Bonsoir.
[J'ai eu un bug de cerveau merci mais ça arrive à tout le monde.]
Je connais la couleur du cheval blanc d'Henri IV, et je sais que le quotient du côté adjacent par l'hypoténuse donne le cosinus.
J'ai mangé hier du petit suisse bleu mais uniquement parce que ma moman a acheté du sucre de couleur.
J'ai découvert aujourd'hui que la poubelle était l'exact opposé du poulet, et que Lise parle à ses pieds qui vont là où elle ne veut pas.
Ça me perturbe assez les gens à la télé qui raccroche au téléphone après avoir dit d'accord, et même pas au revoir ou bonne journée.
Je parle de moi parce que je suis plutôt sûre de ne pas me tromper, et souvent je me dis que j'aimerais avoir un confident qui vive très loin. Qu'il ne connaisse aucune de mes connaissances et que je n'ai pas à le regarder en face. Ainsi je pourrais raconter. Mais d'autres fois je me dis que non.
Je voulais te parler alors je suis venue ici. J'ai vu mais je n'ai pas vaincu. Il n'y avait pas d'ennemis.
Si je passe en deuxième année j'aurai droit en cadeau au tome cinq, et rien que pour ça ça vaut le coup. Un des seuls livres dont mon personnage préféré est le héros, Artémis.
J'aurais voulu parler mais la seule personne à qui j'ai msniennement adressé la parole ces derniers jours dort. Le vendredi soir, ou le samedi matin, lorsqu'on est début juin en 2007, je ne vois pas quoi dire aux autres. Prendre de leurs nouvelles, et ? Mais je voudrais bien quand même, savoir compléter la phrase.
Les notes s'égrénent petit à petit, elle ne donne pas de musique mais une mesure de la chance.
Maintenant j'attends d'apprendre qu'ils sont un couple à la ville, comme dans les magazines people. Après je me demande ce que je dirai et penserai, alors j'attends.
Parfois je fais des décomptes, et je calcule les moisiversaires et les anniversaires.
Je sers à des trucs sûrement, et le chat dort sur mon oreiller. Sur mon oreiller !
Là j'ai répondu à des questionnaires parce que ça fait plaisir à Julieta, mais Hotmail a pas voulu envoyer le deuxième alors ça sera pour demain si je n'omets point.
Il a plu cinq minutes, entre le moment où je suis sortie de la maison et le moment où je suis montée dans le bus. Sinon il a fait beau, et bon.
Le cadre est rouge, après hésitations et tonalités de téléphone qui ne mènent qu'à de l'attente avant raccrochage.
Là , maintenant, je me dis que ça y est je ne sais plus quoi dire. En cherchant je peux trouver qu'ajouter, mais je ne cherche pas, j'écoute.
Une fois, au moins, ça sera cette fois-ci, je voudrais dire merci et tous mes mercis à une jeune damoiselle qui passe par ici, ne meurt pas d'ennui, commentationne et surtout qui tient un blog plein d'hululisme et de musique. Alors tous mes mercis jeune damoiselle. Et mauvais marché je t'invite à aller faire un tour dans ses contrées si ce n'est déjà fait.
[J'ai eu un bug de cerveau merci mais ça arrive à tout le monde.]
Je connais la couleur du cheval blanc d'Henri IV, et je sais que le quotient du côté adjacent par l'hypoténuse donne le cosinus.
J'ai mangé hier du petit suisse bleu mais uniquement parce que ma moman a acheté du sucre de couleur.
J'ai découvert aujourd'hui que la poubelle était l'exact opposé du poulet, et que Lise parle à ses pieds qui vont là où elle ne veut pas.
Ça me perturbe assez les gens à la télé qui raccroche au téléphone après avoir dit d'accord, et même pas au revoir ou bonne journée.
Je parle de moi parce que je suis plutôt sûre de ne pas me tromper, et souvent je me dis que j'aimerais avoir un confident qui vive très loin. Qu'il ne connaisse aucune de mes connaissances et que je n'ai pas à le regarder en face. Ainsi je pourrais raconter. Mais d'autres fois je me dis que non.
Je voulais te parler alors je suis venue ici. J'ai vu mais je n'ai pas vaincu. Il n'y avait pas d'ennemis.
Si je passe en deuxième année j'aurai droit en cadeau au tome cinq, et rien que pour ça ça vaut le coup. Un des seuls livres dont mon personnage préféré est le héros, Artémis.
J'aurais voulu parler mais la seule personne à qui j'ai msniennement adressé la parole ces derniers jours dort. Le vendredi soir, ou le samedi matin, lorsqu'on est début juin en 2007, je ne vois pas quoi dire aux autres. Prendre de leurs nouvelles, et ? Mais je voudrais bien quand même, savoir compléter la phrase.
Les notes s'égrénent petit à petit, elle ne donne pas de musique mais une mesure de la chance.
Maintenant j'attends d'apprendre qu'ils sont un couple à la ville, comme dans les magazines people. Après je me demande ce que je dirai et penserai, alors j'attends.
Parfois je fais des décomptes, et je calcule les moisiversaires et les anniversaires.
Je sers à des trucs sûrement, et le chat dort sur mon oreiller. Sur mon oreiller !
Là j'ai répondu à des questionnaires parce que ça fait plaisir à Julieta, mais Hotmail a pas voulu envoyer le deuxième alors ça sera pour demain si je n'omets point.
Il a plu cinq minutes, entre le moment où je suis sortie de la maison et le moment où je suis montée dans le bus. Sinon il a fait beau, et bon.
Le cadre est rouge, après hésitations et tonalités de téléphone qui ne mènent qu'à de l'attente avant raccrochage.
Là , maintenant, je me dis que ça y est je ne sais plus quoi dire. En cherchant je peux trouver qu'ajouter, mais je ne cherche pas, j'écoute.
Une fois, au moins, ça sera cette fois-ci, je voudrais dire merci et tous mes mercis à une jeune damoiselle qui passe par ici, ne meurt pas d'ennui, commentationne et surtout qui tient un blog plein d'hululisme et de musique. Alors tous mes mercis jeune damoiselle. Et mauvais marché je t'invite à aller faire un tour dans ses contrées si ce n'est déjà fait.