argent sous les sabots des chevaux (Horace, ramène-toi).
Hmmmm sinon j'ai bien deux trois bidules à t'apprendre aussi.
Genre des conseils :
- Ne pas me parler quand on est au téléphone.
- Ne pas parler de noms d'animaux qui se décomposent à table (les noms qui se décomposent, pas les animaux tss tss dis pas n'imp.)
- Ne pas se concentrer sur la musique quand on coupe du pain (je coupais du pain, je coupais du pain, je coupais mon doigt)
- Ne pas rire à mes blagues, ça m'encourage.
Sinon, l'information capitale du jour, pour ta culture gé. (Je t'instruis, si c'est pas mignon ^^)
Pourquoi tire-t-on les oreilles des enfants quand ils ne sont pas sages ?
Parce qu'au Moyen-Âge ils pensaient qu'on avait un ressort qui reliait l'oreille au cerveau, et en tirant sur l'oreille on activait donc le ressort. Ça remuait le cerveau, ce qui faisait réfléchir l'enfant et lui empêchait de faire des bêtises.
Voilà les cours d'histoire médiévale ^^
Haaa sinon j'ai fait une étude très sérieuse hier, sur le rapport logique entre le rire et le toucher d'arcadaes sourcilières chez les faons. Après observation poussée du sujet-cobaye (qui rappelons-le, ne vit pas dans le désert, contrairement au coyotte), nous pouvons vous affirmer que le toucher d'arcade sourcilière peut être remplacé par un délicat effleurement de l'arête nasale par les doigts, sans que cela nuise à la qualité de la théorie.
Comme je sens que ça va te passionner, j'expose mes conclusions, qui me sont venues après un dur labeur d'au moins 30 secondes de jonctage sur mon lit. C'est te dire !
Bref.
Nous avons, d'une part, l'inconscient primaire de l'humain, qui oblige ledit humain à se pincer le nez quand il rit. Cet inconscient primaire pense en effet que l'arrêt de la respiration stopperait le rire, au moyen de la mort s'il le faut.
Donc chez l'individu bêta (pas bêta comme gros bêta, bêta comme la deuxième lettre de l'alphabet grec ohhhhhhh), le rire implique un pincement du nez inconscient, surtout si ce rire doit être stoppé au plus vite.
Ensuite je me dois de vous présenter succinctement quels aspects du sujet observé, afin que vous intégriez parfaitement bien la logique de la théorie.
C'est un faon¹, qui pagaie². Cependant, la trace de reflets cuivrés et les longues conversations téléphoniques nous invitent à penser qu'un côté féminin l'empêche parfois de pagayer sérieusement.
Or tout le monde sait que c'est le côté féminin qui permet aux individus de faire plusieurs choses à la fois, comme regarder la télé et écouter de la musique et lire en même temps, ou penser et respirer en même temps, ça dépend du niveau de féminisation du cerveau.
Il se trouve que ce faon faisait durant l'observation quelque chose d'une importance capitale (blablater au téléphone), qui le poussait à tenter de garder son sérieux. Or un acte que nous n'arrivons pas à déterminer l'a poussé à s'esclaffer de manière impromptue.
Voulant stopper au plus vite cet épanchement zygomatique afin de ne pas abasourdir son interlocuteur, notre cobaye eut le réflèxe de l'inconscient primaire, à savoir se pincer le nez. Mais c'est là qu'intervient son inconscient à côté féminin, qui lui tint à peu près se langage :
"N'oublie pas, vieux faon, que tu peux faire plusieurs choses à la fois. Non content de parlotter et de t'esclaffer, tu as en ton pouvoir la capacité de penser à respirer. Ne gâche pas cet avantage en tentant d'empêcher l'air de parvenir à tes poumons"
Mais inconsciemment, il ne s'en est pas rendu compte (d'autant plus qu'il était absorbé par son oreille qui se décollait).
Et c'est donc tout aussi inconsciemment que ses doigts, au lieu de pincer son nez afin de stopper l'arrivée d'air et le rire par la même occasion, palpaient ses arcades sourcilières ou effleuraient délicatement son arête nasale.
