Et j'ai saperlipopetté...

Jeudi, 12 juin 2008.

J'étais sagement en train de réviser la philosophie avec assiduité, en élève modèle que je suis, quand j'ai soudain eu envie de saperlipopetter. oui à 17h19. Pour le 493e article de Krom' (le lien, c'est pour le cas ou tu te perds, on sait jamais). Bientôt 500 article me dis-je, c'est une névrosée de l'articlation Emil'! heureusement d'ailleurs! Car que serait une bonne journée sans l'esclaffement quotidien que me provoque la prose d'Emil' !
Oui au fait pour revenir sur les révisions, j'ai menti, à moins que lire une page de Le bac philosophie pour les nuls aux toilettes en guise de divertissement pendant que je fais pipi, ça ne s'appelle réviser. Tiens d'ailleurs, ça me rappelle une fois quand j'étais petite (bon d'accord je triche, j'avais 14 ans), et bien une fois, j'ai lu le tome 2 de Harry Potter d'une traite pendant que j'étais aux toilettes! Oui, oui, intégralement! Bon j'avais fini ma petite commission depuis fort longtemps (C'qui est bien là c'est que je ne suis pas du tout refroidissante, ni tue-l'amour d'ailleurs), bien évidemment. Mais le fait est que je ne supporte pas d'aller aux toilettes sans lecture. Au pire des cas, je lis l'étiquette du produit WC qu'il y a sous mon nez.
Bon promis plus de bizarrerie. Enfin presque.
En fait, plutôt de raconter un seul souvenir d'enfance looong et bourré de figures de styles en grande poétesse que je suis (C'qui est bien c'est que j'ai pas non plus les chevilles enflées) , j'ai pensé faire un florilège de micro-souvenirs d'enfance, plein de "pas-douéitude", comme dirait Emil', et plein de burlesque aussi.

- Le premier souvenir , c'en est pas vraiment un, on me l'a raconté, mais il fait encore tellement rire dans les repas de famille qu'il fallait que je le raconte. C'était au baptême de ma cousin Julie. On avait deux ans toutes les deux. La cérémonie devait visiblement me barber puisque j'ai dit soudain à ma cousine "Viens Julie, on va danser la lambada!" et à ce qu'on m'a dit, il y avait un espèce de rideau, derrière lequel on a dansé, en grandes stars pudiques que nous étions. On était déjà "in" à l'époque, puisque c'était la grande mode de la lambada. Tu sais la chanson avec les Brésiliens dedans qui joue de l'espèce d'accordéon. Et donc on se tortillait de la fesse, quand l'un de nos oncles s'étant aperçu de nos talents de graines de star en herbe, a disparu derrière le rideau. On a soudain entendu "Clac! Clac"! [onomatopées!] Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiin!!!!!!!!!!!! [en choeur]" résonner dans toute l'église. Pour les ramollis du cerveau, en fait l'oncle Jean-Pierre nous a donné une fessée à chacune et nous avons chialé. Ce qui est sûr c'est que l'assemblée a pu largement profiter de nos talents vocaux.





- Un jour quand j'avais trois ans, j'ai voulu jouer les grandes-responsables-et-tout, en m'enfermant dans les toilettes (oui je sais encore les toilettes désolée, c'est la dernière fois) , style attention-je-suis-une-grande-fille-maintenant-donc-je-peux-verrouiller-la-porte . Mais une fois fini ce que j'avais à faire, quand j'ai actionné la poignée pour sortir, la porte n'a pas voulu s'ouvrir, la traitresse! Ah c'est bien de jouer les malines, quand on est pas assez intelligente pour savoir qu'on a juste à tourner le verrou dans l'autre sens pour qu'elle s'ouvre! On est assez grande pour tourner le verrou dans un sens mais pas dans l'autre! Le pire c'est que j'ai même pas essayé! J'ai préféré hurler à la mort comme un veau ensorcelé! Et puis après super-Papa m'a délivrée en enfonçant la porte avec un tronc d'arbre. Je ne me souviens plus comment ça s'est passé exactement, mais je revisualise la porte enfin ouverte avec mon Papa dans l'encadrement de la porte, avec un gros tronc dans la main, et un marcel vert!

- J'avais 4 ans, et j'étais déjà très absorbée par la gente masculine. depuis la première section de maternelle, j'avais un amoureux-je-t'aime-moi-non-plus qui s'appelait Jérémy, et on s'est je-t'aime-moi-non-plusés pendant les trois sections de maternelle. Mais quand ce monsieur avait ses humeurs viriles et préférait faire rouler des pneus de voiture dans la cour avec ses copains (oui parce qu'il y avait des pneus de voiture pour jouer dans notre cour de récré, merci l'éducation nationale ) plutôt que de me faire des bisous ("Haaaaaaan! les Zamoureeeeux!") , j'allais voir ailleurs. Et j'achetais les hommes en plus! J'étais déjà une désespérée sentimentale à l'époque, si c'est pas honteux! En fait je disais aux garçons : "Si je te donne un chewing-gum, tu veux bien être mon namoureux? " Et ils disaient tous oui!

- J'avais toujours 4 ans. Pour plaire à Jérémy (parce que quand même c'était lui le number one), Je portais à la maternelle ma plus belle collection de bijoux en plastique rose pétant que j'avais gagné à la fête forraine. Parce qu'en petite séductrice en herbe que j'étais, je croyais vraiment que c'était ça qui attirait les hommes. Oui oui, je sais ce que vous pensez. J'étais déjà tellement perspicace à l'époque, que je méritais ma chroniques dans les magazines féminins!

- J'avais encore 4 ans (décidément c'était l'âge maudit) . Je croyais que une fois devenu grand, on pouvait changer de prénom. Alors j'avais décidé de m'appeler Patrice. D'accord je regardais les Tortues Ninja et les Power Rangers plutôt que Sailor Moon, mais ne vous faites pas d'idées heiin!


En fait c'est pas si micro que ça les souvenirs, alors je m'arrête là parce qu'en plus je m'affiche trop. Vous pouvez me caillasser à présent, je file me cacher :$




De krommlech.

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Pour pas que tu oublies vautour!!

Dimanche, 30 septembre 2007.



Oui parce que elle ne nous le dit pas, mais quelques fois, elle efface les articles sans les poster, pour notre plus grand malheur.

De krommlech.

Rangé dans Saperlipopette.

Un conte, en passant.

Dimanche, 16 septembre 2007.

Il y a quelques années j'ai entendu une histoire, l'histoire de trois frères.
Je me suis dit qu'il serait fort égoïste de ne point vous la faire partager.
Ainsi allait l'histoire que l'on m'a contée.


Il y a fort longtemps dans un loin pays d'orient, un roi avait 3 fils. Ces 3 enfants ne s'entendaient point et ne passaient leur temps qu'à se disputer ; souvent le palais était le terrain de leurs disputes.
Chacun avait une aptitude particulière.
Le plus âgé était fort et musclé, il se servait de ses poings comme de 2 massues et ses 2 frères étaient souvent couverts de bleus.
Le second était le plus intelligent, il se jouait de la force de son aîné en lui tendant des pièges dans le palais et préférait éviter les risques que de tenter de défier la force de son frère.
Le cadet quant à lui n'avait pas son pareil à l'arc. Il pouvait couper un cheveu en 2 à 30 pas et au corps à corps avec son arc il pouvait sans problème défier l'aîné des 3.

Un matin, leur père, las de leurs disputes, les convoqua dans sa chambre. « Mes enfants, leur dit-il, je me fais vieux et il est temps pour moi de choisir celui d'entre vous qui me succédera. Â»
Aussitôt chacun se mit à vanter ses mérites afin de montrer qu'il était le plus apte à prendre la relève de leur père, mais il mit rapidement fin à leur débats.
« Mes fils, je ne peux choisir entre vous, vous êtes tous capables de me succéder.
J'ai donc imaginé une épreuve qui pourra vous départager. Que chacun parte aussi loin qu'il le peut, explorer des territoires inconnus, et qu'il m'en rapporte l'objet le plus extraordinaire qu'il y trouvera. C'est à cet objet que je jugerai celui qui me succèdera à la tête de notre pays.
Vous avez un an pour accomplir cette tâche Â»

Le lendemain, ils partirent ensemble après avoir reçu la bénédiction de leur père.
Après 5 jours de voyage, ils arrivèrent à une auberge ; Â« Retrouvons-nous ici dans un an, dit l'aîné, et nous retournerons ensemble voir notre père. Â» Ils approuvèrent et après s'être souhaité bonne chance, ils partirent chacun de leur côté.

Le cadet ne tarda pas à arriver dans un monastère loin en haut d'une montagne que la neige ne dégageait qu'aux plus chaudes journées d'été.
Là il demanda à rencontrer le prêtre dirigeant le monastère et lui expliqua son but.
« Tu tombes bien, lui répondit ce dernier après un instant de réflexion, nous avons ici dans ce monastère un trésor immense.
- Et comment me serait-il possible de l'obtenir ? demanda le fils
- Ho cela n'est pas dur, il faudra que tu fasses preuve d'une grande habileté et d'un grand courage. Prends ton arc et suis-moi. Â»
Et il l'emmena dans une petite pièce adjacente où il lui présenta leur trésor.
« Cette pomme en or est capable de guérir tous les maux de cette terre. Fais-en manger à quelqu'un de malade et aussitôt sa maladie disparaîtra dans l'oubli.
- Incroyable ! Repartit le fils. Et que dois-je faire pour l'obtenir ?
- Ho c'est simple, tu devras transpercer cette autre pomme d'une de tes flèches.
- Rien de plus simple !
- Tu auras les yeux bandés.
- Là non plus, point de difficulté.
- Très bien, dans ce cas procédons à l'épreuve. Â»
C'est alors qu'un enfant entra et posa la pomme sur son front.
« Mais que fait cet enfant ? demanda le fils.
- Il fait partie de l'épreuve, il gardera la pomme sur son front pendant l'épreuve.
- Mais je pourrais le blesser.
- Cela fait partie de l'épreuve, allons, es-tu prêt ? Â»
Les moines approchèrent et posèrent le bandeau sur les yeux du cadet des 3 frères.
Il banda son arc et visa.

Mais il ne lâcha pas son trait, il remit sa flèche dans son carquois et quitta la pièce.
Le rattrapant dans la pièce suivant, le père supérieur lui demanda : Â« Pourquoi as-tu retenu ton tir ?
- Je ne pouvais me résoudre à décocher ma flèche aux risques de blesser cet enfant.
- Pourtant cela t'aurait apporté ce trésor.
- En effet, mais rien ne vaut la vie d'un enfant, pas même ce trésor. Â»
Le prêtre le regarda pendant quelques instants, le jugeant sûrement, avant de reprendre :
« Je te félicite mon garçon, tu as réussi l'épreuve. Voici ton bien, la pomme d'or. Mais fais-en bon usage surtout.
- J'y veillerai, soyez-en sûr. Â»

Et il s'en alla retrouver ses frères.

Le second des frères quant à lui eut beaucoup plus facile. Se servant de son intelligence, il n'oublia pas qu'il existait dans l'ouest, au bord du grand océan, une ville, si grande qu'on avait, paraît-il, pas assez d'une semaine pour en faire le tour.
« Si je dois trouver une merveille, ce sera là Â» et il s'en alla, talonnant son cheval, vers cette ville mystérieuse.
Arrivé là, il se trouva devant un grand dilemme : où chercher le trésor tant désiré ?
Il erra, pendant un mois, dans tous les étals de la ville, ne cessant de chercher ce qui saurait satisfaire son père.
« Il me semble t'avoir déjà vu devant mon étal Â»  lui dit un jour un des vendeurs. Il était petit et vieux mais son étal recelait des biens parmi les plus extraordinaires de la ville, mais aucun qui ne pourrait satisfaire le roi.
« En effet, lui répondit-il, mon père nous a envoyés moi et mes frères afin de trouver dans le monde les trésors les plus formidables pour déterminer celui d'entre nous qui lui succédera.
- Mais il fallait commencer par cela mon cher ami. J'ai ici quelque chose qui pourrait te satisfaire. » Et il lui montra une longue vue des plus banales, en cuivre mat et mal propre.
« Que veux-tu que je fasse de cela ? je ne suis point marin et je ne compte pas m'aventurer en mer. De plus, je peux obtenir de tels objets et bien plus beaux au palais.
- Ho mais détrompe-toi mon ami. Cette merveille peut te montrer des choses. Des choses qui sont bien plus loin que ce que peut montrer une longue vue classique. Il te suffit pour cela de le souhaiter.
- Si tu le dis vieil homme. » Et il tenta d'utiliser l'objet. Il souhaita voir son père et il regarda dans l'œilleton. Il le vit, dans son palais, en train de gérer les affaires du royaume.
« Incroyable ! Dis moi ce que coûte cet objet et je te l'achète de suite. »

Et c'est ainsi que le second frère repartit avec ce trésor vers le lieu de rendez-vous avec ses frères.

