L'autre fois je t'avais parlé du courrier des lecteurs de Femina, qui est une perle (bon c'était y'a plus de six mois, mais remémore).
C'était une fille trop gourde/cruche (t'as remarqué que les récipients c'est des insultes ? (mais pas gobelet)). Enfin si tu veux rigoler, va lire le courrier dans mon article, je vais pas tout te raconter encore une fois. J'ai autre chose sous le coude.
Ben là, enfin la semaine d'avant, c'était pas la fille qui était cruche, mais la réponse ! J'te jure, à pleurer.
Voilà comme ça si jamais tu as un doute un jour sur ta vie et tout le tremblement, bah c'est bien aisé, tu écris pas à Femina (note que je doute que ça te traverses l'esprit un jour, mais il faut poallier à toutes les éventualités). Parce que leurs réponses, au mieux, elles t'enfoncent quoi.
Et donc, exemple ! Tu vas voir c'est gratiné. Et puis bon, je mets pas de commentaire, ça se suffit à soi-même, ce genre de trucs.
"J’ai 13 ans, je suis en 4e. Mon problème est que je n’ai aucune repartie. Je ne sais pas quoi faire quand on m’insulte. J’ai déjà essayé de les insulter en retour, mais cela ne marche absolument pas. J’ai tenté aussi de les ignorer, mais cela n’est pas efficace non plus. Je ne supporte plus d’être humiliée ainsi. Que dois-je faire ?"
Donc voici ce que le psy de Femina conseille à cette pauvre enfant :
"Vous avez bien raison de ne pas accepter les propos blessants des autres collégiens. La bonne attitude pour vous défendre efficacement est de faire face à vos "agresseurs", de les mettre devant leurs propos en leur demandant tout simplement pourquoi ils vous disent cela.
Des questions du genre : « Pourquoi me traites-tu de… ? » ou bien : « C’est bien ce mot-là que tu as employé, pourquoi une telle insulte? ». Exprimez-vous calmement, sans vous énerver."
(Après y'a encore un paragraphe mais il est moins rigolo.)
Sans rigolade ni esclaffe ! Ils veulent que la fille elle se fasse taper dessus en plus de se faire insulter ou bien non ?
C'était une fille trop gourde/cruche (t'as remarqué que les récipients c'est des insultes ? (mais pas gobelet)). Enfin si tu veux rigoler, va lire le courrier dans mon article, je vais pas tout te raconter encore une fois. J'ai autre chose sous le coude.
Ben là, enfin la semaine d'avant, c'était pas la fille qui était cruche, mais la réponse ! J'te jure, à pleurer.
Voilà comme ça si jamais tu as un doute un jour sur ta vie et tout le tremblement, bah c'est bien aisé, tu écris pas à Femina (note que je doute que ça te traverses l'esprit un jour, mais il faut poallier à toutes les éventualités). Parce que leurs réponses, au mieux, elles t'enfoncent quoi.
Et donc, exemple ! Tu vas voir c'est gratiné. Et puis bon, je mets pas de commentaire, ça se suffit à soi-même, ce genre de trucs.
"J’ai 13 ans, je suis en 4e. Mon problème est que je n’ai aucune repartie. Je ne sais pas quoi faire quand on m’insulte. J’ai déjà essayé de les insulter en retour, mais cela ne marche absolument pas. J’ai tenté aussi de les ignorer, mais cela n’est pas efficace non plus. Je ne supporte plus d’être humiliée ainsi. Que dois-je faire ?"
Donc voici ce que le psy de Femina conseille à cette pauvre enfant :
"Vous avez bien raison de ne pas accepter les propos blessants des autres collégiens. La bonne attitude pour vous défendre efficacement est de faire face à vos "agresseurs", de les mettre devant leurs propos en leur demandant tout simplement pourquoi ils vous disent cela.
Des questions du genre : « Pourquoi me traites-tu de… ? » ou bien : « C’est bien ce mot-là que tu as employé, pourquoi une telle insulte? ». Exprimez-vous calmement, sans vous énerver."
(Après y'a encore un paragraphe mais il est moins rigolo.)
Sans rigolade ni esclaffe ! Ils veulent que la fille elle se fasse taper dessus en plus de se faire insulter ou bien non ?
Cette psy n'a visiblement pas la même définition du mot "défense" que moi....