Bon manque de chance, ça ne stoppait en rien le rire, mais déjà qu'il riait, parlait, respirait, bougeait les doigts et était absorbé par son oreille qui tombait, tu voulais pas en plus qu'il fasse quelque chose de censé et efficace !
Il pagaie je te rappelle, sa part féminine est donc peu conséquente.
Voilà , c'était la minute de vulgarisation scientifique, merci de votre attention ! (Pour faire avancer la recherche, veuillez faire parvenir vos dons à l'adresse que je vous communiquerai.)
Pour toutes questions, merci de vous adresser à ma porte, elle se fera une joie de répondre.
¹ faon : rime avec le prénom du sus-cité, afin de ne pas se retrouver face à un problème épineux qui consisterait à avoir un prénom non cowboyien.
² pagayer : fait de ne pas être homosexuel (ndlr)
P.S. : Si t'as l'impression que ces derniers jours je sombre dans la folie, c'est pas faux (sombrer, c'est disparaître, se perdre), mais euhhh c'est pas d'ma faute ! J'ai des difficultés de jonctage.
Re P.S. : Bientôt, vous aurez une surprise, concoctée par le faon et le vautour. Bon faudra payer, c'est pas la fêtre non plus, mais vous allez voir comme c'est chouette (J'dis, vive les insurrection d'ampoules, les têtes de rechange, les cagoules, les sabots, les trampolines, et tout plein de bidules)
Et longue vie à Clarabelle ! ! ! (non je plaisante, pas trop longue hahahaaaaaaaa)
Et oui j'suis fière là , j'me suis même pas trompée de bonhomme dis donc.
Donc voilà il y a eu échange de coordonnées, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes comme dirait l'ami François Marie.
Haaaa et j'ai eu ENFIN une réponse de la bibliothèque (plus de chance que toi jeune schtroumpf cannibale, ils me répondent au moins :p) Enfin y'a pas de place hahaaaa trop dommage. Je vais devoir continuer à avoir plein de temps libre, et chercher de l'argent sous les sabots des chevaux (Horace, ramène-toi).
Hmmmm sinon j'ai bien deux trois bidules à t'apprendre aussi.
Genre des conseils :
- Ne pas me parler quand on est au téléphone.
- Ne pas parler de noms d'animaux qui se décomposent à table (les noms qui se décomposent, pas les animaux tss tss dis pas n'imp.)
- Ne pas se concentrer sur la musique quand on coupe du pain (je coupais du pain, je coupais du pain, je coupais mon doigt)
- Ne pas rire à mes blagues, ça m'encourage.
Sinon, l'information capitale du jour, pour ta culture gé. (Je t'instruis, si c'est pas mignon ^^)
Pourquoi tire-t-on les oreilles des enfants quand ils ne sont pas sages ?
Parce qu'au Moyen-Âge ils pensaient qu'on avait un ressort qui reliait l'oreille au cerveau, et en tirant sur l'oreille on activait donc le ressort. Ça remuait le cerveau, ce qui faisait réfléchir l'enfant et lui empêchait de faire des bêtises.
Voilà les cours d'histoire médiévale ^^
Haaa sinon j'ai fait une étude très sérieuse hier, sur le rapport logique entre le rire et le toucher d'arcadaes sourcilières chez les faons. Après observation poussée du sujet-cobaye (qui rappelons-le, ne vit pas dans le désert, contrairement au coyotte), nous pouvons vous affirmer que le toucher d'arcade sourcilière peut être remplacé par un délicat effleurement de l'arête nasale par les doigts, sans que cela nuise à la qualité de la théorie.
Comme je sens que ça va te passionner, j'expose mes conclusions, qui me sont venues après un dur labeur d'au moins 30 secondes de jonctage sur mon lit. C'est te dire !
Bref.
Nous avons, d'une part, l'inconscient primaire de l'humain, qui oblige ledit humain à se pincer le nez quand il rit. Cet inconscient primaire pense en effet que l'arrêt de la respiration stopperait le rire, au moyen de la mort s'il le faut.
Donc chez l'individu bêta (pas bêta comme gros bêta, bêta comme la deuxième lettre de l'alphabet grec ohhhhhhh), le rire implique un pincement du nez inconscient, surtout si ce rire doit être stoppé au plus vite.
