(Ha oui, j'ai pas relu, mea culpa pour les fautes de frappe-orthographe, et autres joyeusetés)
En fait ça devient un peu une habitude, les jeudis en allant à la gare prendre le joyeux train de 17h35, après avoir survécu à une nouvelle journée de cours, je scribouille têtiquement un articlounet.
Je me dis il faut que je retienne, et certains trucs je les note dans mon portable/GSM pour m'en souvenir et tout ça, et après je rentre chez moi et soit j'ai carrément plus envie de tapoter l'articlounet, soit je commence à le rédiger mais c'est moins bien/pire que ce que j'avais têtiquement scriboullé et du coup j'efface.
Dans tous les cas, y'a perte d'article pour t'abreuver, à ùmoins que tu lises dans mes pensées mais alors là c'est le méga stress.
Mais en ce joli vendredi de novembre (je ne rappelerai pas le funeste évènement qui s'est passé il y a pile 116 ans), j'ai décidé que quand même j'allais un brin te raconter ma journée d'hier.
Ça parle furtivement de yaourt chocolat-vanille, de tours et détours en milieu universitaire, de tram, d'histoire contemporaine, et voilà en fait.
Je sais pas par où commencer.
Hier je suis allée manger avec ma moman et après quand je suis revenue à la fac il était dans les genres 14h, sachant que j'avais cours à 15h et que j'avais déjà passé presque deux heures sur des ordis le matin, une question s'est donc posée, que faire, que faire, double point d'interrogation.
Y'a à peu près bien sûr la solution "si je travaillais à la Bu dans la joie et l'allégresse", mais j'avoue c'est pas un réfexe, surtout que je suis en train de lire le chouette livre-cadeau de Woody Allen, de ce fait je me suis dit je vais m'installer sur le banc en face de la salle et lire en attendant l'heure du cours.
Ce que j'ai fait d'ailleurs, mais avant je dois t'expliquer la super méthode de perte du temps que j'applique, euh souvent, si on part du principe que j'ai pas mal d'heures de pas-cours-entre-des-cours et que je connais pas de fac d'historiens, ça me laisse du temps à tuer.
C'est une méthode qui s'intitule "tours et détours en milieu universitaire", ou "comment monter au quatrième étage sans se fatiguer", tu choisis l'intitulé que tu préfères, c'est libre-service.
Bon d'abord j't'avoue c'est une méthode qui fait perdre 5 minutes maximoum, mais je te rappelle que j'avais la prose de Woody à lire, alors.
Je te raconte ça parce que je sais que tu aimes avoir des infos croustillantes et palpitantes, et qui plus est, des fois que tu t'apprêtes à écrire ma biographie, ça pourrait être utile.
Je t'explique un peu le délire, en fait le bâtiment principl de la fac est en forme de U, et on trouve quatre escaliers, un à chaque extrêmité et un dans chaque angle du U.
Et d'ici là déjà une esquisse de ce que représente "tours et détours en milieu universitaire" point dans ton esprit ?
M'en fiche je t'explique quand même.
Je suis passée par "l'escalier qui descend" (ainsi nommé par Youguette, ndlr), soit un qui est à l'extrémité du U, je suis montée au premier étage, j'ai traversé tous le premier étage, je suis allée à l'escalier qui est à l'autre extrémité du U, j'ai monté un autre étage, donc j'étais au deuxième (je sais que tu suis, mais bon), j'ai traversé un couloir, j'ai pris l'escalier qui était dans un des angles du U, j'ai remonté un étage, j'ai traversé le couloir qui forme la base du U, jusqu'au quatrième escalier qui est donc à l'autre angle du U, je suis montée au quatrième et j'ai traversé le dernier couloir jusqu'à ma salle qui était plus proche de l'escalier que j'avais utilisé en tout premier, en fait.
Et si t'as plein de temps à perdre je t'ai fait un (magnifique) plan du bâtiment avec les escaliers et même je les ai numérotés dans l'ordre d'utilisation par imou et tout, si c'est pas magnifique (le pourquoi du parce que est : je suis en cours d'informatique, je dois donc m'occuper).
