C'est tout pourri de les quitter. Ça faisait quelques semaines que j'habitais avec eux et voilà c'est fini.
Il y a Garion et puis Silk, Barak, Belgarath, Polgara, Durnik, Hettar, Mandorallen, Lellodrin, Relg, Ce'Nedra, Liselle, Taïba, Beldin, Zakath, Cyradis, Toth. Et puis encore plein d'autres personnages mais je vais pas tous te les citer.
Ils étaient comme il y a cinq ou six ans quand j'ai fait leur connaissance, tout pareil, mais je redécouvrais quand même ce qui leur arrivait, ma mémoire avait flanché, sur ce coup-là .
Silk c'est le meilleur du monde. De tous les personnages de tous les livres que j'ai lus, de tous les films que j'ai vus, c'est le meilleur.
Puis là ça y est hop c'est fini, la page 597 du tome cinq de la Mallorée et on saura jamais ce qui leur arrive après.
Après les milliers et les milliers de pages pendant lesquels on les suit.
On habite avec eux pendant plus de vingt ans. On les suit à cheval , dans les auberges, les palais, les tavernes. Quand ils campent ou quand ils rentrent chez eux. On écoute leurs conversations, on rit de leurs blagues, on suit leurs aventures et d'un coup ça s'arrête et on ne saura plus rien d'eux.
C'est tout pourri.
Déjà j'aime pas quand un livre s'arrête et qu'on sait pas ce qui arrive aux personnages après. C'est pour ça j'attends la suite des Yeux jaunes du crocodile et de la Valse lente des tortues avec impatience.
Mais là , pendant dix tomes, vingt ans, des semaines de lecture, c'est encore plus nul.
Davad Eddings à la fin du dernir tome, il dit :
Â
Il y a Garion et puis Silk, Barak, Belgarath, Polgara, Durnik, Hettar, Mandorallen, Lellodrin, Relg, Ce'Nedra, Liselle, Taïba, Beldin, Zakath, Cyradis, Toth. Et puis encore plein d'autres personnages mais je vais pas tous te les citer.
Ils étaient comme il y a cinq ou six ans quand j'ai fait leur connaissance, tout pareil, mais je redécouvrais quand même ce qui leur arrivait, ma mémoire avait flanché, sur ce coup-là .
Silk c'est le meilleur du monde. De tous les personnages de tous les livres que j'ai lus, de tous les films que j'ai vus, c'est le meilleur.
Puis là ça y est hop c'est fini, la page 597 du tome cinq de la Mallorée et on saura jamais ce qui leur arrive après.
Après les milliers et les milliers de pages pendant lesquels on les suit.
On habite avec eux pendant plus de vingt ans. On les suit à cheval , dans les auberges, les palais, les tavernes. Quand ils campent ou quand ils rentrent chez eux. On écoute leurs conversations, on rit de leurs blagues, on suit leurs aventures et d'un coup ça s'arrête et on ne saura plus rien d'eux.
C'est tout pourri.
Déjà j'aime pas quand un livre s'arrête et qu'on sait pas ce qui arrive aux personnages après. C'est pour ça j'attends la suite des Yeux jaunes du crocodile et de la Valse lente des tortues avec impatience.
Mais là , pendant dix tomes, vingt ans, des semaines de lecture, c'est encore plus nul.
Davad Eddings à la fin du dernir tome, il dit :
Â
"Et voilà , mes enfants,
le moment venu de refermer le livre.
Il y aura d'autres jours, d'autres histoires,
mais celle-ci est finie."
le moment venu de refermer le livre.
Il y aura d'autres jours, d'autres histoires,
mais celle-ci est finie."
Mais j'ai pas tellement envie que ce soit fini.