Je t'ai dit l'autre fois que le courrier des lecteurs c'était mon cheval. J'veux dire, c'est tellement formidable de lire les questions que certaines personnes posent, ça met du baume aux poumons.
Bon je sais que c'est pas beau de se moquer et tout le tremblement, mais de toute taçon, j'm'en fous, je sais même pas où c'est Lapugnoy. Parce que la fille dont je vais te parler aujourd'hui elle vient de Lapugnoy. Pauvre enfant, j'ai envie de dire (à moins que quelqu'un dans l'assistance me certifie que c'est le meilleur bled du monde, mais avec un nom comme ça ça démarre mal).
Donc je me moque. De toute façon je suis pas gentille, tout un chacun le répète à longueur de semaine. Parce que je me moque.
Si peu.
Des fois, j'ai envie de dire, on a pas le choix. En partant du principe que la commisération c'est pas son truc, or il se trouve que la commisération c'est pas mon truc (pomme peut en témoigner, haha).
Je te ivre donc ce courrier des lecteurs formidable. Enfin je l'ai trouvé formidable. Encore mieux que le type qui allait mourir et qui s'inquiétait parce que son neveu de 40 ans état toujours célibataire, j'ai peur qu'il soit homosexuel aidez-moi.
Là c'était un palier, et maintenant on joue pour la question à 100.000€ (oui j'ai des références culturelles de dinguots, limite je te citerais Schopenhauer, mais je suis déjà pas sûre de comment ça s'écrit alors bon).
"J'ai 23 ans et, en 2005, j'ai vécu ma première histoire d'amour qui a duré six mois. Nous avons rompu mais, en 2007, je l'ai revu lors d'une soirée et il m'a demandé mon numéro de téléphone. J'ai refusé parce qu'il vivait en couple. En 2008, une nouvelle fois, nos chemins se sont croisés, mais il avait une autre compagne. Qu'attend-il de moi ? Dois-je passer à autre chose ou continuer à penser à lui ?"
Alors franchement, que de questions pertinentes !
Il m'a adressé la parole deux fois en trois ans, qu'attend-il de moi ? (De passer le reste de sa vie à tes côtés, en toute limpidité.)
Est-ce que je dois continuer à penser à un type qui m'a adressé la parole deux fois en trois ans ? (Mais oui, n'abandonne pas ! Plus que dix ou douze ans et il reviendra vers toi pour te demander l'heure !)
Bon, tu peux bien avoir de la commisération si ça te dit, mais je continue à me moquer, hein (si t'avais pas remarqué).
Puis aussi ce que tu peux faire c'est t'entraîner à faire courrier des lecteurs en répondant à ces questions pertinentes danjs les commentaires, peut-être que Cindy passera par là pour les lire !
Tous mes mea culpa, Cindy, mais c'était trop tentant.
Bon je sais que c'est pas beau de se moquer et tout le tremblement, mais de toute taçon, j'm'en fous, je sais même pas où c'est Lapugnoy. Parce que la fille dont je vais te parler aujourd'hui elle vient de Lapugnoy. Pauvre enfant, j'ai envie de dire (à moins que quelqu'un dans l'assistance me certifie que c'est le meilleur bled du monde, mais avec un nom comme ça ça démarre mal).
Donc je me moque. De toute façon je suis pas gentille, tout un chacun le répète à longueur de semaine. Parce que je me moque.
Si peu.
Des fois, j'ai envie de dire, on a pas le choix. En partant du principe que la commisération c'est pas son truc, or il se trouve que la commisération c'est pas mon truc (pomme peut en témoigner, haha).
Je te ivre donc ce courrier des lecteurs formidable. Enfin je l'ai trouvé formidable. Encore mieux que le type qui allait mourir et qui s'inquiétait parce que son neveu de 40 ans état toujours célibataire, j'ai peur qu'il soit homosexuel aidez-moi.
Là c'était un palier, et maintenant on joue pour la question à 100.000€ (oui j'ai des références culturelles de dinguots, limite je te citerais Schopenhauer, mais je suis déjà pas sûre de comment ça s'écrit alors bon).
"J'ai 23 ans et, en 2005, j'ai vécu ma première histoire d'amour qui a duré six mois. Nous avons rompu mais, en 2007, je l'ai revu lors d'une soirée et il m'a demandé mon numéro de téléphone. J'ai refusé parce qu'il vivait en couple. En 2008, une nouvelle fois, nos chemins se sont croisés, mais il avait une autre compagne. Qu'attend-il de moi ? Dois-je passer à autre chose ou continuer à penser à lui ?"
Alors franchement, que de questions pertinentes !
Il m'a adressé la parole deux fois en trois ans, qu'attend-il de moi ? (De passer le reste de sa vie à tes côtés, en toute limpidité.)
Est-ce que je dois continuer à penser à un type qui m'a adressé la parole deux fois en trois ans ? (Mais oui, n'abandonne pas ! Plus que dix ou douze ans et il reviendra vers toi pour te demander l'heure !)
Bon, tu peux bien avoir de la commisération si ça te dit, mais je continue à me moquer, hein (si t'avais pas remarqué).
Puis aussi ce que tu peux faire c'est t'entraîner à faire courrier des lecteurs en répondant à ces questions pertinentes danjs les commentaires, peut-être que Cindy passera par là pour les lire !
Tous mes mea culpa, Cindy, mais c'était trop tentant.