Aujourd'hui même on est le 12 mars (je t'en apprends des choses) et quand on est le 12 mars, tadadaaaan, mon cerveau pense pas à la date anniversaire d'un évènement historique, c'est dingue hein ?
C'juste que j'ai pas la moindre idée de ce qui a pu se passer un 12 mars, et comme on a plus droit à l'éphéméride sur un autre blog (bah bravo), bah j'en sais rien.
Bref on est le 12 mars (du coup si tu lis pas ça aujourd'hui possiblement tu vas être tout déboussolé si je le répète toutes les 4 secondes et quelques). On est le 12 mars, disais-je (d'ac, j'arrête, halala) et c'est l'anniversaire de Thomas.
C'est juste, que, là tu y échappes parce que je te parle souvent de quelqu'un d'autre (je t'aime quelqu'un d'autre), mais en fait j'ai du parler de lui pendant bien dix ou douze mille ans dans au début du siècle, aux personnes que je côtoyais à cette époque (et ça concerne donc, parmi cet étendu lectorat, Youguette, et VOILÀÀÀÀÀÀ).
Le principe d'Emil c'est que je suis (un brin) obsessionnelle (sur les bords). À propos des gens, j'veux dire.
Du coup il fut une période où je parlais beaucoup d'untel et une autre où je parlais beaucoup d'unetelle et une autre où je parlais beaucoup d'autretel, et bref je vais pas tous te les faire non plus.
P'is disons quand j'étais au collège (pincipalement) y'a eu une petite période, guère plus de quelques années, où en fait Thomas c'était un peu la Une, dans un monde où ma parole aurait été un journal. En l'occurence c'est pas le cas mais imagine.
Donc l'autre jour gentiment dans mon lit alors que j'attendais sagement Morphée (des fois je songe à l'appater à coup de Nutella ou je sais pas pour qu'il se ramène plus vite) et j'ai songé que la semaine prochaine c'était le 12 mars (bon, c'était la dernière fois). Prce qu'en fait l'autre jour était rangé dans la semaine dernière.
Après y'a tout un tas de souvenirs qui sont venus faire un coucou dans mon esprit. Le genre de trucs qui servent à rien pour la plupart et que je dois être la seule personne au monde à me souvenir encore (j'aime bien me dire des fois que je suis la seule personne au monde à me souvenir de quelque chose, même si c'pas vrai, des fois je suis sûre que si).
Des souvenirs du collège et du terrain de basket et du salon de Thomas et de la cuisine de mère-grand et de l'Allemagne et de la piscine et de l'herbe et du bus et d'autres.
Avec des sucettes de l'eau pas assez fraîche des bonbons sur l'aire d'autoroute du scribouillage dans le cou des cartes des trois de tension la photo dans le musée de la pétanque mon cousin que sais-je encore.
Je me dis ça me fait tout plein de petits souvenirs dans une boîte que je compléterai plus, mais en fait j'ai pas envie de la compléter elle me semble parfaite comme ça. Elle est un brin environnée de nostalgie mais elle a plus envie de nouveauté.
Voilà t'es un peu sauvé, pas des eaux comme Moïse, mais de moi comme euh, les autres lecteurs, rapport au fait que tu vas possiblement plus entendre parler de Thomas (de ma bouche) (par ici), comme bon, au pire je pourrais faire un article au moment de son nannicversaire (le 12 mars (haha)), mais bon je vais pas faire ça tous les ans, non plus.
Ci-gît une photo dudit monsieur prise par mes soins en Germanie.
Si ça te passionne, c'pas de ma faute si la photo est floue, de toute façon c'est même pas lui que je voulais prendre en photo (j'ai déjà expliqué ça ailleurs mais j'suis sûre que certains ont jamais lu, alors j'peux en profiter haha).
Je te raconte, allez, pour conclure, parce que j'ai encore presque 3h de trou (en plus des 3h30 que j'ai déjà eues avant) à meubler.
On était en Germanie, donc, j'ai déjà dit, et on était en train de visiter un machin construit par les Romains, je sais plus quoi.
Là on était devant un système de chauffage et je voulais le prendre en photo, par intérêt historique, disons.
Sauf que, j'étais assise sur un muret et y'avait Thomas et Antony dans les parages et c'est là que tout a basculé.
Non, pas tout, juste moi en fait.
J'étais sur mon muret et y'avait Thomas devant moi, et hop Antony est passé derrière et il a tiré mon sac en arrière au moment de ma jolie photo, alors vling (nouvelle onomatopée créée par mes soins) c'est le ciel, les nuages et Thomas, dans un mouvement qui est très flou-artistiquien, sauf que c'était pas fait exprès.
