À chaque fois que je passe devant la Smutie je crois que c'est un casino (établissement de jeu, pas Casino cafétéria, t'abuse pas), alors qu'en fait c'est juste une mutuelle santé.
Et c'est très perturbateur.
Et sinon, je me suis rendue compte en marchant près de la Smutie justement, que j'aime pas tellement quand les gens prennent un truc futile trop à coeur.
Note que tu dois pas te sentir visé par la précédente phrase vu que la personne à laquelle je pense en disant ça ne lit jamais ce que je tapote.
Mais bref, je me faisait cette réflexion, et ensuite je me suis dit que c'était peut-être pas les gens qui prenaient les choses trop à coeur mais moi qui y attachais trop peu d'importance.
Je me suis dit ensuite qu'il y a quand même des gens qui attachent trop d'importance aux choses, ou qui dramatisent tout, et c'est épuisant.
Il leur manque de la légéreté, de la crème chantilly ou que sais-je, et en comparaison je crois que je suis attachée à des petits ballons d'hélium, et on est pas sortis du pré les cha-mis.
Il faudrait trouver un juste milieu sauf que j'ai pas tellement envie de m'approcher du centre, je sens que c'est ce genre de chose qui décroche les sourires des visages, et j'aime bien si on voit mes dents quand même.
Ensuite j'ai eu une autre réflexion sérieuse, sauf que je te mens, je me suis fait cette réflexion précédemment.
J'y ai pensé en traversant la rue où les voitures sont toujours arrêtées au feu rouge, tu vois laquelle ?
Là je me suis dit que tout de même, il était malaisé de ne pas culpabiliser d'être heureux (ou heureuse, dans mon cas), quand on a autour de nous une sorte de tristesse ambiante, de déprime latente, ou autre truc qui se finit en "nte".
Il y a des gens qui sourient et d'autres qui rient, et puis de temps en temps ils laissent supposer, ils remarquent, ou font comprendre, que le sourire n'est que de façade, que le rire est restreint, ou autre.
Après on peut dire ce qu'on veut, parler de son namoureux à quelqu'un qui n'en a pas mais en voudrait bien un (ou une, soyons pas sectaires), justement, de ses amis à ceux qui trouvent qu'ils n'en ont pas assez, justement, de son temps libre à ceux qui travaillent trop, malencontreusement, d'étaler son bonheur à ceux qui ont l'impression d'en être dénués, pour conclure, ça fait culpabiliser, j't'assure.
Mais bon des fois je suis trop occupée à être heureuse pour que mon inconscient pense à culpabiliser de l'être.
J'ai vu plein de trucs dans les magasins qui me donnaient envie de faire des achats, pour offrir tu vois, mais sans occasion particulière parce que les occasions particulières sont dans trop longtemps.
Sauf que j'avais 0.40€ sur moi, ce qui limite le pouvoir d'achat de la bonhommette.
J'ai fait l'acquisition (grâce à la générosité et au chéquier de mère-grand) d'un manteau pour l'hiver, qui est un manteau de fille, ce qui tombe pas mal vu que je suis une fille.
Il est gris, pour refléter ma joie de vivre, haha.
Gris c'est quand même la couleur la plus colorée, justement, qu'on trouve en hiver.
À moins d'avoir une passion pour le rouge et ses clignotants "regardez-moi, je suis iciiiiii" ('fin je dis ça mais en été j'ai une veste orange c'pas mieux, mais on dit pas).
Et ce matin je t'ai parlé du fait que dans mon rêve il y vaiat le monsieur avec des yeux verts, et figure-toi qu'en rentrant dans la maison des dalmatiens de la montagne j'ai vu qu'il était venu me parler sur MSN, sauf que bien évidemment j'étais absente pour cause d'êre allée à Nancy-joyau-de-l'univers, mais j'ai quand même trouvé que c'était un fameux hasard.
Surtout que dans mon rêve je lui disais "t'as vu je te harcèle pas, point d'exclamation", et que dans le SMS que je lui ai envoyé en rentrant j'ai dit pareil, avant de me souvenir du rêve.
C'est parce que j'avais dit que je le harcèlerais s'il me donnait son numéro de GSM mais bien évidemment c'était une pointe d'humour (il a pas eu peur parce qu'il me l'a donné quand même, confiant le jeune homme).
J'ai noté dans mon cerveau deux-trois bidules dont je voulais te faire part si le trèfle m'en disait de t'écrire un mot (même que mon ami Pierrot m'aurait prêté sa plume pour l'occasion), mais mon cerveau est pas l'endroit le mieux rangé de la planète, donc je trouve plus ce que je voulais t'apprendre.
Bon, je ne doute pas que tu survivras au malheur, alors je vais m'arrêter ici même.
Ha quand même, dernièrement.
Tout à l'heure j'ai été méchante avec Haricot, c'pas bien Emil.
