Je commence mon épopée épopesque (ou épique, si tu veux faire croire que tu parles français (encore que, du coup, dit pas épopée et épique dans la même phrase sinon on va se moquer de toi parce que tu fais des pléonasmes)) par le jour du seigneur, parce que je garde même pas le meilleur pour la fin. Alors dimanche le cinquième jour du mois de juillet 2009, avec pomme-pomme on était à Paris, gracieusement hébergés par Satine, et on devait faire un pique-nique-douille avec des humains de France et de Navarre. Les humains étant (dans l'ordre d'apparition): Satine, Matthieu la demie-personne de Satine, MlleMarquise, Axel, Ninabel en robe bleue avec un copain blond (aussi appelé Sébastien). Plus pomme et moi, forcément, elle nous a pas laissés dans le cagibi Laure.
D'ailleurs je tiens à dire que c'est vraiment tout à fait perturbant de se rendre compte que des gens nés en 1992 passent déjà le bac. Ça file des coups de vieux (et encore, pense à pomme qui est plus vieux que vieux, hinhin).
On devait partir de chez Satine à 11h, et déjà l'épopée démarre.
Vers 10h, Laure, qui devait faire un crumble aux pommes, s'est rendu compte magie magie que les pomme étaient retournée à la poussière. Enfin à la putréfaction d'abord. Manque de bol quoi. Heureusement, Super Matthieu était là , il a dégainé l'ascenseur, le magasin et deux trois autres bidules pour ramener au péril de sa vie des pommes rouges et jaunes qui brillent (vu que c'est les meilleures dixit moi-même). Et incroyable mais vrai, Satine a eu le temps d'envoyer sa demie-personne faire les courses, de peler les pommes, de préparer le crumble tous les deux, de le mettre au four, d'aller se doucher, et tout ça presque pour 11h. En fait on est partis à 11h05. Retard minime pourrait-on croire, mais du coup, paf (Chocapic), on a du courir pour attraper le train. C'était la première fois de mon existence que je courrais pour avoir un train, tout cela en banlieue parisienne, petit instant d'émotion.
Il fallait absolument avoir le train parce que la seconde étape de l'aventure c'est qu'on devait aller chercher MlleMarquise-Agathe à la gare de Lyon parce qu'elle arrivait de la lointaine Méditerranée. Retrouver quelqu'un que tu as jamais vu dans une gare parisienne le premier week-end des vacances d'été, ça c'est une expérience à vivre. Sauf si tu es un tantinet agoraphobe, parce que ça risque de tourner au massacre. Elle a mis 15 minutes pour faire le trajet descente du train-accueil où on l'attendait, alors que les deux destinations étaient distantes de 50 mètres, pour te donner une idée.
Mais finalement, nous y parvînmes. Ce qui nous a mené à l'étape suivante (comme un jeu de piste en fait), aller au point de rendez-vous pour rejoindre les autres, une fontaine géante à Saint Michel (ça c'est le point de rendez-vous, pas les autres, hein). Le truc qui fait 24m de haut, qui crache des gerbes d'eau de 10 mètres, avec animation son et lumière, enfin tu peux pas le louper quoi. Sauf si tu t'intitules Axel.
Une des parts hasardeuses de l'organisation de Satine, c'était de penser que les Parisiens (ou Franciliens, faut pas être sectaires) connaissent Paris. Manque de discernement j'ai envie de dire.
Donc on était gentiment dans le métro en train de nous diriger vers le point de ralliement, quand Satine a reçu un message d'Axel qui lui disait qu'il était à l'Hôtel de ville (si elle m'a pas fourvoyée dans les infos) et qu'il savait pas comment aller à la fontaine. Re-manque de bol, Satine sait pas où est l'Hôtel de ville à Paris. Naïvement je lui ai dit que je voyais où c'était alors elle m'a passé le téléphone pour que j'indique le trajet. Dans l'absolu je vis dans la Meurthe et Moselle. Mais j'ai une tête de carte routière alors j'ai expliqué quand même. Et Axel il dit "bon d'accord je vais prendre le bus". Alors, je viens de vérifier sur Google Maps, il y a 700m entre l'hôtel de ville et la fontaine Saint-Michel. Je fus donc traumatisée par cette déclaration.
Enfin finalement, on était en route vers la fameuse fontaine, sauf qu'on allait pas dans la bonne direction. On est sortis de la bouche de métro et on a marché marché marché, et là on était plus qu'à quelques pas du parvis de Notre-Dame, autant te dire pas dans le bon coin quoi. Puis Satine et Axel se sont téléphonés (et ils ont sauvé le monde), et en fait on était tous sur un pont, mais pas le même. Alors on est partis pour rejoindre le gugusse tout seul, qui nous attendait, c'est bien simple, sur le pont d'où on était sortis du métro.
À cet instant, nous étions six, sur huit, et toujours pas à la fontaine. Donc on s'est mis en route vers la, pour rejoindre Ninabel-Isabelle qui avait une robe bleue et un copain blond.
Et là , c'est le drame.
Elle envoie un message à Satine pour lui dire qu'ils auraient 30 minutes de retard.
Alors qu'on était à 30 mètres de la fontaine ! Le truc tout à fait rageant quoi. Donc Satine a pris une décision ultime, elle a dit bon on va manger tout de suite ils nous rejoindront.
