Vendredi je faisais gentiment mon décompte de quand jeune homme mon fiancé allait arriver, et puis à un moment j'avais pas tellement de ses nouvelles alors je me suis dit quand même je vais me demander où il est, rapport au fait qu'il me prévient quand il décampe de chez lui en général et que là il était un brin censé être parti de chez lui déjà .
Ensuite, magie, magie, 5 minutes plus tard ou même pas Samsung-pas-mon ami a grelingreliné, et c'était le jeune homme en question, s'en suivit un dialogue du genre "tu veux savoir où je suis ?_ Oui. _ Au bout de ta rue."
Assurément il a trucidé mon décompte en arrivant avec trois heures d'avance, tu imagines un peu à quel point je lui en veux ?
Samedi on a fêté l'anniversaire de Youguette, on avait même pas trois semaines de retard, on fait ça bien quand même. Juste un peu plus de deux semaines, rien de bien important.
D'ailleurs Julieta a fait un récit détaillé des évènements (haha) sur son blogounet, tu crois quand même pas que je vais me tartir à tout retranscrire dans la joie et l'allégresse ?
Juste, on a quand même failli mourir, t'imagine pas.
Le soir tranquillement nous marchions gaiement dans le centre-ville de Nancy en sortant du resto avec le serveur-Dark Angel (t'as vu la référence un peu ? (il avait un code-barre tatoué dans le coup, si tu suis pas)).
Et là , d'un coup d'un seul, Elo le jeune grelon géant elle a vu une porte de magasin ouverte, et donc, bons pettis citoyens que nous sommes, nous avons chargé l'homme de la situation (qui n'est autre que jeune homme mon fiancé, je te le donne en quatre mille) de téléphoner à nos amis de la police pour notre BA quotidienne.
En vrai, le groupe de frêles jeunes filles que nous étions attendions bien sagement au coin de la rue, dans la lumière rassurante de la civilisation, en nous faisant nos adieux et en jalousant Lise qui avait eu la chance d'attendre son vingtième anniversaire, et le jeune homme risquait sa vie en s'approchant dangereusement de la scène du crime.
À un moment y'a une bonhommette qui est passée dans la rue et je lui ai envoyé des messages télépathiques pour qu'elle passe entre l'antre du tueur et mon bien-aimé pour récupérer les balles perdues sauf que la bougresse elle a traversé la rue, j'te jure.
Tout ça pour conclure qu'au lieu de risquer notre vie samedi soir, on a découvert que le type du magasin de chocolat, sa passion c'était de laisser la porte du magasin ouverte, c'est tout à fait normal, et ça nous donne un truc à raconter, sur un ton dramatique à la rigueur, c'est tout bénéf.
On a ensuite eu un cours d'auto-défense des plus plaisants, comment on égorge le type et comment on fait quand on va se faire violer et comment on massacre un tibia et comment on fait mal à la main, et d'autres trucs, merci mal.
Après c'était la nuit j'ai fait un rêve terrible, qui est comme un feuilleton, qui plus est.
De temps en temps la nuit j'ai la suite de l'épisode précédent.
L'histoire est digne de la grève des scénaristes à Hollywood, c'est une fille qui est persuadée d'être harcelée par une de ses collègues de travail et qui s'auto-mutile, mais en étant absolument persuadée que c'est sa collègue qui lui fait du mal.
Dans l'épisode précédent, la bonhommette s'était brisé le bras, et samedi soir-dimanche matin, elle s'est assise par terre devant sa collègue qui soit-disant la harcèle, a soulevé un pansement qu'elle avait sur le genou, et tout le monde (soit la collègue et imou) a pu voir qu'elle s'était greffé un oeil au niveau du genou.
Et bien sûr l'oeil il bougeait et tout comme s'il était tranquillement dans son orbite.
Et ensuite on observé gentiment qu'elle avait fait tout pareil de l'autre côté.
Voilà après je fermais pas les yeux, je suis une poule trempée, sinon je revoyais ces genoux avec des yeux greffés qui bougeaient et c'était assez immonde, alors je faisais des câlins à un jeune homme qui dormait par là .
