Le retour.

Mercredi, 9 janvier 2008.

Mardi c'était le jour pas hyper nic-nic par rapport aux autres.
Mon ami le réveil il a voulu que je me lève à 7h, alors que depuis des lustres je me levais vers les pas avant 10h.
Puis j'ai feinté un peu et finalement je suis restée au lit jusqu'à 7h18 mais après debout et prépare-toi Emil (ça c'est de l'automotivation).

J'ai retrouvé dans la joie et l'allégresse la SNCF (et son amie la gare) et la fac avec ses 111 marches pour aller au quatrième étage, whouhou, forcément c'est joie dans les igloos.

J'avais oublié ma carte de réduction pour avoir le billet de train à 1.70€ au lieu de 2€, mais DE TOUTE FAÇON, moman elle m'avait filé 10€ en billet et le contrôleur il avait pas 8€ de monnaie.
"Il manque quelques centimes c'est pas grave ?"
Bah écoute Bob c'est mon petit plaisir indécent de payer mes billets de train presque 50 centimes de plus que d'habitude, alors imagine comme mon coeur frémit.
Mais je leur pardonne parce que souvent je paye pas le train alors ça va (absence de borne de compostage, de guichet automatique, de contrôle dans le train, BONJOUR !).

Et puis la fac mon amie, qui essaye de me faire devenir folle dès que je débarque en voulant pas recharger ma carte pour manger au RU, j'ai essayé deux fois mais non que diable, tu mangeras pas (en fait Youguette elle me devait un repas de toute façon, alors).

Et la bougresse de machine à la gare qui a pas voulu imprimer mes belles photos, et Noyémie qui a mis du lait dans le reste de la fondue au chocolat (qu'est-ce que le point, elle trouvait que ça sentait trop le chocoat, c'est un peu le principe dirais-je), et mes jambes-fesses-dos qui me font souffrir (pas trop hein, faut pas rêver), et finir à 18h30 j'aime pas c'est trop long.

Voilà il fallait bien que quand même un peu je me plaigne, hein.

De krommlech.

Rangé dans

Cache-cache.

Mardi, 11 décembre 2007.

Haha, t'as vu un peu l'esclaffe, je teste ta malignité et l'intensité de ton envie de lire les n'importe quoi que j'écris en faisant un parcours du combattant.

Limite c'est cache-cache par ici, je cache-chache les articlounets, on peut dire que ça déménage au niveau de nos zygomatiques.
Mais tu avoueras que si j'avais mis l'explication du pourquoi du parce que de la faillite de ma mort en-dessous de l'article t'aurais bien vu après le "au revoir" que c'était pas été fini, et je te demande bien l'intérêt de ruser telle la siouse si tout le monde percute l'astuce d'un simple coup des yeux.

Mais revenons-en à nos ovins.
Aujourd'hui, j'ai failli mourir, disais-je.

Nan je plaisante hein, mais j'étais quand même pas loin de crisecardiaquer, rapport au fait que je rentrais tranquillement à la maison des dalmatiens de la montagne, quand tout à coup (c'est pour l'élément perturbateur, comme en primaire "tout à coup" ou "soudain") j'ai entendu une voix s'élever des profondeurs de la Terre.
Pas du tout, c'est juste deux types qui passaient dans une voiture à côté de moi et le passager m'a adressé la parole, et forcément je m'y attendais pas, alors j'ai bondi tel le cabri et après je me suis cachée dans mon écharpe pour rire de ma prore bêtise, c'est mignon.
Le type il m'a dit "tu me passes ton numéro point d'interrogation" et après la voiture a roulé roulé et a tourné au coin de la rue, si j'avais eu l'intention de leur filer j'aurais du leur courir après dis donc.

Tu t'es donc fait du souci pour néant, j'ai même pas failli mourir pour de vrai.
Mais d'abord c'est de la faute d'Asiaflash qui a dit un jour que j'étais sadique, alors que veux-tu, chasser le naturel il revient tel un poney.


De krommlech.

Rangé dans

Vas-y, gausse-toi.

Mercredi, 11 juillet 2007.

Ceci est un article.

[Trêve de billevesées, je décampe dans 4 minutes alors ça attendra l'articlation :p
Mais j'ai tapoté un bidule hier je complète et je poste ce soir si tout s'passe bieeeeeeen. Et même mes palpitantes aventures d'Adiboux et Emil à Paris,comme le shampooing, deux en un dis donc dis donc.
Mais hier soir après Grey's Anatomy, plutôt que de raconter ma vie à quatre pélerins j'ai préféré la raconter à) un seul pélerin par la voie emailienne (j'te laisse deviner qui est le pélerin en question :p) d'où le pas d'articlation.]

Tous mes saluts et que le vent te porte mauvais marché.

De krommlech.

Rangé dans

C'est juste pour savoir, en fait.

Dimanche, 17 juin 2007.

Je me demandais si ça coûtait bien cher ou bien bon marché d'appeler sur des portables étrangers depuis le fixe. Pendant 40 minutes, disons.
Parce qu'avant je téléphonais depuis mon portable mais bim ça a coupé alors pas folle l'abeille, j'ai pris le fixe la fois d'après, hahaha.