C'juste que j'ai pas la moindre idée de ce qui a pu se passer un 12 mars, et comme on a plus droit à l'éphéméride sur un autre blog (bah bravo), bah j'en sais rien.
Bref on est le 12 mars (du coup si tu lis pas ça aujourd'hui possiblement tu vas être tout déboussolé si je le répète toutes les 4 secondes et quelques). On est le 12 mars, disais-je (d'ac, j'arrête, halala) et c'est l'anniversaire de Thomas.
C'est juste, que, là tu y échappes parce que je te parle souvent de quelqu'un d'autre (je t'aime quelqu'un d'autre), mais en fait j'ai du parler de lui pendant bien dix ou douze mille ans dans au début du siècle, aux personnes que je côtoyais à cette époque (et ça concerne donc, parmi cet étendu lectorat, Youguette, et VOILÀÀÀÀÀÀ).
Le principe d'Emil c'est que je suis (un brin) obsessionnelle (sur les bords). À propos des gens, j'veux dire.
Du coup il fut une période où je parlais beaucoup d'untel et une autre où je parlais beaucoup d'unetelle et une autre où je parlais beaucoup d'autretel, et bref je vais pas tous te les faire non plus.
P'is disons quand j'étais au collège (pincipalement) y'a eu une petite période, guère plus de quelques années, où en fait Thomas c'était un peu la Une, dans un monde où ma parole aurait été un journal. En l'occurence c'est pas le cas mais imagine.
Donc l'autre jour gentiment dans mon lit alors que j'attendais sagement Morphée (des fois je songe à l'appater à coup de Nutella ou je sais pas pour qu'il se ramène plus vite) et j'ai songé que la semaine prochaine c'était le 12 mars (bon, c'était la dernière fois). Prce qu'en fait l'autre jour était rangé dans la semaine dernière.
Après y'a tout un tas de souvenirs qui sont venus faire un coucou dans mon esprit. Le genre de trucs qui servent à rien pour la plupart et que je dois être la seule personne au monde à me souvenir encore (j'aime bien me dire des fois que je suis la seule personne au monde à me souvenir de quelque chose, même si c'pas vrai, des fois je suis sûre que si).
Des souvenirs du collège et du terrain de basket et du salon de Thomas et de la cuisine de mère-grand et de l'Allemagne et de la piscine et de l'herbe et du bus et d'autres.
Avec des sucettes de l'eau pas assez fraîche des bonbons sur l'aire d'autoroute du scribouillage dans le cou des cartes des trois de tension la photo dans le musée de la pétanque mon cousin que sais-je encore.
Je me dis ça me fait tout plein de petits souvenirs dans une boîte que je compléterai plus, mais en fait j'ai pas envie de la compléter elle me semble parfaite comme ça. Elle est un brin environnée de nostalgie mais elle a plus envie de nouveauté.
Voilà t'es un peu sauvé, pas des eaux comme Moïse, mais de moi comme euh, les autres lecteurs, rapport au fait que tu vas possiblement plus entendre parler de Thomas (de ma bouche) (par ici), comme bon, au pire je pourrais faire un article au moment de son nannicversaire (le 12 mars (haha)), mais bon je vais pas faire ça tous les ans, non plus.
Ci-gît une photo dudit monsieur prise par mes soins en Germanie.
Si ça te passionne, c'pas de ma faute si la photo est floue, de toute façon c'est même pas lui que je voulais prendre en photo (j'ai déjà expliqué ça ailleurs mais j'suis sûre que certains ont jamais lu, alors j'peux en profiter haha).
Je te raconte, allez, pour conclure, parce que j'ai encore presque 3h de trou (en plus des 3h30 que j'ai déjà eues avant) à meubler.
On était en Germanie, donc, j'ai déjà dit, et on était en train de visiter un machin construit par les Romains, je sais plus quoi.
Là on était devant un système de chauffage et je voulais le prendre en photo, par intérêt historique, disons.
Sauf que, j'étais assise sur un muret et y'avait Thomas et Antony dans les parages et c'est là que tout a basculé.
Non, pas tout, juste moi en fait.
J'étais sur mon muret et y'avait Thomas devant moi, et hop Antony est passé derrière et il a tiré mon sac en arrière au moment de ma jolie photo, alors vling (nouvelle onomatopée créée par mes soins) c'est le ciel, les nuages et Thomas, dans un mouvement qui est très flou-artistiquien, sauf que c'était pas fait exprès.