krommlech

J'ai ri. C'était pas drôle, c'était pas moqueur, j'crois que mes nerfs ont lâchés ^^
J'ai lu ça, et voilà, bim mon cerveau est tombé du côté de la fosse des Mariannes de la nettitude.
En même temps j'ai toujours ri beaucoup, quand c'est drôle, quand je suis heureuse, quand je suis gênée, quand je suis triste, je balance des éclats de rire partout, ça me rajoute des minutes de vie, faut pas que je trépasse avant les 114 ans j'te rappelle.
(Haaaa ! Je viens de comprendre l'astuce avec OpenOffice ! Il corrige les fautes tout seul, sans mettre cette vilaine vaguelette rouge, hop hop, et en plus il accepte les mots qu'il percute pas. S'il est pas mignon tout plein !)
Bref, j'me suis esclaffée ce matin, c'était la fête du whouhou mais j'vais pas te dire pourquoi hahaaa !

Et aussi, figure-toi que la génie de la lampisation a encore fait effet, au niveau du potin d'la blague, si mes calculs sont exacts, bref je présume que la sûreté va pointer le bout de son nez incessamment sous peu, mais j'dirais que la lampe s'en sort pas mal sur ce coup-là.
[Si c'est pas compréhensible à tes yeux humble mortel, tant pis :p]

Euhhh sinon. Hmmm
Haa il faut que je te pose une ou deux questions, pour voir si mes conclusions ne sont pas hâtives (t'façon paraît que la sieuse qui t'écrit a de mauvaises conclusions, souvent ma foi ^^).
Tu vois la tête qu'il a Orlando Bloom ? Tu sais celui que je trouvais beau quand j'étais jeune et innocente. Bien bien.
Ensuite je vais pas te demander si tu sais ce que c'est du maquillage, j'te prends pas pour un ermite non plus.
Enfin, je présume que non, mais avais-tu vu ce chouette reportage qui est passé un dimanche soir de février sur Arte, où on voyait des types qui faisaient du rodéo travestis (non mais je faisais autre chose en même temps je regardais pas que ça rassure-toi !) et dans lequel on apprenait que la plupart des cowboys sont gays ?
Alors, dis-moi, mauvais marché, un gugusson qui trouve Orlando Bloom beau, qui dit qu'il aime se maquiller en fille, et qui plus est se dit cowboy, quelles conclusions logiques pouvons-nous en tirer ?
La mienne c'est qu'il ne pagaie plus, mais je laisse quand même le bénéfice du doute sur le côté gauche de sa personne.
(Hmm j'ai abandonné l'idée du coming-out, c'est pour ça que je t'en parle ici même :p)
D'ailleurs sache que ces conclusions sont arrivées à moi avec une convers de départ sur Dr Jekyll et Mr Hyde, j'aaaaaaime les associations d'idées.

À propos, je voudrais bien, dans un élan de fol espoir, te demander, mauvais marché, si tu as lu le Portrait de Dorian Gray, mais m'est avis que ça va me donner des envies de défenestration, alors je m'abstiens.
Mais si tu l'as lu tu peux te manifester et je t'adulerai, bien entendu.
Je laisse planer le doute sur ton amour sur Oscar Wilde (t'as vu le film Oscar Wilde ? Y'a Jude Law whouuuuuuuuuuuu ! (Y'a même une demie-seconde où on voit Orlando Bloom, pour toi jeune faon :p))

Ensuite.
Haaa, en plus du comité de soutien des points d'interrogation, je vais créer un nouveau comité, j'ai décidé ça hier soir. (Hier soir qui était le jour où je me couchais tôt pour être en forme aujourd'hui pour aller travailler à la B.U., et même que j'avais pris de bonnes résolutions, que j'ai tenues, mais j'suis quand même allée me coucher à 3h27, et bah tu sais quoi ? Je sais exactement de la faute de qui c'est, et si tu te demandes, il a le même nom que ce chouettitop type de la Nouvelle star dont je suis fan. Bref)
Je vais ouvrir le comité de lynchage des froncements de sourcils. Ces trucs doivent être purement et simplement éradiqués de la planète (et surtout des visages, en fait).
L'arbitraire Igapois a encore frappé, tadaaaaan !

Et ma moman, elle m'a acheté LA chemise. Tu vois laquelle ?
Celle que je savais exactement à quoi elle devait ressembler, un peu comme celle de Marc-André dans C.R.A.Z.Y., quand il est à Jérusalem et qu'il est bronzé et qu'il est trooooooop classe. Voilà, donc un peu comme celle-là, je savais le tissu, les motifs, la taille, le col, la couleur, enfin tout, et elle était jamais dans les magasins. (En même temps j'entre dans un magasin de vêtements une fois tous les trois ans et demi, quand j'ai un couteau sous la gorge, tu m'diras).
Et bah Chritelle, elle l'a trouvée ! Si c'est pas la top-chouettitude absolue ça, j'm'y connais bien les cha-mis.
Peut-être toi tu trouves qu'elle est niouk cette chemise, et qu'elle me va mal, mais alors, moi je l'aime plus que le soleil, et si elle me va pas j'm'en fous j'me vois pas, hahaaaaaa ! Alors voilà, me supporter un peu plus ou un peu moins, tu dois être rôdé depuis l'temps.
Sinon tant pis.

Je suis allée à Nancy, travailler à la B.U. comme une studieuse jeune étudiante, mais en fait j'ai tenu une heure trente à travailler, et encore le dernier quart d'heure j'ai du me forcer à finir ce que j'avais commencé. Parce que mes pensées vagabondaient de-ci und de-là, mais alors pas du tout du côté des empereurs Antonins, c'est balot. Bref.

J'ai vu la place Stan qui faisait mal aux yeux tellement y'avait de soleil, un des types qui dorment à la B.U. (devine où...), un pigeon anti-Bobby, que j'avais envie d'écrire à mon pti bonhomme, des dizaines d'enfants, un train à l'heure (promis je mens pas !), un singe triste, qu'il faudrait ressortir les pantacourts si le beau temps continue, la B.U. éteinte et vide, des filles habillées pareil, que j'aime ces mots, « toujours » et « jamais », un email qui m'a annoncé que j'allais à Paris les 8 et 9 juillet (whouhouuuuu), qu'un MP3 ne sert à rien au Saint-Séb tellement leur musique est forte, deux ânes et un ânon, un contrôleur qui n'avait jamais vu ma carte de réduc (Noch einmal, once again, encore une fois (édition trilingue, si c'est pas beau ça !)), ma concentration s'envoler, des garçons avec des T-shirts à rayures, une glace pomme-framboise qui filait magiquement vers ma bouche, des pages se remplir de mon écriture, et d'histoires passées, que la génie de la lampisation a encore de belles années devant elle, Aristide faire la roue pour tenter de séduire Brigitte (ce blog n'est pas un soap-opéra, sinon je t'aurais mis des photos hein), un train en retard, ma gourmandise l'emporter sur mon impatience, des tonnes d'amoureux, que deux bornes de compostage situées l'une à côté de l'autre dans une gare peuvent indiquer une 16h47 et l'autre 16h44, Lili des bellons aux premières notes d'une musique, des gens s'embrasser sur un quai de gare, que je ne pourrais finalement jamais être en panne d'inspiration.

Ohhh je voulais te dire un autre truc, mais je sais plus quoi.
J'suis désappointée là.
Tant pis.

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