Ensuite je me dois de vous présenter succinctement quels aspects du sujet observé, afin que vous intégriez parfaitement bien la logique de la théorie.
C'est un faon¹, qui pagaie². Cependant, la trace de reflets cuivrés et les longues conversations téléphoniques nous invitent à penser qu'un côté féminin l'empêche parfois de pagayer sérieusement.
Or tout le monde sait que c'est le côté féminin qui permet aux individus de faire plusieurs choses à la fois, comme regarder la télé et écouter de la musique et lire en même temps, ou penser et respirer en même temps, ça dépend du niveau de féminisation du cerveau.
Il se trouve que ce faon faisait durant l'observation quelque chose d'une importance capitale (blablater au téléphone), qui le poussait à tenter de garder son sérieux. Or un acte que nous n'arrivons pas à déterminer l'a poussé à s'esclaffer de manière impromptue.
Voulant stopper au plus vite cet épanchement zygomatique afin de ne pas abasourdir son interlocuteur, notre cobaye eut le réflèxe de l'inconscient primaire, à savoir se pincer le nez. Mais c'est là qu'intervient son inconscient à côté féminin, qui lui tint à peu près se langage :
"N'oublie pas, vieux faon, que tu peux faire plusieurs choses à la fois. Non content de parlotter et de t'esclaffer, tu as en ton pouvoir la capacité de penser à respirer. Ne gâche pas cet avantage en tentant d'empêcher l'air de parvenir à tes poumons"
Mais inconsciemment, il ne s'en est pas rendu compte (d'autant plus qu'il était absorbé par son oreille qui se décollait).
Et c'est donc tout aussi inconsciemment que ses doigts, au lieu de pincer son nez afin de stopper l'arrivée d'air et le rire par la même occasion, palpaient ses arcades sourcilières ou effleuraient délicatement son arête nasale.
Bon manque de chance, ça ne stoppait en rien le rire, mais déjà qu'il riait, parlait, respirait, bougeait les doigts et était absorbé par son oreille qui tombait, tu voulais pas en plus qu'il fasse quelque chose de censé et efficace !
Il pagaie je te rappelle, sa part féminine est donc peu conséquente.
Voilà , c'était la minute de vulgarisation scientifique, merci de votre attention ! (Pour faire avancer la recherche, veuillez faire parvenir vos dons à l'adresse que je vous communiquerai.)
Pour toutes questions, merci de vous adresser à ma porte, elle se fera une joie de répondre.
¹ faon : rime avec le prénom du sus-cité, afin de ne pas se retrouver face à un problème épineux qui consisterait à avoir un prénom non cowboyien.
² pagayer : fait de ne pas être homosexuel (ndlr)
P.S. : Si t'as l'impression que ces derniers jours je sombre dans la folie, c'est pas faux (sombrer, c'est disparaître, se perdre), mais euhhh c'est pas d'ma faute ! J'ai des difficultés de jonctage.
Re P.S. : Bientôt, vous aurez une surprise, concoctée par le faon et le vautour. Bon faudra payer, c'est pas la fêtre non plus, mais vous allez voir comme c'est chouette (J'dis, vive les insurrection d'ampoules, les têtes de rechange, les cagoules, les sabots, les trampolines, et tout plein de bidules)
Et longue vie à Clarabelle ! ! ! (non je plaisante, pas trop longue hahahaaaaaaaa)
Question antispam : Un chien peut-il voler (oui/non) ?
Je répond quoi alors? tu crois qu'il va m'en vouloir bonnet si je dis non? :p
Sinon, très interessant comme développement afin d'expliquer ces automatismes fort bien surprenant mais faut dire que lorsqu'une communication téléphonique dépasse une heure, là je commence à perdre patience, surtout quand je suis a peine la conversation car une personne fait tout pour garder son serieux... Je m'en suis presque sorti dis donc :p Et pour le faon c'est parce que ça rime avec Julian en fait, prénom qui fait plus cowboy suivant l'accent mais vu que je parle l'anglais sous la torture, ça fait plus faon que ane :p
Sinon, la surprise gastronomique est en ligne, sans me faire de pub, direction le Ranch pour en savoir plus sur notre projet disneylien :p
Au fait, j'ai cru que t'avais pas compris sombrer au début, t'as bien fait de l'expliquer