Et c'est très perturbateur.
Et sinon, je me suis rendue compte en marchant près de la Smutie justement, que j'aime pas tellement quand les gens prennent un truc futile trop à coeur.
Note que tu dois pas te sentir visé par la précédente phrase vu que la personne à laquelle je pense en disant ça ne lit jamais ce que je tapote.
Mais bref, je me faisait cette réflexion, et ensuite je me suis dit que c'était peut-être pas les gens qui prenaient les choses trop à coeur mais moi qui y attachais trop peu d'importance.
Je me suis dit ensuite qu'il y a quand même des gens qui attachent trop d'importance aux choses, ou qui dramatisent tout, et c'est épuisant.
Il leur manque de la légéreté, de la crème chantilly ou que sais-je, et en comparaison je crois que je suis attachée à des petits ballons d'hélium, et on est pas sortis du pré les cha-mis.
Il faudrait trouver un juste milieu sauf que j'ai pas tellement envie de m'approcher du centre, je sens que c'est ce genre de chose qui décroche les sourires des visages, et j'aime bien si on voit mes dents quand même.
(hors sujet)
Ensuite j'ai eu une autre réflexion sérieuse, sauf que je te mens, je me suis fait cette réflexion précédemment.
J'y ai pensé en traversant la rue où les voitures sont toujours arrêtées au feu rouge, tu vois laquelle ?
Là je me suis dit que tout de même, il était malaisé de ne pas culpabiliser d'être heureux (ou heureuse, dans mon cas), quand on a autour de nous une sorte de tristesse ambiante, de déprime latente, ou autre truc qui se finit en "nte".
Il y a des gens qui sourient et d'autres qui rient, et puis de temps en temps ils laissent supposer, ils remarquent, ou font comprendre, que le sourire n'est que de façade, que le rire est restreint, ou autre.
Après on peut dire ce qu'on veut, parler de son namoureux à quelqu'un qui n'en a pas mais en voudrait bien un (ou une, soyons pas sectaires), justement, de ses amis à ceux qui trouvent qu'ils n'en ont pas assez, justement, de son temps libre à ceux qui travaillent trop, malencontreusement, d'étaler son bonheur à ceux qui ont l'impression d'en être dénués, pour conclure, ça fait culpabiliser, j't'assure.
Mais bon des fois je suis trop occupée à être heureuse pour que mon inconscient pense à culpabiliser de l'être.
J'ai vu plein de trucs dans les magasins qui me donnaient envie de faire des achats, pour offrir tu vois, mais sans occasion particulière parce que les occasions particulières sont dans trop longtemps.
Sauf que j'avais 0.40€ sur moi, ce qui limite le pouvoir d'achat de la bonhommette.
J'ai fait l'acquisition (grâce à la générosité et au chéquier de mère-grand) d'un manteau pour l'hiver, qui est un manteau de fille, ce qui tombe pas mal vu que je suis une fille.
Il est gris, pour refléter ma joie de vivre, haha.
Gris c'est quand même la couleur la plus colorée, justement, qu'on trouve en hiver.
À moins d'avoir une passion pour le rouge et ses clignotants "regardez-moi, je suis iciiiiii" ('fin je dis ça mais en été j'ai une veste orange c'pas mieux, mais on dit pas).
Et ce matin je t'ai parlé du fait que dans mon rêve il y vaiat le monsieur avec des yeux verts, et figure-toi qu'en rentrant dans la maison des dalmatiens de la montagne j'ai vu qu'il était venu me parler sur MSN, sauf que bien évidemment j'étais absente pour cause d'êre allée à Nancy-joyau-de-l'univers, mais j'ai quand même trouvé que c'était un fameux hasard.
Surtout que dans mon rêve je lui disais "t'as vu je te harcèle pas, point d'exclamation", et que dans le SMS que je lui ai envoyé en rentrant j'ai dit pareil, avant de me souvenir du rêve.
C'est parce que j'avais dit que je le harcèlerais s'il me donnait son numéro de GSM mais bien évidemment c'était une pointe d'humour (il a pas eu peur parce qu'il me l'a donné quand même, confiant le jeune homme).
J'ai noté dans mon cerveau deux-trois bidules dont je voulais te faire part si le trèfle m'en disait de t'écrire un mot (même que mon ami Pierrot m'aurait prêté sa plume pour l'occasion), mais mon cerveau est pas l'endroit le mieux rangé de la planète, donc je trouve plus ce que je voulais t'apprendre.
Bon, je ne doute pas que tu survivras au malheur, alors je vais m'arrêter ici même.
Ha quand même, dernièrement.
Tout à l'heure j'ai été méchante avec Haricot, c'pas bien Emil.
et désolé, je te fais culpabiliser a cause de ton temps libre et de tes amis
et désolé pr ton haricot chéri d'avoir posté cet article, je vais le retirer dès que possible