J'voulais faire des habillages multiples.
Si tu sais pas mauvais marché, par ici chez cowblog, on peut créer plusieurs habillages pour le blog et après hop hop le scribouilleur qui tient le blog ou le lecteur lui-même choisit celui qu'il veut voir.
Alors je voulais faire un habillage dans les teintes verte et bleue, avec du ciel et de l'herbe des Alpes.
Et aussi peut-être faire un habillage dans les teintes oranges, rouges, jaunes, 'fin tu vois.  Comme l'automne. Avec du ciel, mais au coucher du soleil cette fois-ci.
P'is en fait, j'avais commencé, mais d'un coup j'ai eu plus envie de continuer. Une bonhommette censée aurait enregistré les modifications et continué une prochaine fois, mais nan j'avais pas envie, alors hop j'ai supprimé.
Donc tu devras encore regarder les coquelicots et le bleeeeeeu derrière (d'ailleurs ce bleu, chez moi j'l'aime bien, mais à la fac il est tout moche, alors j'espère que chez toi t'as pas du tout moche, s'non c'est balot).

Ça y est j'ai accroché les photos à mon mur. J'ai tout bien imprimé hier soir, la cartouche m'a même pas lâchée si c'est pas la fête ça ! !
Alors y'a sept photos.
On voit cinq filles différentes, et trois garçons.
Une fille que je connais depuis que j'ai 25 jours, une depuis que j'ai douze ans, une depuis que j'ai quinze ans, et une depuis que j'ai dix-sept ans.
Y'a un des gugussons qui m'a souri quand je le prenais en photo. Un autre qui savait pas que je le prenais en photo, et qui regardait pas l'objectif. Et un autre qui regardait l'objectif, mais c'est pas moi qui prenais la photo.
Y'a une bonhommette qui est sur deux photos différentes.
Y'a deux photos où on voit deux personnes.
Je suis sur une des photos.
Il y a deux photos qui ont été prises le même soir.
Il y a une des bonneshommettes qui vit dans un tréloindistan d'la blague, mais pas les autres.
Les trois bonshommes vivent dans des tréloindistan d'la blague, mais j'en ai vu deux. D'ailleurs un des deux a été pris en photo à un endroit où j'étais également allée avec l'autre. À la même table.
Y'a deux personnes  qui ont leur main devant la bouche.
Trois qui ne regardent pas l'objectif.
Quatre dont on voit les dents.
Cinq qui sourient.
Y'a une personne que j'ai vue samedi. Une que j'ai vue y'a dix jours. Une que j'ai pas vue depuis plus de trois semaines. Deux que j'ai vues en février, quand je suis allée à Paris. Deux que j'attends de pouvoir voir un de ces quatre dimanches, quand l'un d'entre nous se traînera du côté de chez l'autre. Et l'autre je l'ai vue ce matin. C'est moi.
Y'a une personne à qui je n'ai jamais donné de surnom. Une autre qui en a eu plein, et souvent y'a des "bonhomme" dedans. Mais pas toujours. Une autre qu'on avait décidé de renommer "Pulchérie", un jour. Une autre, son surnom c'est juste son prénom avec un suffixe de petitesse en espagnol. Une autre à une époque elle avait un surnom en rapport avec ses chaussures. Une autre, elle a un surnom qui allie la blondeur de la chevelure qu'elle n'a pas (la blondeur, pas la chevelure, ohlala !) et l'alimentation qu'elle est censée avoir. Et une autre, c'est un animal. Ou alors quelqu'un en rapport avec l'Amérique. Et l'autre, c'est moi.
Maintenant, j'aime bien.
Je tourne la tête vers la droite, et je vois pas juste du bois, je vois des mauvais marchés. C'est chouette comme tout.

Et sur M6, y'a des cowboys.
Ils aiment bien les non-pagayeurs peut-être.

"Perii, interii, occidi. Quo curram ? Quo non curram ? Tene, tene. Quem ? Quis ? Nescio, nihil video, caecus eo atque equidem quo eam, aut ubi sim, aut qui sim. Nequeo cum animo certum investigare. Obsecro ego vos, mi auxilio. Oro, obstestor, sitis et hominem demonstretis, quis eam abstulerit.
Quid ais tu ? Tibi credere certum es. Nam esse bonum ex vultu cognosco.
Qui est ? Quid ridetis ? Novi omnes, scio fures esse hic complures, qui vestito et creta occultant sesse, atque sedent quasi sint frugi !"
[Dans mon souvenir c'est comme ça, mais possiblement il y a des fautes, et la ponctuation est hasardeuse.]
Ça fait cinq ans que j'ai ça dans la tête. Comme ça, j'te le récite comme tu veux. Je comprends encore ce que ça veut dire, j'pourrais pas le traduire mot à mot, mais grosso modo.
C'est une tirade de l'Aulularia de Plaute.
On l'a apprise en quatrième, en latin.
Et p'is, quand on me demande d'étendre le linge, si je le fais pas dans les deux minutes, j'oublie. Ou tout autre bidule du même acabit. Ça me sort totalement de l'esprit, niveau poisson rouge amnésique.
Par contre la tirade, au mot près.
C't'étrange, quand même, la mémoire.

Et vraiment, je réfléchis, je réfléchis, mais depuis un, ou deux, ou trois (soleil, hahaha renouvelle ton stock de blague va) ou même plus de jours, je sais pas quoi dire.
Je sais grosso modo quoi écrire, mais dire, vraiment j'vois pas. Je peux que monologuer, en aucun cas lancer une convers. Ça m'horripile un peu beaucoup (passionnément, à la folie, ohohoh).

Et hier j'ai fait quelque chose de paaaaaas bien pour mon esprit.
Mais comme me l'a si justement fait remarquer Julieta, je peux m'en prendre qu'à moi-même.
Hier je mettais de l'ordre dans mes dossiers photos, et au lieu de faire "envoyer vers mes documents", j'ai fait "envoyer vers Skype", me suis trompée. Skype auquel je n'avais pas touché depuis un certain 11 février. Skype que j'avais réinstallé parce qu'un bonhomme m'avait demandé de le remettre, et finalement...
Alors Skype s'est ouvert, et la liste des contacts que j'ai eu aussi. Même ceux (ou plutôt celui) que j'avais supprimé(s). Et toi, tu savais que sur Skype les historiques de convers s'enregistraient tout seul comme des grands ? Et toi, tu savais que je les avais pas effacés, comme je l'ignorais ? Et toi, tu savais que j'ai pas pu m'empêcher de les relire ? Ben voilà, tant pis.

Et puis, je voudrais arrêter d'être prévisible.
Ne plus avoir toujours les mêmes répliques, ce pourrait être exaltant (j'aime bien ce mot, tu permets que je l'utilise ?).
Mais je sais pas à quel moment je vais pouvoir, je peux pas m'en empêcher des fois.
Enfin, quand je deviens plus prévisible, ça sera chouette plutôt.

Je voulais m'acheter Ensemble, c'est tout, mais je suis allée chez Match ("chez" comme si c'était un poteau à moi, ben écoute il a été mon voisin pendant près de quinze ans, mine de que dalle, ^^), et ça coûtait 12€. Et comme j'ai pas Nancy sous la main, là où c'est moins cher, je patienterai comme une brave bonhommette.
Mais du coup, je sais pas quoi faire de l'après-m', tiens tiens.

De krommlech.

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