Je vends un chat pour des fois.

Jeudi, 13 décembre 2007.

Quand même ne me prends pas pour une pistache, si je dis j'ai pas trouvé le poème, tu te doutes bien que j'ai cherché un minimoum, hein.
J'ai bien songé à tapoter les premiers vers, et je suis tombée sur le site où on trouve le poème que trois gentes mademoiselles m'ont indiqué, mais je t'avoue qu'il y a des bouts que je n'ai pas appris (je me souviens sur ma feuille il y avait [...], c'pour ça), et il y a des bouts que j'ai appris et qui n'y sont pas, comme lui :

"Que le visage humain connaisse
L'utilité de la beauté
Sous l'aile de la réflexion"

Et lui :

"Pour tous du pain,
Pour tous des roses
Nous avons tous prêtés serment
Nous marchons à pas de géants
Et la route n'est pas si longue."

Du coup, le mystère reste entier quant aux bouts que je ne trouvent pas sur Internet.
Mais soit dit en passant, je voudrais livrer 26 mercis aux trois demoiselels qui m'ont passé le poème, un lien vers le poème ou le moyen d'arriver au poème, c'est fort gracieux, tant de sollicitude.

Je suis à cet instant précis sur un ordi de la fac en train de m'amuser à faire mon dossier d'informatique, un truc chouette comme tout à propos de Roland Garros, avec Powerpoint et Excel, je rigole bien.
mais en même temps je m'instruis, alors c'est cool, j'ai appris que M. Roland Garros (qui a donné son nom au stade, au tournoi, tout ça) et né en 1888 (comme Jean Bouin !) et mort en 1918 dans les Ardennes, et qu'il a été champion de France de cyclisme en 1906, entre autres bidules sur lui.
Bon faut dire c'est pas difficile d'apprendre des choses sur le monsieur si on part du principe qu'au départ je savais néant sur lui.
'Fin quand même je savais qu'il était aviateur, c'est un début.



Sinon je veux bien te vendre un mini-chat, mais pas pour toute la vie.
Je te le vends juste pour les matins quand je suis pressée, que j'ai plein de choses dans les bras du genre mon bol de céréales et des vêtements, et que quand j'ouvre la porte des escaliers pour retourner dans ma chambre me préparer, le bougre file telle la buse vers en bas en profitant du fait que je ne puisse l'attraper.
Il est pas tout à fait interdit d'en bas, mais disons qu'il risque d'y croiser Kromkrom qui l'aime moyen pas mais qui par contre aime lui filer des coups de patte tout en pas-douceur, et qui plus est y'a plein d'endroits où il peut se cacher et où on le trouve plus et c'est embêtant.
Voilà tu viens le chercher le matin vers 6h30 un peu avant que (ou beaucoup, ça dépend des jours)  je me réveille et tu le rapportes quand je suis partie de la maison, tout ça pour la modique somme de autant-que-tu-veux (pas un peu quand même, beaucoup pour financer mes cadeaux de Noël, les gens que j'aime (le plus, pas tous) te remercieront peut-être).

Et je me remets au travail, mine de néant.

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Les petits trucs en plus.

Pour compléter.

Par le-hall-des-pensees le Jeudi, 13 décembre 2007
personne te prends pour une pistache -_-
 

Pour compléter.









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