En fait, c'est une façon détournée de se demander si je vais devoir rembourser beaucoup de sous à popa-moman quand ils recevront la facture du téléphone.


Quand même, c'une bonne façon de passer la soirée, je trouve.

Pas juste de mon côté j'espère, mais une autre fois je penserai à plus parler de chocolat et autres choses alléchantes et inaccessibles oui, oui.


Tu sais quoi mauvais marché ? Peut-être je vais aller en vacances du côté du pays des Belges, quelques jours vers le mois d'août, et même si mes finances trouvent ça pas tellement désopilant, je trouve si.

Même qu'on m'a dit sûrement c'est sûr, et j'attends qu'on me dise parce que c'est pas moi qui sais tout.
Même que j'adhère à l'idée, oui, oui [même si, n'est-ce pas].
[En plus de Paris avec Adiboux, la Bretagne en famille, la Haute-Savoie re-en famille, Annecy avec Hugh, tout à fait]

Aussi j'ai cherché ma chemise de nuit, j'ai mis un tshirt gris puis un tshirt noir, j'ai mangé une glace, j'ai souri, j'ai regardé le calendrier, j'ai cassé le cintre, j'ai téléphoné assise sur la machine à laver, j'ai pas eu le temps de dire salut, plein de fois, j'ai ri, j'ai passé une bonne soirée.
C'est comme Baloo, en fait.

C'est pas comme si je racontais ma vie de samedi soir, mais on croirait presque, non ?



P.S. :
Là en fait l'ordi il fait une sorte de blague, il dit non je mets pas d'image, alors on va faire comme si j'étais obéissante, disons.

De krommlech.

Rangé dans

Du courrier ! Du courrier !

Samedi, 28 avril 2007.

Alors tu sais, quand je me lève le week-end, généralement le facteur est déjà passé depuis le déluge sans pluie, et donc si j'ai du courrier (nan mais ça arrive, j'te jure ! C'est parce que je suis abonnée à trois magazines en fait. Et que la Caisse d'Épargne aime bien me rappeler les choses désagréables, combien d'argent il reste pas sur mon compte, ou tu vois.)
Bref mon popa le pose sur mon bureau.

Et là je me lève gentiment, ça faisait plus de 30 minutes que je faisais rien dans mon lit à part rien faire et caresser mon chat, remarque.

Et donc, si tu percutes le raisonnement logique entre les deux parties, je me lève, je regarde mon bureau, et que vois-je, que vois-je ?
Du courrier !
Et alors, accroche-toi bien, même pas un magazine, ou la mairie, ou je ne sais quelle autre joyeuseté banquière, mais un être humain !
Quelqu'un qui a scribouillé mon adresse sur la lettre, qui l'a postée et tout et tout.
Mais ne nous réjouissons pas trop vite dans les chaumières, parce que ni une ni trois j'ai reconnu l'écriture.
Tu sais, son écriture. Celles des lettres qui arrivaient cet été, des cartes postales envoyées depuis ses escales, des lettres qui n'arrivaient plus. La même écriture que sur la lettre pour mon anniversaire, qui m'a été promise et que je n'ai jamais reçue (bien qu'elle ait été écrite. Elle a fini dans sa poubelle c'est balot hein ?).
La même.

Ça m'a refroidi, du coup. Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie (c'est le cas de le dire tiens).
Alors temps de réaction oblige, je suis allée vaquer à quelques occupations matinales avant de l'ouvrir, j'aime pas le suspens, mais en même temps hein.

"Désolé, je sais pas si tu peux l'accepter mais mes excuses sont sincères."
Point.

Y'a pas le nom de l'expéditeur, ni son adresse. Y'a pas de signature, ni de P.S.
Y'a une phrase en haut de la feuille, et voilà.

Et voilà, au cas où je manquais de questions existentielles à fort potentiel sappage de moralogène, il vient de remédier à ça en quelques mots.
Je n'en manquais pas, mais c'est quand même gentil de sa part d'avoir pensé à occuper mes heures de non-sommeil.

Je voulais te parler du mariage et de mon cours de Canons culturels d'hier, et de la déco de mon blog et d'autres bidules.
Mais du coup j'ai moyennement plus envie là.
Je viens de refaire une boucle sur le vaste sujet "Mon ami Nicolas".
Mais dès que possible je te raconte ça, sutrtout que l'article a été en grande partie écrit hier soir. Dans pas longtemps, j'ai pas l'intention d'utiliser trop de ficelle pour cette boucle.

P.S. : Ce coup-ci j'ai pas l'intention de me lamenter en boucle sur mon sort, quand même.
Y'a pire quoi.

De krommlech.

Rangé dans

Re-expooooo

Jeudi, 19 avril 2007.

 Deuxième partie :
(c'est que c'est de la gymnastique cet exercice ^^)





P.S. : T'obtiendras rien de mieux, les remords ni feront rien, ni même les sournois. :p

De krommlech.

Rangé dans

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast