Je sais pas qui a eu l'idée d'installer du carrelage à tout bout de champ en Lorraine, mais il a toute mon admiration. Je veux dire, du carrelage en extérieur. Si tu as du carrelage dans ta cuisine, grand bien t'en fasse, t'en as de la chance, super whouhou et tout le blabla.
Bon en fait je dis que je sais pas, mais pour une partie j'ai une idée.
J'ai deux exemples sous le bras :
1. À la fac, le long de tout le bâtiment de la BU, c'est du carrelage. Là je sais pas qui a eu la brillante idée.
2. Dans la descente de garage de la maison des dalmatiens de la montagne, là y'a du carrelage. Et je sais qui a eu la brillante idée, ça c'est du Vévé tout craché. (Comme tu es particulièrement chanceux, j'avais déjà raconté cette merveilleuse aventure.)
Bon, alors, c'est peut-être bien joli, ce magnifique carrelage, plutôt que du gravier tout pourri qui rentre dans les chaussures ou que sais-je encore. Mais il faut se rendre à l'évidence. La Lorraine n'est pas particulièrement connue pour sa météo engageante. C'est bien aisé, ce matin je me réveille, et Laurent Cabrol m'a annoncé par le truchement de la radio qu'ils annonçaient -12°C à Nancy. Comme ça m'a mis en joie pour partir à la fac, je ne te dis que ça.
Surtout que, au moment de partir, j'ouvre la porte, et là, que vois-je à l'extérieur ? De la neige qui virevolte comme un papillon (ou plutôt, comme plein de papillons). Du coup je suis retournée prendre un parapluie, je pars vaillamment, au but de cent mètres, je décide d'ouvrir mon parapluie, et en fait il été cassé, bien joué la fille. Et la SNCF n'attend pas, comme on dit.
Bref, tout à l'heure devant la BU j'ai pu assister au gadin de deux gugussettes qui marchaient de concert sur les carrelages trempés.
Et après, je rentre à la casbah, et comme la neige avait pas cessé de virevolter depuis le matin, c'est tout blanco sur le trottoir, et, dans la descente de garage.
Le truc c'est que y'a un MOTIF en carrelage dans la descente. Un coup c'est du carrelage, un coup c'est du béton, enfin c'est beau comme un camion, cette affaire.
Mais là malencontreusement on voyait pas le motif, on voyait juste du blanc neige.
C'était donc un peu la roulette russe de la vie, essayer de rejoindre la porte sans toucher un seul carrelage, un peu comme quand tu dois marcher que sur les lignes blanches des passages pour piétons ou je ne sais quelle bizarreté d'enfançon.
J'ai paumé.
Ça glissait pas mal.
Pour finir sur de la bonne humeur, une photo de Mya le bébé de Johanne et Jean-Pierre (je rigole, c'est moi en fait).
Et après t'auras plus de mes nouvelles avant mardi au moins, parce que je me téléporte dès demain à Reims avec pomme (on a trop bien choisi le moment, on va se retrouver avec douze mètres de neige, je ne te dis que ça).
Bon en fait je dis que je sais pas, mais pour une partie j'ai une idée.
J'ai deux exemples sous le bras :
1. À la fac, le long de tout le bâtiment de la BU, c'est du carrelage. Là je sais pas qui a eu la brillante idée.
2. Dans la descente de garage de la maison des dalmatiens de la montagne, là y'a du carrelage. Et je sais qui a eu la brillante idée, ça c'est du Vévé tout craché. (Comme tu es particulièrement chanceux, j'avais déjà raconté cette merveilleuse aventure.)
Bon, alors, c'est peut-être bien joli, ce magnifique carrelage, plutôt que du gravier tout pourri qui rentre dans les chaussures ou que sais-je encore. Mais il faut se rendre à l'évidence. La Lorraine n'est pas particulièrement connue pour sa météo engageante. C'est bien aisé, ce matin je me réveille, et Laurent Cabrol m'a annoncé par le truchement de la radio qu'ils annonçaient -12°C à Nancy. Comme ça m'a mis en joie pour partir à la fac, je ne te dis que ça.
Surtout que, au moment de partir, j'ouvre la porte, et là, que vois-je à l'extérieur ? De la neige qui virevolte comme un papillon (ou plutôt, comme plein de papillons). Du coup je suis retournée prendre un parapluie, je pars vaillamment, au but de cent mètres, je décide d'ouvrir mon parapluie, et en fait il été cassé, bien joué la fille. Et la SNCF n'attend pas, comme on dit.
Bref, tout à l'heure devant la BU j'ai pu assister au gadin de deux gugussettes qui marchaient de concert sur les carrelages trempés.
Et après, je rentre à la casbah, et comme la neige avait pas cessé de virevolter depuis le matin, c'est tout blanco sur le trottoir, et, dans la descente de garage.
Le truc c'est que y'a un MOTIF en carrelage dans la descente. Un coup c'est du carrelage, un coup c'est du béton, enfin c'est beau comme un camion, cette affaire.
Mais là malencontreusement on voyait pas le motif, on voyait juste du blanc neige.
C'était donc un peu la roulette russe de la vie, essayer de rejoindre la porte sans toucher un seul carrelage, un peu comme quand tu dois marcher que sur les lignes blanches des passages pour piétons ou je ne sais quelle bizarreté d'enfançon.
J'ai paumé.
Ça glissait pas mal.
Pour finir sur de la bonne humeur, une photo de Mya le bébé de Johanne et Jean-Pierre (je rigole, c'est moi en fait).
Et après t'auras plus de mes nouvelles avant mardi au moins, parce que je me téléporte dès demain à Reims avec pomme (on a trop bien choisi le moment, on va se retrouver avec douze mètres de neige, je ne te dis que ça).
T'as pas de chance, le carrelage c'est le MAL...
Sinon, très jolie photo :) Mais tu sais que porter un tee shirt par dessus un autre à manches longues comme ça fait top moumoute, je t'imaginais pas comme ça (obligée tu te sens d'être méga classe quand tu me vois pour impression, pas vrai, Maîtresse-à-penser-en-histoire ^^)
J'aime bien ton tee-shirt aussi, cool :) Et mignon le bébé. Quand il parlera ce sera autre chose ^^