J'avais tout bien calculé et tout : départ de Tournai à 9h ce matin, hop le train vers Lille, puis le train vers Paris, puis le train vers Nancy (j'aime bien visiter les gares des métropoles). Je devais arriver à la gare de Nancy à 13h42, reprendre les cours à 14h, hop j'avais pile le temps de faire le trajet jusqu'au campus des lettres et des sciences humaines puis de me tartir les 4 étages, et j'aurais même pas été essouflée pour écouter le merveilleux cours d'histoire de la Lorraine.
Tout était réglé comme du papier à je sais plus quoi, musique cigarette, grain, bref.
Ça c'était dans un monde merveilleux où tout n'était que luxe, calme et volupté (sans le luxe) (et sans le calme). Dans un monde où tout n'était que volupté, quoi.
Et c'est là que les Belges entrent en scène.
Par un hasard dont l'existence a le secret, les Jeannots qui font rouler les trains en Belgique, ils ont décidé ce matin, ni une, ni trois, de faire une grève. Sans prévenir l'humanité ni rien. Inopinément.
Tout mon beau plan millimétré tombe à l'eau, l'université de Nancy II va devoir se passer de moi une journée, enfin tout part à vau l'eau.
On a qu'à dire que le point positif c'est que je vais pouvoir profiter du beffroi encore quelques heures, whouhou. Ou que je vais pouvoir profiter de pomme encore un peu, vu qu'il est obligé d'abandonner son bateau-navire pour me mener en France dans la boîte à trains. Ou que je vais louper le cours d'informatique, tristesse inouïe.
(Jeu : Dans ces trois propositions, une seule ne fait pas preuve d'ironie, sauras-tu trouver laquelle ?)
(Par contre aujourd'hui c'est l'anniversaire de Chritelle ma maman, et si tu veux lui souhaiter joyeux anniversaire tu peux, et si tu veux connaître son âge, tu peux calculer : le 18 juillet elle aura tout pile deux fois mon âge, et si tu veux lui offrir un cadeau, l'adresse c'est Chritelle, la maison des dalmatiens de la montagne, 54 la verte Meurthe-et-Moselle, Dombs.)
Quand je me serai remise de toutes ces émotions, je te raconterai comment Reims c'était bien et à l'occasion je te donnerai peut-être des conseils de survie si tu te rends en ce territoire hostile pour la première fois.
Tout était réglé comme du papier à je sais plus quoi, musique cigarette, grain, bref.
Ça c'était dans un monde merveilleux où tout n'était que luxe, calme et volupté (sans le luxe) (et sans le calme). Dans un monde où tout n'était que volupté, quoi.
Et c'est là que les Belges entrent en scène.
Par un hasard dont l'existence a le secret, les Jeannots qui font rouler les trains en Belgique, ils ont décidé ce matin, ni une, ni trois, de faire une grève. Sans prévenir l'humanité ni rien. Inopinément.
Tout mon beau plan millimétré tombe à l'eau, l'université de Nancy II va devoir se passer de moi une journée, enfin tout part à vau l'eau.
On a qu'à dire que le point positif c'est que je vais pouvoir profiter du beffroi encore quelques heures, whouhou. Ou que je vais pouvoir profiter de pomme encore un peu, vu qu'il est obligé d'abandonner son bateau-navire pour me mener en France dans la boîte à trains. Ou que je vais louper le cours d'informatique, tristesse inouïe.
(Jeu : Dans ces trois propositions, une seule ne fait pas preuve d'ironie, sauras-tu trouver laquelle ?)
(Par contre aujourd'hui c'est l'anniversaire de Chritelle ma maman, et si tu veux lui souhaiter joyeux anniversaire tu peux, et si tu veux connaître son âge, tu peux calculer : le 18 juillet elle aura tout pile deux fois mon âge, et si tu veux lui offrir un cadeau, l'adresse c'est Chritelle, la maison des dalmatiens de la montagne, 54 la verte Meurthe-et-Moselle, Dombs.)
Quand je me serai remise de toutes ces émotions, je te raconterai comment Reims c'était bien et à l'occasion je te donnerai peut-être des conseils de survie si tu te rends en ce territoire hostile pour la première fois.
Pomme et Emil devant la basilique Saint-Remi de Reims.