Après il était vers les 14h10, j'étais sagement sur mon banc en train de lire le livre-là , je vais pas encore te dire qui l'a écrit, et le truc que je me dois de préciser, c'est que le couloir où je me trouvais, c'est celui où on trouve plein de bureaux de profs d'histoire. Et qui dit bureau de prof d'histoire dit forcément profs d'histoire qui traînassent dans ledit couloir.
De ce fait, Monsieur Renaissance arrive, il me dit salut dans le genre il est poli, et bien sûr s'interroge sur le fait que je sois en train de lire sur un banc. Se tint ensuite cette (trépidante) conversation :
"Vous avez cours ici ?
_ Oui, à 15h (il était 14h10, j'te rappelle).
_ Et vous n'allez pas travailler à la BU ? (t'as l'oeil et le bon)
_ Non c'est bon, j'ai un livre dans mon sac (je lisais Woody mais j'avais quand même la France de 1914 à 1940 dans le sac, il me quitte plus c'est mon nouveau meilleur ami).
_Sinon, vous pouvez aller à l'institut d'histoire qui est au même étage, y'a pas grand monde, si vous avez pas l'habitude (habitude de quoi, me demandais-je, de travailler, sous-entendait-il peut-être)."
Ensuite il s'est téléporté vers ailleurs, alors je me suis dirigée vers l'institut d'histoire parce que me suis-je dit, s'il se repointe et que je suis encore en train de lire Woody sur mon banc il va désespérer le pauvret.
Un fac d'historien qui it même pas un livre d'histoire, c'est navrant, je te le concède.
P'is peut-être je te raconte la suite plus tard mais là j'ai la flemme.
P.S : C'est un peu débile d'ouvrir ma session sur l'ordi d'à côté pour que le bonhomme puisse aller sur internet alors que j'ai demandé à Mozilla de retenir mes mots de passe, nan ?
En fait ça devient un peu une habitude, les jeudis en allant à la gare prendre le joyeux train de 17h35, après avoir survécu à une nouvelle journée de cours, je scribouille têtiquement un articlounet.
Je me dis il faut que je retienne, et certains trucs je les note dans mon portable/GSM pour m'en souvenir et tout ça, et après je rentre chez moi et soit j'ai carrément plus envie de tapoter l'articlounet, soit je commence à le rédiger mais c'est moins bien/pire que ce que j'avais têtiquement scriboullé et du coup j'efface.
Dans tous les cas, y'a perte d'article pour t'abreuver, à ùmoins que tu lises dans mes pensées mais alors là c'est le méga stress.
Mais en ce joli vendredi de novembre (je ne rappelerai pas le funeste évènement qui s'est passé il y a pile 116 ans), j'ai décidé que quand même j'allais un brin te raconter ma journée d'hier.
Ça parle furtivement de yaourt chocolat-vanille, de tours et détours en milieu universitaire, de tram, d'histoire contemporaine, et voilà en fait.
Je sais pas par où commencer.
Hier je suis allée manger avec ma moman et après quand je suis revenue à la fac il était dans les genres 14h, sachant que j'avais cours à 15h et que j'avais déjà passé presque deux heures sur des ordis le matin, une question s'est donc posée, que faire, que faire, double point d'interrogation.
Y'a à peu près bien sûr la solution "si je travaillais à la Bu dans la joie et l'allégresse", mais j'avoue c'est pas un réfexe, surtout que je suis en train de lire le chouette livre-cadeau de Woody Allen, de ce fait je me suis dit je vais m'installer sur le banc en face de la salle et lire en attendant l'heure du cours.
Ce que j'ai fait d'ailleurs, mais avant je dois t'expliquer la super méthode de perte du temps que j'applique, euh souvent, si on part du principe que j'ai pas mal d'heures de pas-cours-entre-des-cours et que je connais pas de fac d'historiens, ça me laisse du temps à tuer.
