Ça y est, ça y est, c'est la fête ! J'ai enfin percuté pourquoi mon cours d'histoire de la Lorraine il s'appelle histoire de la Lorraine. Pour l'instant on a eu le vocabulaire de la mort dans l'Antiquité, les rites funéraires dans la Rome antique et les morts païennes et chrétiennes dans l'Empire romain, grosso et modo.
Et donc, tout s'éclaire ! Le cours, il s'appelle Histoire de la Lorraine parce que la salle de cours se situe en Lorraine !
J'ai bien pesé le pour et le contre, et c'est la seule solution logique. D'ailleurs je me demande si on devrait pas renommer le Master "Master d'histoire de la Lorraine", vu que tous les cours ont lieu en Lorraine. Et parce qu'aucun d'eux parle de la Lorraine.
Après cette illumination divine, laisse-moi te narrer un machin qui s'est passé pendant le cours hier.
En cours d'histoire de la Lorraine, y'a plein d'auditeurs libres. Dans ce cas présent, les auditeurs libres, c'est de petites personnes chargées d'ans qui s'installent aux premiers rangs, qui écoutent le prof et qui ensuite lui posent des questions pièges pour montrer qu'elles en savent plus que lui.
Et hier, donc, avait donc lieu le cours le plus intéressant d'histoire de la Lorraine depuis le début du semestre. Voire, le seul intéressant, en fait. Après réflexion (je dis pas ça parce que j'ai appris que le prof qui nous a donné ledit cours connait l'adresse de mon blog NOTE BIEN (par contre à ce propos je veux bien ma note de partiel sur les Gaulois et sainte Blandine, bien le merci, cordialement, et cætera)).
Nan mais c'était un cours où le prof avait pas une voix d'église, qu'il nous parlait pas en sanskrit ni rien, autant te dire que c'était la fête. Et en plus il a parlé d'Attis (je t'avais raconté cette merveilleuse histoire une fois) qui est limite mon personnage mythologique préféré tellement c'est du grand n'importe quoi cette affaire.
BREF BREF BREF, donc on était au cours d'histoire de la Lorraine, et quelques rangs devant là où j'étais, y'avait un auditeur libre, c'est-à-dire un monsieur chargé d'ans, qui avait la tête posée dans sa main, le coude sur la table, et il a commencé à perdre peu à peu l'équilibre, et là, paf, bah sa tête a chu. Du coup, ça l'a réveillé en sursaut, alors il a retiré ses lunettes, et tranquillement il s'est plus ou moins couché sur la table (il a pas couché tout son corps sur la table, hein, commence pas à imaginer des trucs bizarres).
Et voilà.
Le point que j'arrive pas à saisir, c'est pourquoi le gugusse, il s'est tapé le trajet jusqu'à la fac, puis le trajet jusqu'au quatrième étage PAR LES ESCALIERS, alors qu'il était même pas obligé de faire ça, tout ça pour s'endormir à un cours intéressant ?
Peut-être qu'il croyait que ça allait parler de la Lorraine, et qu'il tomba dans les bras de Morphée sous les coups de la déception.
Et donc, tout s'éclaire ! Le cours, il s'appelle Histoire de la Lorraine parce que la salle de cours se situe en Lorraine !
J'ai bien pesé le pour et le contre, et c'est la seule solution logique. D'ailleurs je me demande si on devrait pas renommer le Master "Master d'histoire de la Lorraine", vu que tous les cours ont lieu en Lorraine. Et parce qu'aucun d'eux parle de la Lorraine.
Après cette illumination divine, laisse-moi te narrer un machin qui s'est passé pendant le cours hier.
En cours d'histoire de la Lorraine, y'a plein d'auditeurs libres. Dans ce cas présent, les auditeurs libres, c'est de petites personnes chargées d'ans qui s'installent aux premiers rangs, qui écoutent le prof et qui ensuite lui posent des questions pièges pour montrer qu'elles en savent plus que lui.
Et hier, donc, avait donc lieu le cours le plus intéressant d'histoire de la Lorraine depuis le début du semestre. Voire, le seul intéressant, en fait. Après réflexion (je dis pas ça parce que j'ai appris que le prof qui nous a donné ledit cours connait l'adresse de mon blog NOTE BIEN (par contre à ce propos je veux bien ma note de partiel sur les Gaulois et sainte Blandine, bien le merci, cordialement, et cætera)).
Nan mais c'était un cours où le prof avait pas une voix d'église, qu'il nous parlait pas en sanskrit ni rien, autant te dire que c'était la fête. Et en plus il a parlé d'Attis (je t'avais raconté cette merveilleuse histoire une fois) qui est limite mon personnage mythologique préféré tellement c'est du grand n'importe quoi cette affaire.
BREF BREF BREF, donc on était au cours d'histoire de la Lorraine, et quelques rangs devant là où j'étais, y'avait un auditeur libre, c'est-à-dire un monsieur chargé d'ans, qui avait la tête posée dans sa main, le coude sur la table, et il a commencé à perdre peu à peu l'équilibre, et là, paf, bah sa tête a chu. Du coup, ça l'a réveillé en sursaut, alors il a retiré ses lunettes, et tranquillement il s'est plus ou moins couché sur la table (il a pas couché tout son corps sur la table, hein, commence pas à imaginer des trucs bizarres).
Et voilà.
Le point que j'arrive pas à saisir, c'est pourquoi le gugusse, il s'est tapé le trajet jusqu'à la fac, puis le trajet jusqu'au quatrième étage PAR LES ESCALIERS, alors qu'il était même pas obligé de faire ça, tout ça pour s'endormir à un cours intéressant ?
Peut-être qu'il croyait que ça allait parler de la Lorraine, et qu'il tomba dans les bras de Morphée sous les coups de la déception.