Parfois la SNCF est mon amie.

Dimanche, 10 février 2008.

Aujourd'hui, tudududuuuuuu, tadaaaaan, et d'autres onomatopées du genre,

c'est le moisiversaire de mon BILLET DE TRAIN.



C'est un joli billet Rosières-Nancy, comme tu vois, unitaire, mais si tu additionnes plusieurs facteurs, du genre :
• Il n'y a pas de bornes de compostage à Rosières (y'a pas de gare non plus, y'a juste une aubette à la rigueur, avec une innovation, ils ont mis un banc !).
• Il n'y a pas tellement de contrôles dans les trains vers 7h le matin, vu qu'ils sont pleins de gens et que quand même c'est tôt, faut dire.
• Je prends le train trois fois par semaine. Oui quand même, ça doit jouer (ils foutent rien en fac d'histoire, quand même (je t'ai entendu le penser)).
En additionnant tous ces facteurs, donc on arrive à la conclusion que je voyage depuis un mois avec un billet censé être utilisé une seule fois (ça compense les retards quotidiens, disons).

Donc voilà, j'ai repris les cours depuis 2 semaines, en tout et pour tout, mes parents ont payé 4.80€ de train (plus 1.50€ de bus, j'avoue) pour que je puisse me déplacer.
En dehors de ça, l'abonnement SNCF  coûte dans les environs 35€ par mois, on peut dire que c'est chouette de prendre le train à Rosières trois fois par semaine à 7h ^^

J'étais sûre que ça te passionnerait à fond.

Et puis de toute façon, aujourd'hui c'était une chouette-chouette journée (je viens d'imaginer deux chouettes empilées l'une au-dessus de l'autre, diantre).
Je veux dire, j'ai entendu personne crier, être triste, déprimer, ou tu vois.
On a même réussi à avoir un fou rire à table (j'avais écrit four rire et là j'y manque pas je visualise le micro-ondes en train de s'esclaffer, et il met la main sur son ventre qui est en fait la porte en se gaussant), personne il a crié (ça tape dans l'exceptionnel dans cette casbah j't'assure) par exemple.

Sauf que j'ai perdu au tarot, mais ça, on y peut rien, quand on a des jeux nuls, on dit pas que c'est de sa faute, on accuse la Fortune (quand dans la fable de Jeannot).

Voilà, joyeux moisiversiare le billet de traaaaaaaaaaain.

Sinon, j'ai fait un nouvel habillage avec les Bisounours (le correcteur d'orthographe il connaît pas Bisounours il voulait mettre "boursouflais" à la place, il est pas poète, lui).

De krommlech.

Rangé dans Des -versaires.

La pensée du soir.

Samedi, 9 février 2008.

En fait une minerve, c'est un soutien-gorge.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

Et le soleil brille, aussi.

Samedi, 9 février 2008.



Je me suis dit ça parce que sur des blogs j'arrête pas de voir lalalaaa c'est le printemps les couples sortent la Saint-Valentin approche (ces remarques sont souvent suivies d'un pouark parce que c'est des gens célibataires qui écrivent, sinon ça va pas).

En vrai on est en hiver, m'enfin.


Maintenant j'ai un correcteur d'orthographe même sur Mozilla (le dictionnaire de Mozilla il connaît même pas le mot "Mozilla", qu'est-ce que le point, point d'interrogation), il est apparu comme par magie, si c'est pas magnifique ça quand même.


Jeudi j'avais des choses à tapoter par ici mais j'ai fait autre chose et maintenant j'ai plus rien à dire, c'est balot (point du tout).

Bien.

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Point info.

Vendredi, 8 février 2008.

Pour comprendre pourquoi les trains de la SNCF ne sont jamais à l'heure, en vrai il suffit de regarder les différentes heures affichées sur les différentes bornes de compostage d'une gare.
Et puis là, la lumière est.


De krommlech.

Rangé dans Pas douétitude innée.

Une leçon de romantisme.

Mardi, 5 février 2008.

Dimanche j'ai été témoine (je voulais pas écrire témoin même si mon cerveau me dit que ça doit être le vrai mot mais j'ai lu "t'es moine ?" et hop mon cerveau part dans son délire sur l'ordre cistercien, ou tu vois) j'ai été témoine, disais-je, d'un acte de romantisme trop, trop quoi.
J'étais juste la témoine et pas l'actrice, la réceptrice, ou je ne sais quoi, alors que j'étais avec jeune homme mon fiancé, haha, c'balot (il a mis le nez dans un truc de galanterie, ce week-end, on s'interrogeait sur où devraient être l'homme et la femme l'un par rapport à l'autre dans les escaliers en montant et en descendant, bref).

La scène du crime se passe au Caméo (le cinéma de la VO (c'est une rime de dingue, je sais, elle est pas de moi mais du caméo lui-même (mais pas le bâtiment, cela va sans dire))). On était allés jeune homme la pomme de pin et imou voir Sweeney Todd, et donc on était dans la salle David Lynch (ça a strictement aucune importance sauf si tu maîtrises la disposition des salles du Caméo et là tu sais que dans la salle David Lynch ce sont des sièges avec un dossier pas très haut et donc tu vois ton voisin de devant (j'ai une passion pour les parenthèses aujourd'hui, hein ?)).
Donc on était dans la salle en train d'attendre le début de la séance et un groupe de jeunes rebelles (n'importe quel être humain disons adolescent est considéré comme un jeune rebelle par jeune homme mon fiancé, c'est la vieillesse qui appuie sur ses épaules) est venu se placer sur les 4 sièges devant nous (ils étaient 4, donc).
En fait les quatre, y'en avait deux avec des Y et deux qui avaient juste des X, et ils étaient acoquinés deux par deux.
Soit, un garçon, une fille, un garçon, une fille.

Là tu sors ton joli appareil photo et hop tu fais un zoom sur le couple de droite (par rapport à nous qui étions derrière, pas par rapport à l'écran qui ne parle pas, on est d'accord).

T'inquiète le moment de romantisme arrive rapidement (faut dire il était pressé ou que sais-je le jeune homme).

Bon, tu vois bien le couple, la fille à droite, le garçon à gauche, Emil tout pile derrière le garçon et Nicolas à ma gauche (j'aime bien être précise des fois (mais pas toujours (c'pourquoi j'ai dit "des fois"))).

C'est alors qu'après avoir retiré les multiples couches de vêtements qui les recouvraient (ils se sont pas mis tous nus, hein, ils ont juste retirés leurs manteaux, sois pas étrange), le jeune homme que nous observons pivota quelque peu vers la droite, posa délicatement sa main à l'arrière du crâne de sa copine.
Non je plaisante, il a fait ça aussi délicatement que dans les représentations des hommes préhistoriques qui traînent délicatement leur femme par les cheveux à travers le milieu de nulle part.
Bref, il a posé énergiquement sa main à l'arrière du crâne de sa copine, l'a faite pivoter vers la gauche, et là, la pauvre jeune fille, prise de stupeur de voir un nez en si gros plan, je présume, à ouvert une graaaaaande bouche, et le jeune homme a ainsi profité de l'occasion pour ranger à l'intérieur de l'orifice découvert sa langue.
Ensuite (j'imagine, mais je suis pas allée vérifier, j'avoue), il a tourné bien méthodiquement ledit muscle dans la bouche voisine, pendant une période allant de trente à quarante minutes (au bout d'un moment j'ai arrêté de chronométrer) puis à repris un mode de vie normal.

Afin que les deux personnes derrière lui puisse prendre des cours (pourquoi on dit roulage de pelle alors que jusqu'à preuve du contraire une langue à rien à voir avec une pelle, point d'interrogation (une pelle c'est pas gluant sauf quand on vient d'éclater un loir avec)), il a réitéré l'expérience à plusieurs reprises.

On était absolument charmés de tant d'attention, penser à nous comme ça en nous faisant une démo gratis, c'pas donné à tout le monde, il faut l'avouer, mais après finalement, voir des gens se faire égorger et du sang gicler, ça a moins d'impact.
Suffit d'avoir un élément de comparaison.

P.S. : Sinon j'ai pas compris pourquoi plein de gens subitement parlent de mon nouvel habillage, qui soit dit en passant est pas le nouveau, j'en ai fait un autre depuis, et est sur mon blog depuis plusieurs semaines. Mais je compte bien éclaircir ce mystère.

De krommlech.

Rangé dans Pas douétitude innée.



Des fois ils essayent même pas de s'éborgner et tout, comme quoi.

De krommlech.

Rangé dans Photo-photo.

Succinct, un peu, mais pas trop.

Dimanche, 3 février 2008.

Il faudrait dire à mon popa de ne pas regarder par la fenêtre le devant de la maison des dalmatiens de la montagne quand la vitre de l'Opel Corsa est baissée et que c'est pas marrant. Quand elle est sur la route et que le conducteur fait des saluts avant d'aller sur l'autoroute (où en France c'est nul elles ont que deux voies et elles sont pas toujours éclairées, diantre), non plus.

Il faudrait dire à l'appareil photo de pas prendre de photo quand je m'y attends pas sinon je meure (pas de trépas, juste de peur) en voyant le résultat, et aussi de pas se trouver sur le matelas pile poil poule à l'endroit où mon crâne a envie de s'installer sinon je souffre de douleur.

Sinon, aujourd'hui c'est mon moisiversaire, HAHA.

SNSN (ça veut dire Super-Nounou-Super-Noël, j'étais pleine d'imagination à sept ans) après avoir vécu 12 ans et quelques dans ma chambre sans tomber amoureux d'aucune autre peluche et avoir dormi des fois dans mes bras mais pas toujours, il entreprend un périple vers un pays nordique. Enfin, la Belgique, je veux dire.
Il va visiter un peu du pays, trois en une soirée même, sauf qu'il est dans un sac alors il voit pas grand chose mais de toute façon la voiture ça donne envie de dormir.

Des fois on a de la chance quand la conjoncture est chouette, du genre si on était rentrés à la maison on aurait du garder Noyémie mais comme le trèfle nous en a dit de faire un tour chez mère-grand, bah ça a attiré la petite famille dans la place et quand on est rentrés y'avait un peu la maison (le canapéééé, la salle de baaaaains, tout ça) pour nous tous seuls.

Hier j'ai fait une rencontre avec la savane africaine, c'était assez (haha) charmant. Ou tout à fait charmant et même plus que, d'ailleurs.
Ensuite (aucun rapport) ce matin j'ai vu un bébé orang-outan et d'autres bébés animaux donc je suis partie en mode "ohhh comme il est mignooooon" mais après c'était l'heure de me laver les cheveux alors c'est tout.

On peut dire que ça résume le week-end et même que si je suis absente de MSN et tout c'est pour cause d'amoureux, et aussi de rentrer tard de cours et de regarder la télé et lire plutôt que de passer la soirée sur l'ordi.

Ha oui, j'ai appris que Johanne elle part vivre au pays des voyelles à profusion dans trois mois, et je me demande ce qu'est le point, point d'interrogation.

Pour conclure,
tout ça.
Pareil.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

C'est aujourd'hui-même.

Samedi, 2 février 2008.

On est le deux février et dans la chambre du sous-sol de la maison des dalmatiens de la montagne, y'a des gens qui dorment et des gens qui tapotent des articles. Si on additionne tous ces gens ça fait juste deux. Y'en a qui sont malades et y'en a d'autres qui sont juste un peu fatigués mais qui ont encore quelques jours de week-end pour récupérer.
La neige n'est pas marrant elle empêche les gens de venir en trois heures et quand mon décompte s'est arrêté hier pour de vrai j'ai attendu encore deux heures. Et pour conclure elle ne tient même pas cette neige, ça a juste mis un peu de blanc sur le vert de la pelouse, et maintenant la pelouse elle a plus l'air mouillée que blanche.

Voilà, c'est comme ça que débute l'après-midi le deux février, avec l'encre qui sèche pas sur le papier photo et Emil qui se frotte l'oeil.
Et puis le cinéma ça reporte à demain et puis aujurd'hui, ça s'annonce comme un deux août, ne pas sortir de la chambre un point c'est tout.
On a de la boisson de la nourriture des téléphones une télé des DVD un ordinateur internet une couette des peluches de la lumière l'autre personne, ça suffit pour aujourd'hui, dehors il fait froid.

Nicolas dort, je fais pas de bruit.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

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