J'ai un peu peur des fois que mes pieds ils se canardisent si je descends trop souvent les escaliers qui vont vers le sous-sol de la maison des dalmatiens de la montagne.
Les marches elles sont pas grandes comme ça (tu peux éventuellement songer que mes pieds sont trop grands aussi, mais merci mal je préfère la version des marches), alors je suis obligée de m'encanardiser de la démarche pour descendre les escaliers en courant, sans passer par la case "je porte le poids de mon corps sur la plante de mes pieds qui ne touchent pas le sol et je chois sans graciosité".
Et puis souvent je cours dans les escaliers parce que je suis pressée de redescendre peut-être, pour regagner ma chambre ? Je sais pas juste je cours.
Et je pense bien à baisser la tête vers la fin quand le plafond est bas et que si je cours ça tressaute du crâne et ça fait monter le niveau de ma tête et ça rentre dans le mur qui est aussi le plafond et bim ça fait mal. Alors je pense à baisser la tête sauf une fois ou deux j'ai oublié et ça fait mal.
Mais sinon c'est plutôt un réflexe.
C'est pas la peur comme la cubiculacétphobie qui a l'air ridicule comme ça mais je suis couarde t'façon, ou la peur de s'éclater l'oeil nan mais vraiment ça je passe, la peur de la souffrance physique, ha là ça fait plus sérieux, et la peur qu'ils tombent mais ça n'en parlons pas avant d'avoir compris le pourquoi du parce que [Qui n'existe pas m'est avis c'est juste du n'importe quoi]. Plutôt une peur pour pas chercher le mot qui convient le mieux.
À un moment ça ressemble à un partiel d'anglais confirmé où rien n'est confirmé et ils donnent un texte à trou. Y'a un trou, voilà c'est pas du gruyère ici. Dans le gruyère y'a pas de trous, mais ici y'en a un.
Sauf qu'il y a pas de sournois ou bien alors d'espace vide ou bien alors de tiret-de-la-touche-huit. Devine.
Tu devines où il est le trou et tu devines ce qui va dedans, et la consultation des copies c'est le 14 juin de 15h à 15h12, et sinon tant pis tu sauras jamais.
Ils parlent des prénoms qui sont dans les chansons et qui deviennent des modes. C'est à cause de Roch Voisine qui est là , et qui a chanté Hélène (mais pas il s'appelle Hélène il est une fille commeuh les auuuuuutreuhs).
Ils ont même pas dit Emilienne.
Quoi y'a une chanson avec Emilienne, et c'est pas devenu une mode de s'appeler Emilienne ? C'était tendance vers 1921 j't'assure !
"Emilienne, ta mère a dit qu'tu r'viennes"
Quand j'étais petite je l'entendais souvent, souvent, maintenant ça va.
Des fois je me demande si les gens ils sont pas déçus ceux qui cliquent sur les liens des derniers articles postés depuis Cowblog. Ils trouvent le titre hululant ou j'sais pas, et là aucun rapport.
C'plutôt balot.
Les marches elles sont pas grandes comme ça (tu peux éventuellement songer que mes pieds sont trop grands aussi, mais merci mal je préfère la version des marches), alors je suis obligée de m'encanardiser de la démarche pour descendre les escaliers en courant, sans passer par la case "je porte le poids de mon corps sur la plante de mes pieds qui ne touchent pas le sol et je chois sans graciosité".
Et puis souvent je cours dans les escaliers parce que je suis pressée de redescendre peut-être, pour regagner ma chambre ? Je sais pas juste je cours.
Et je pense bien à baisser la tête vers la fin quand le plafond est bas et que si je cours ça tressaute du crâne et ça fait monter le niveau de ma tête et ça rentre dans le mur qui est aussi le plafond et bim ça fait mal. Alors je pense à baisser la tête sauf une fois ou deux j'ai oublié et ça fait mal.
Mais sinon c'est plutôt un réflexe.
C'est pas la peur comme la cubiculacétphobie qui a l'air ridicule comme ça mais je suis couarde t'façon, ou la peur de s'éclater l'oeil nan mais vraiment ça je passe, la peur de la souffrance physique, ha là ça fait plus sérieux, et la peur qu'ils tombent mais ça n'en parlons pas avant d'avoir compris le pourquoi du parce que [Qui n'existe pas m'est avis c'est juste du n'importe quoi]. Plutôt une peur pour pas chercher le mot qui convient le mieux.
À un moment ça ressemble à un partiel d'anglais confirmé où rien n'est confirmé et ils donnent un texte à trou. Y'a un trou, voilà c'est pas du gruyère ici. Dans le gruyère y'a pas de trous, mais ici y'en a un.
Sauf qu'il y a pas de sournois ou bien alors d'espace vide ou bien alors de tiret-de-la-touche-huit. Devine.
Tu devines où il est le trou et tu devines ce qui va dedans, et la consultation des copies c'est le 14 juin de 15h à 15h12, et sinon tant pis tu sauras jamais.
Ils parlent des prénoms qui sont dans les chansons et qui deviennent des modes. C'est à cause de Roch Voisine qui est là , et qui a chanté Hélène (mais pas il s'appelle Hélène il est une fille commeuh les auuuuuutreuhs).
Ils ont même pas dit Emilienne.
Quoi y'a une chanson avec Emilienne, et c'est pas devenu une mode de s'appeler Emilienne ? C'était tendance vers 1921 j't'assure !
"Emilienne, ta mère a dit qu'tu r'viennes"
Quand j'étais petite je l'entendais souvent, souvent, maintenant ça va.
Des fois je me demande si les gens ils sont pas déçus ceux qui cliquent sur les liens des derniers articles postés depuis Cowblog. Ils trouvent le titre hululant ou j'sais pas, et là aucun rapport.
C'plutôt balot.