Dimanche c'était un peu tranquille-tranquille, alors je te raconte pas.
Ensuite, magie, magie, 5 minutes plus tard ou même pas Samsung-pas-mon ami a grelingreliné, et c'était le jeune homme en question, s'en suivit un dialogue du genre "tu veux savoir où je suis ?_ Oui. _ Au bout de ta rue."
Assurément il a trucidé mon décompte en arrivant avec trois heures d'avance, tu imagines un peu à quel point je lui en veux ?
Samedi on a fêté l'anniversaire de Youguette, on avait même pas trois semaines de retard, on fait ça bien quand même. Juste un peu plus de deux semaines, rien de bien important.
D'ailleurs Julieta a fait un récit détaillé des évènements (haha) sur son blogounet, tu crois quand même pas que je vais me tartir à tout retranscrire dans la joie et l'allégresse ?
Juste, on a quand même failli mourir, t'imagine pas.
Le soir tranquillement nous marchions gaiement dans le centre-ville de Nancy en sortant du resto avec le serveur-Dark Angel (t'as vu la référence un peu ? (il avait un code-barre tatoué dans le coup, si tu suis pas)).
Et là , d'un coup d'un seul, Elo le jeune grelon géant elle a vu une porte de magasin ouverte, et donc, bons pettis citoyens que nous sommes, nous avons chargé l'homme de la situation (qui n'est autre que jeune homme mon fiancé, je te le donne en quatre mille) de téléphoner à nos amis de la police pour notre BA quotidienne.
En vrai, le groupe de frêles jeunes filles que nous étions attendions bien sagement au coin de la rue, dans la lumière rassurante de la civilisation, en nous faisant nos adieux et en jalousant Lise qui avait eu la chance d'attendre son vingtième anniversaire, et le jeune homme risquait sa vie en s'approchant dangereusement de la scène du crime.
À un moment y'a une bonhommette qui est passée dans la rue et je lui ai envoyé des messages télépathiques pour qu'elle passe entre l'antre du tueur et mon bien-aimé pour récupérer les balles perdues sauf que la bougresse elle a traversé la rue, j'te jure.
Tout ça pour conclure qu'au lieu de risquer notre vie samedi soir, on a découvert que le type du magasin de chocolat, sa passion c'était de laisser la porte du magasin ouverte, c'est tout à fait normal, et ça nous donne un truc à raconter, sur un ton dramatique à la rigueur, c'est tout bénéf.
On a ensuite eu un cours d'auto-défense des plus plaisants, comment on égorge le type et comment on fait quand on va se faire violer et comment on massacre un tibia et comment on fait mal à la main, et d'autres trucs, merci mal.
Après c'était la nuit j'ai fait un rêve terrible, qui est comme un feuilleton, qui plus est.
De temps en temps la nuit j'ai la suite de l'épisode précédent.
L'histoire est digne de la grève des scénaristes à Hollywood, c'est une fille qui est persuadée d'être harcelée par une de ses collègues de travail et qui s'auto-mutile, mais en étant absolument persuadée que c'est sa collègue qui lui fait du mal.
Dans l'épisode précédent, la bonhommette s'était brisé le bras, et samedi soir-dimanche matin, elle s'est assise par terre devant sa collègue qui soit-disant la harcèle, a soulevé un pansement qu'elle avait sur le genou, et tout le monde (soit la collègue et imou) a pu voir qu'elle s'était greffé un oeil au niveau du genou.
Et bien sûr l'oeil il bougeait et tout comme s'il était tranquillement dans son orbite.
Et ensuite on observé gentiment qu'elle avait fait tout pareil de l'autre côté.
Voilà après je fermais pas les yeux, je suis une poule trempée, sinon je revoyais ces genoux avec des yeux greffés qui bougeaient et c'était assez immonde, alors je faisais des câlins à un jeune homme qui dormait par là .
Dimanche c'était un peu tranquille-tranquille, alors je te raconte pas.
Vous avez fait quoi après ?