C'est là qu'a commencé la seconde partie de l'épopée épopesque, intitulée la rive gauche.
Mais je te raconterai ça une autre fois, sinon tu vas oublier d'aller manger et de dormir tellement tu seras captivé par mon histoire, et je voudrais pas avoir ton trépas sur la conscience.
En attendant, regarde le collier top-moumoute que pomme il m'a offert pour l'obtention de ma licence :
D'ailleurs je tiens à dire que c'est vraiment tout à fait perturbant de se rendre compte que des gens nés en 1992 passent déjà le bac. Ça file des coups de vieux (et encore, pense à pomme qui est plus vieux que vieux, hinhin).
On devait partir de chez Satine à 11h, et déjà l'épopée démarre.
Vers 10h, Laure, qui devait faire un crumble aux pommes, s'est rendu compte magie magie que les pomme étaient retournée à la poussière. Enfin à la putréfaction d'abord. Manque de bol quoi. Heureusement, Super Matthieu était là , il a dégainé l'ascenseur, le magasin et deux trois autres bidules pour ramener au péril de sa vie des pommes rouges et jaunes qui brillent (vu que c'est les meilleures dixit moi-même). Et incroyable mais vrai, Satine a eu le temps d'envoyer sa demie-personne faire les courses, de peler les pommes, de préparer le crumble tous les deux, de le mettre au four, d'aller se doucher, et tout ça presque pour 11h. En fait on est partis à 11h05. Retard minime pourrait-on croire, mais du coup, paf (Chocapic), on a du courir pour attraper le train. C'était la première fois de mon existence que je courrais pour avoir un train, tout cela en banlieue parisienne, petit instant d'émotion.
Il fallait absolument avoir le train parce que la seconde étape de l'aventure c'est qu'on devait aller chercher MlleMarquise-Agathe à la gare de Lyon parce qu'elle arrivait de la lointaine Méditerranée. Retrouver quelqu'un que tu as jamais vu dans une gare parisienne le premier week-end des vacances d'été, ça c'est une expérience à vivre. Sauf si tu es un tantinet agoraphobe, parce que ça risque de tourner au massacre. Elle a mis 15 minutes pour faire le trajet descente du train-accueil où on l'attendait, alors que les deux destinations étaient distantes de 50 mètres, pour te donner une idée.
Mais finalement, nous y parvînmes. Ce qui nous a mené à l'étape suivante (comme un jeu de piste en fait), aller au point de rendez-vous pour rejoindre les autres, une fontaine géante à Saint Michel (ça c'est le point de rendez-vous, pas les autres, hein). Le truc qui fait 24m de haut, qui crache des gerbes d'eau de 10 mètres, avec animation son et lumière, enfin tu peux pas le louper quoi. Sauf si tu t'intitules Axel.
Une des parts hasardeuses de l'organisation de Satine, c'était de penser que les Parisiens (ou Franciliens, faut pas être sectaires) connaissent Paris. Manque de discernement j'ai envie de dire.
Donc on était gentiment dans le métro en train de nous diriger vers le point de ralliement, quand Satine a reçu un message d'Axel qui lui disait qu'il était à l'Hôtel de ville (si elle m'a pas fourvoyée dans les infos) et qu'il savait pas comment aller à la fontaine. Re-manque de bol, Satine sait pas où est l'Hôtel de ville à Paris. Naïvement je lui ai dit que je voyais où c'était alors elle m'a passé le téléphone pour que j'indique le trajet. Dans l'absolu je vis dans la Meurthe et Moselle. Mais j'ai une tête de carte routière alors j'ai expliqué quand même. Et Axel il dit "bon d'accord je vais prendre le bus". Alors, je viens de vérifier sur Google Maps, il y a 700m entre l'hôtel de ville et la fontaine Saint-Michel. Je fus donc traumatisée par cette déclaration.
Enfin finalement, on était en route vers la fameuse fontaine, sauf qu'on allait pas dans la bonne direction. On est sortis de la bouche de métro et on a marché marché marché, et là on était plus qu'à quelques pas du parvis de Notre-Dame, autant te dire pas dans le bon coin quoi. Puis Satine et Axel se sont téléphonés (et ils ont sauvé le monde), et en fait on était tous sur un pont, mais pas le même. Alors on est partis pour rejoindre le gugusse tout seul, qui nous attendait, c'est bien simple, sur le pont d'où on était sortis du métro.
À cet instant, nous étions six, sur huit, et toujours pas à la fontaine. Donc on s'est mis en route vers la, pour rejoindre Ninabel-Isabelle qui avait une robe bleue et un copain blond.
Et là , c'est le drame.
Elle envoie un message à Satine pour lui dire qu'ils auraient 30 minutes de retard.
Alors qu'on était à 30 mètres de la fontaine ! Le truc tout à fait rageant quoi. Donc Satine a pris une décision ultime, elle a dit bon on va manger tout de suite ils nous rejoindront.
C'est là qu'a commencé la seconde partie de l'épopée épopesque, intitulée la rive gauche.
Mais je te raconterai ça une autre fois, sinon tu vas oublier d'aller manger et de dormir tellement tu seras captivé par mon histoire, et je voudrais pas avoir ton trépas sur la conscience.
En attendant, regarde le collier top-moumoute que pomme il m'a offert pour l'obtention de ma licence :