C'est une méthode qui s'intitule "tours et détours en milieu universitaire", ou "comment monter au quatrième étage sans se fatiguer", tu choisis l'intitulé que tu préfères, c'est libre-service.
Bon d'abord j't'avoue c'est une méthode qui fait perdre 5 minutes maximoum, mais je te rappelle que j'avais la prose de Woody à lire, alors.
Je te raconte ça parce que je sais que tu aimes avoir des infos croustillantes et palpitantes, et qui plus est, des fois que tu t'apprêtes à écrire ma biographie, ça pourrait être utile.
Je t'explique un peu le délire, en fait le bâtiment principl de la fac est en forme de U, et on trouve quatre escaliers, un à chaque extrêmité et un dans chaque angle du U.
Et d'ici là déjà une esquisse de ce que représente "tours et détours en milieu universitaire" point dans ton esprit ?
M'en fiche je t'explique quand même.
Je suis passée par "l'escalier qui descend" (ainsi nommé par Youguette, ndlr), soit un qui est à l'extrémité du U, je suis montée au premier étage, j'ai traversé tous le premier étage, je suis allée à l'escalier qui est à l'autre extrémité du U, j'ai monté un autre étage, donc j'étais au deuxième (je sais que tu suis, mais bon), j'ai traversé un couloir, j'ai pris l'escalier qui était dans un des angles du U, j'ai remonté un étage, j'ai traversé le couloir qui forme la base du U, jusqu'au quatrième escalier qui est donc à l'autre angle du U, je suis montée au quatrième et j'ai traversé le dernier couloir jusqu'à ma salle qui était plus proche de l'escalier que j'avais utilisé en tout premier, en fait.
Et si t'as plein de temps à perdre je t'ai fait un (magnifique) plan du bâtiment avec les escaliers et même je les ai numérotés dans l'ordre d'utilisation par imou et tout, si c'est pas magnifique (le pourquoi du parce que est : je suis en cours d'informatique, je dois donc m'occuper).
Après il était vers les 14h10, j'étais sagement sur mon banc en train de lire le livre-là , je vais pas encore te dire qui l'a écrit, et le truc que je me dois de préciser, c'est que le couloir où je me trouvais, c'est celui où on trouve plein de bureaux de profs d'histoire. Et qui dit bureau de prof d'histoire dit forcément profs d'histoire qui traînassent dans ledit couloir.
De ce fait, Monsieur Renaissance arrive, il me dit salut dans le genre il est poli, et bien sûr s'interroge sur le fait que je sois en train de lire sur un banc. Se tint ensuite cette (trépidante) conversation :
"Vous avez cours ici ?
_ Oui, à 15h (il était 14h10, j'te rappelle).
_ Et vous n'allez pas travailler à la BU ? (t'as l'oeil et le bon)
_ Non c'est bon, j'ai un livre dans mon sac (je lisais Woody mais j'avais quand même la France de 1914 à 1940 dans le sac, il me quitte plus c'est mon nouveau meilleur ami).
_Sinon, vous pouvez aller à l'institut d'histoire qui est au même étage, y'a pas grand monde, si vous avez pas l'habitude (habitude de quoi, me demandais-je, de travailler, sous-entendait-il peut-être)."
Ensuite il s'est téléporté vers ailleurs, alors je me suis dirigée vers l'institut d'histoire parce que me suis-je dit, s'il se repointe et que je suis encore en train de lire Woody sur mon banc il va désespérer le pauvret.
Un fac d'historien qui it même pas un livre d'histoire, c'est navrant, je te le concède.
P'is peut-être je te raconte la suite plus tard mais là j'ai la flemme.
P.S : C'est un peu débile d'ouvrir ma session sur l'ordi d'à côté pour que le bonhomme puisse aller sur internet alors que j'ai demandé à Mozilla de retenir mes mots de passe, nan ?
2) j'adore la longueur de l'article (vive la suite (tu aurais du tout dire d'une fois))
3) faut te méfier de la longueur, tu fais des fautes de frappe et (le pire) tu mets meme pas en couleur les paroles de ton prof (il va se tirer une balle s'il lit ceci)