Les gens, je me suis dit que je te manquais terriblement depuis que j'ai pas écrit mardiesquement, alors hop hop je me poste face à mon ami 'rdinateur et je t'abreuve de ma prose mirifique (l'ironie, c'est zoupeur pour commencer un article, alors voilà ).
La bonne blague, c'est juste que je vois pas que te raconter. C'est pas que j'ai rien à tapoter (ça serait bien extraordinaire), c'est juste que pleine de compassion je pense à ta survie (ne me remercie pas).
Pour exempler je pourrais te parler du traumatisme ambiant que me cause cette expression "femme qui rit à moitié dans son lit". Alors ça merci mal mais j'ai rarement vu plus tout pourri comme adage ("tout pourri", on sent l'influence d'Yvain ou bien nan ?). Tout ça c'est de la faute de "Je vais bien ne t'en fais pas" et de la non-délicatesse des facteurs. [J'aime bien donner des explications claires et complètes, comme ça je suis sûre que tu comprends bien le fond de ma pensée] Enfin à peu de choses près, on pourrait ajouter un bon paquet d'autres facteurs (mais pas les mêmes facteurs que ceux qui sont non-délicats, confonds pas tout tu veux) mais c'est un succinct résumé (Emil, ou le pléonasme dans tous ses états).
Maintenant à chaque fois que je me gausse (alors là , je veux rien entendre qui ressemble à "gausse" et qui s'assimile à des sciences, sinon je boude) je pense à ce bidule et je me dois de vérifier si une partie de mon corps n'est pas partie s'aliter chez l'esclaffeur.
Jusqu'à maintenant je dois avouer que mes deux côtés restent bien attachés à moi, mais je risque à tout moment de me démandibuler tout ça parce qu'un débile a dit un jour "Femme qui rit à moitié dans son lit". Brûlez-le, quoi.
[En même temps n'oublions pas que je suis une fille et pas une femme, c'peut-être pour ça que je reste entière]
[Imagine le nombre de demi-femmes qu'il y aurait dans le lit d'Alexandre Astier (je dis lui en passant comme ça)]
Ou alors je pourrais te parler de la page culturel de ma semaine, qui s'intitule : "Je m'enferme dans une salle de cinéma avec 3 autres êtres humains pour voir un film muet de 1926"
Avoue que ça fait culturel, quand même.
Bon j'en ai déjà parlé avant d'y aller, donc ça donne une sorte de déjà -vu, et pour remédier à cela je vais juste juter un petit bidule à ce propos.
Non allez, en fait, deux. C'est "un acheté, un gratuit" aujourd'hui.
Tout d'abord ce film était plutôt hululant (en même temps, l'adaptation d'une pièce d'Oscar Wilde, quoi).
Ensuite, c'est assez stressant de voir les personages parler, et de ne pas entendre ce qu'ils disent. On pourrait genre s'amuser à lire sur les lèvres, mais bon mais bon n'allons pas croire que le niveau de douétitude est si élevé, c'était en anglais quand même. Donc voilà le principe du film muet c'est que tu vois les acteurs parler mais tu entends pas ce qu'ils disent, juste tu tentes de le deviner (comme quand tu essayes de deviner où est Charlie, un peu).
Et je pense que cette nouvelle va te fasciner et t'émouvoir, mais mon chat a un péché mignon absolument pas mignon.
En fait dans mon jeune temps je pensais que ses buts dans la vie étaient de manger et de dormir, mais la vérité vient d'éclater sous mes yeux et je sais maintenant que je me fourvoyais. En fait ses buts dans la vie sont de dormir et de se laver. Le manger est en option.
Par exemple si je la touche (sacrilège !) il faut qu'elle se nettoie bien partout pendant 15 minutes après. Tu crois quand même pas qu'elle va se laisser salir comme ça ! Alors rien que pour l'embêter quand elle a fini de se laver je la caresse encore et comme ça elle recommence (la petite polissonne cette Emil). C'est parce que je suis affreusement vexée qu'elle se lave après que je l'aie touchée, vois-tu (on y croit là ?).
Des fois elle tente même de prendre de l'avance, et plutôt que de se laver une fois que je l'ai caressée, elle essaye de me lécher la main. Mais je suis une reine de l'esquive du coup de langue, haha.
Et en fait, je pense que le 20 juin est une bonne journée pour la réhabilitation, alors ois, ois, brave gens ("ois" c'est le verbe ouïr à l'impératif, deuxième personne du singulier, si jamais).
Cette demoiselle n'est peut-être pas une sieuse, j'avoue. Et puis cette demoiselle n'est peut-être pas une bougresse.
Mais j'en mettrais pas ma main à cabrioler, quand même :p
Je tente désespérément de trouver comment arranger mon programme de fête du cinéma pour avoir le temps de me sustenter, j'ai reçu une carte postale aujourd'hui c'est top wahou, je dois faire quatre, cinq, six , cueillir des groseilles chez mère-grand, j'ai une méga-pince-cintre-cassé-en-deux-super-ludique, j'essaye de convaincre monsieur mon fiancé que mais il assimile pas, j'ai plus de crédit c'est la fin du moooooonde (ha oui d'ailleurs, si je réponds pas aux sms ne nous inquiétons pas, c'est tout à fait plein de normalité), j'offre deux ou trois boulets si vous désirez (très passe-temps), le pied de mon lit est réparé-whouhouuuu, et en fait plein d'autres bidules encore mais là , nan.
Mes lunettes sont sales alors que je les ai nettoyées avec une petite lingette prévue à cet effet y'a une heure, ça me dinguifie.
Il doit y avoir le petit lutin salisseur de lunettes qui vit dans ma chambre, je crois.
P.S. : Ha oui c'est ça quand le monsieur s'amuse à réactualiser la page, hein.
La bonne blague, c'est juste que je vois pas que te raconter. C'est pas que j'ai rien à tapoter (ça serait bien extraordinaire), c'est juste que pleine de compassion je pense à ta survie (ne me remercie pas).
Pour exempler je pourrais te parler du traumatisme ambiant que me cause cette expression "femme qui rit à moitié dans son lit". Alors ça merci mal mais j'ai rarement vu plus tout pourri comme adage ("tout pourri", on sent l'influence d'Yvain ou bien nan ?). Tout ça c'est de la faute de "Je vais bien ne t'en fais pas" et de la non-délicatesse des facteurs. [J'aime bien donner des explications claires et complètes, comme ça je suis sûre que tu comprends bien le fond de ma pensée] Enfin à peu de choses près, on pourrait ajouter un bon paquet d'autres facteurs (mais pas les mêmes facteurs que ceux qui sont non-délicats, confonds pas tout tu veux) mais c'est un succinct résumé (Emil, ou le pléonasme dans tous ses états).
Maintenant à chaque fois que je me gausse (alors là , je veux rien entendre qui ressemble à "gausse" et qui s'assimile à des sciences, sinon je boude) je pense à ce bidule et je me dois de vérifier si une partie de mon corps n'est pas partie s'aliter chez l'esclaffeur.
Jusqu'à maintenant je dois avouer que mes deux côtés restent bien attachés à moi, mais je risque à tout moment de me démandibuler tout ça parce qu'un débile a dit un jour "Femme qui rit à moitié dans son lit". Brûlez-le, quoi.
[En même temps n'oublions pas que je suis une fille et pas une femme, c'peut-être pour ça que je reste entière]
[Imagine le nombre de demi-femmes qu'il y aurait dans le lit d'Alexandre Astier (je dis lui en passant comme ça)]
Ou alors je pourrais te parler de la page culturel de ma semaine, qui s'intitule : "Je m'enferme dans une salle de cinéma avec 3 autres êtres humains pour voir un film muet de 1926"
Avoue que ça fait culturel, quand même.
Bon j'en ai déjà parlé avant d'y aller, donc ça donne une sorte de déjà -vu, et pour remédier à cela je vais juste juter un petit bidule à ce propos.
Non allez, en fait, deux. C'est "un acheté, un gratuit" aujourd'hui.
Tout d'abord ce film était plutôt hululant (en même temps, l'adaptation d'une pièce d'Oscar Wilde, quoi).
Ensuite, c'est assez stressant de voir les personages parler, et de ne pas entendre ce qu'ils disent. On pourrait genre s'amuser à lire sur les lèvres, mais bon mais bon n'allons pas croire que le niveau de douétitude est si élevé, c'était en anglais quand même. Donc voilà le principe du film muet c'est que tu vois les acteurs parler mais tu entends pas ce qu'ils disent, juste tu tentes de le deviner (comme quand tu essayes de deviner où est Charlie, un peu).
Et je pense que cette nouvelle va te fasciner et t'émouvoir, mais mon chat a un péché mignon absolument pas mignon.
En fait dans mon jeune temps je pensais que ses buts dans la vie étaient de manger et de dormir, mais la vérité vient d'éclater sous mes yeux et je sais maintenant que je me fourvoyais. En fait ses buts dans la vie sont de dormir et de se laver. Le manger est en option.
Par exemple si je la touche (sacrilège !) il faut qu'elle se nettoie bien partout pendant 15 minutes après. Tu crois quand même pas qu'elle va se laisser salir comme ça ! Alors rien que pour l'embêter quand elle a fini de se laver je la caresse encore et comme ça elle recommence (la petite polissonne cette Emil). C'est parce que je suis affreusement vexée qu'elle se lave après que je l'aie touchée, vois-tu (on y croit là ?).
Des fois elle tente même de prendre de l'avance, et plutôt que de se laver une fois que je l'ai caressée, elle essaye de me lécher la main. Mais je suis une reine de l'esquive du coup de langue, haha.
Et en fait, je pense que le 20 juin est une bonne journée pour la réhabilitation, alors ois, ois, brave gens ("ois" c'est le verbe ouïr à l'impératif, deuxième personne du singulier, si jamais).
Cette demoiselle n'est peut-être pas une sieuse, j'avoue. Et puis cette demoiselle n'est peut-être pas une bougresse.
Mais j'en mettrais pas ma main à cabrioler, quand même :p
Je tente désespérément de trouver comment arranger mon programme de fête du cinéma pour avoir le temps de me sustenter, j'ai reçu une carte postale aujourd'hui c'est top wahou, je dois faire quatre, cinq, six , cueillir des groseilles chez mère-grand, j'ai une méga-pince-cintre-cassé-en-deux-super-ludique, j'essaye de convaincre monsieur mon fiancé que mais il assimile pas, j'ai plus de crédit c'est la fin du moooooonde (ha oui d'ailleurs, si je réponds pas aux sms ne nous inquiétons pas, c'est tout à fait plein de normalité), j'offre deux ou trois boulets si vous désirez (très passe-temps), le pied de mon lit est réparé-whouhouuuu, et en fait plein d'autres bidules encore mais là , nan.
Mes lunettes sont sales alors que je les ai nettoyées avec une petite lingette prévue à cet effet y'a une heure, ça me dinguifie.
Il doit y avoir le petit lutin salisseur de lunettes qui vit dans ma chambre, je crois.
P.S. : Ha oui c'est ça quand le monsieur s'amuse à réactualiser la page, hein.
Le flux du vecteur E (sais pas mettre la flèche dessus désolé) à travers une surface fermée S est égal à la charge intérieure à S, c'est-à -dire à qS divisé par epsilon de zéro.
De rien d'avoir augmenté votre potentiel scientifique
Vautour boude si tu veux mais voilà ce que j'ai dans la tête à chaque fois que je vois "je me gausse"
Oui c'est clair l'inventeur de "femme qui rit, à moitié dans ton lit" mérite le bûcher et tous ceux qui emploient cette expression mérite la pendaison(rime rime!!)
En effet les films muets ça fait bizarre de voir les lèvres bouger et de pas entendre ce qu'ils disent.
Ton chat est maniaque, j'adore^^ et la photo de la dite bête est superbe.
Je suis débougretiser whouhou joie dans les igloos.
Il est mignon mon coeur quand il s'y met. 46 pour ma part