L'aîné quant à lui, était parti vers une ville cachée, connue de seuls quelques initiés. Elle est perdue dans les sables du désert, au fond d'une profonde crevasse et accessible uniquement par des voyageurs à pied. Dès leur séparation, il s'était rendu là en espérant y trouver un trésor capable de satisfaire son père.
Il entra dans la ville et fut immédiatement abordé par un vieil homme désirant vendre ses tapis.
« C'est inutile vieil homme, je ne désire pas de tapis, je suis à la recherche de quelque chose de bien plus précieux.
- Ha oui ? Voyez-vous cela… Et je suis sûr que je pourrais t'aider, suis-moi. » Et il l'emmena dans une petite boutique miteuse située au plus profond de la ville. Là il lui montra un tapis, il était somptueusement décoré et brodé d'or.
« Un tapis ? Oui il est vrai qu'il est beau mais j'en ai de bien plus beaux au palais.
- Ho mais des comme ça, tu n'en possède aucun, ceci mon ami est un tapis volant !
- Allons bon, à d'autres, tu ne m'auras pas comme cela.
- Dans ce cas, je vais te le prouver… Â»
Mais il n'en eut pas le temps. Dans un grand fracas, une pierre traversa la fenêtre et répandit sur eux une pluie d'éclats de verre.
« Sors de là brigand ! Â» cria une voix depuis la ruelle.
Glissant un regard dehors, l'aîné des frères aperçu 3 canailles, musclées et armées de lames aussi longue que leur bras.
« Ce sont des clients mécontents, lui dit le marchant, aide-moi et je te récompenserai.
- Je veux ce tapis en échange de mon aide.
- Ce tapis ? Mais il vaut une fortune !
- Ne vaut-il pas ta vie ? »
Après un instant de réflexion le marchand reprit : « Très bien, tu as gagné, aide-moi à fuir d'ici et je te donnerai ce tapis. Â»
Ainsi motivé, le prince sortit affronter les 3 malotrus qui menaçaient le marchand. Est-il nécessaire de préciser qu'il n'eut aucune difficulté à se débarrasser d'eux ? Je ne pense pas.

Devant tenir sa parole le marchand lui apprit alors qu'il suffisait de demander au tapis de se rendre à un endroit pour qu'il nous y amène.
Décidant alors de l'utiliser pour rattraper son retard, il lui demanda de l'emmener à l'auberge où lui et ses frères devaient se retrouver.

C'est ainsi que, le lendemain, les 3 frères se retrouvèrent, un an après avoir quitté leur palais natal.
Ils se narrèrent alors leurs aventures et chacun voulu tester le trésor de l'autre.
C'est ainsi que l'aîné demanda à la longue vue de son jeune frère de lui montrer leur père abandonné depuis si longtemps. Mais bien triste fut la chose qu'il vit alors.
« C'est horrible, notre père est terriblement malade ! Il ne lui reste plus longtemps à vivre et nous ne sommes pas à ses côtés. »
Le plus malin reprit alors : « Mais alors, utilisons ton tapis pour lui porter cette pomme et nous pourrons le sauver ! Â»
Ils s'envolèrent alors vers le palais où ils purent sauver leur père qui, une fois guéri, les convoqua à nouveau.
« Mes fils, j'ai remarqué que vous vous êtes surpassés pour me ramener des trésors formidables, tous plus extraordinaires les uns que les autres.
Néanmoins, je ne puis choisir parmi vous lequel pourrait me succéder.
-Mon père, reprit le plus âgé, nous avons compris que nous étions complémentaires, si vous devez choisir un successeur, choisissez-nous tous les 3 ainsi nous pourrons gérer le royaume Â»

Et il fit ainsi. Le royaume fut dirigé par les 3 frères qui avaient compris que séparés ils n'étaient rien mais que soudés, ils étaient aptes à affronter la plus violente des tempêtes sans ciller.


[par Nicolas, au fait]

[Des illustrations et couleurs  à ajouter ?]

De krommlech.

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La genèse de Ciboulette

Jeudi, 6 septembre 2007.

Nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur la jeunesse et sur ce que fut la célèbre herboriste avant son arrivée remarquée au château un jour de tempête lors de cet hiver si violent que rares sont ceux qui ont pu y survivre pour s'en souvenir. En effet, ce jour là, elle arriva sous la neige, habillée uniquement d'une toge simple et légère comme celles que l'on porte lors d'une chaude journée d'été ; cela fut sans doute le point qui marqua tous les esprits lors de son arrivée : une femme ravissante qui semblait ne pas craindre le  froid,  une femme timide et réservée qui ne cherchait qu'à rendre service à ceux qui en avaient besoin (et nous le savons tous, nombreux étaient ceux qui avaient besoin de ses services en cette période). Mais qui est-elle se demandaient-ils, d'où vient-elle ?

C'est ce que je vais vous narrer ici. Je dois admettre que je suis un privilégié car nombreux sont ceux qui ont tenté avant moi de percer son secret, et tout aussi nombreux sont ceux qui ont échoué. Les recherche au sujet de Ciboulette ne sont pas faciles, notamment à cause de la réaction du roi, qui, une fois qu'elle l'eut trahi et eut fui, brûla tous les écrits relatant ses exploits, toutes ses recettes, tous ses mémoires, absolument tout…ou presque. Les souverains souvent ignorent les détails cachés de leur royaume, souvent ils ignorent que nombre de leurs sujets ont caché des écrits dans la peur que sa réaction soit ce qu'elle fut. C'est ainsi que grâce à nombre de « services Â» rendus, et aussi grâce à la petite fortune que mes parents m'avaient léguée,  j'ai pu patiemment réunir les écrits me permettant de retracer une grande partie de la jeunesse de cet être exceptionnel que fut Ciboulette l'herboriste.


Dans sa jeunesse, Ciboulette commença comme toutes les jeunes filles de bonne famille à vivre chez ses parents qui comptaient la marier à un homme bien placé de la région afin qu'elle sache, comme tous les enfants, subvenir aux besoins de ses parents dans leurs vieux jours. Mais cela ne suffit pas à Ciboulette…vers ses 17ans, elle commença à être attirée par la vie extérieure, elle ne pouvait se contenter de sa petite bourgade natale et voulait découvrir des horizons nouveaux et pour cela elle ne trouva qu'un moyen. Elle capturait des oiseaux, connus pour les grandes distances qu'ils parcourent  à chaque changement de saison et leur accrochait des messages aux pattes. Elle ne savait pas si quelqu'un trouverait un jour un de ses messages, mais elle gardait bon espoir.  Ses parents, ne voulant pas troubler sa jeunesse, la laissait faire. Puis vinrent les réponses, parfois par le même oiseau, parfois par messager. Elle se tissa ainsi une vraie toile d'araignée qui s'étendait au-delà des frontières, au-delà des océans et au-delà des guerres (cela n'est en fait que les prémisses du réseau de fournisseur qu'elle utilisera plus tard pour lui fournir toutes les herbes dont elle a besoin dans ses préparations, il s'agit là d'un de ses secrets les mieux gardés).



Puis un jour, elle tomba sur quelqu'un de différent, il n'était pas de son pays, il était marin. Peut-être même un jour deviendrait-il ennemi de son état, mais cela, elle s'en souciait peu car il lui plaisait et cela lui suffisait. Cet homme lui proposa une chose toute simple, venir le voir dans son pays natal afin qu'ils fassent connaissance et qu'elle voit autre chose que son village natal, elle accepta sans hésiter. C'est ainsi qu'elle partit, seule en pays inconnu, à la rencontre de cet inconnu qui lui proposait de découvrir des horizons nouveaux.


Et elle y prit gout. Je peux ici affirmer sans trop de doute que si cet homme ne l'avait pas invitée, jamais elle ne serait devenue ce qu'elle fut. En effet, sans lui elle n'aurait pas prit gout à la nature, aux choses simples de la vie ; sans lui, jamais elle n'aurait eu envie de recommencer à voyager et ainsi jamais elle n'aurait pu découvrir sa vocation.


En effet, l'année suivant leur rencontre, il lui proposa un nouveau voyage, plus long et dans son propre pays cette fois-ci. Bien entendu elle accepta à nouveau avec empressement. Et ils partirent pendant une lune à 2 chevauchant à travers la campagne jusqu'à des endroits inconnus de tous que seul leur amour pouvait les pousser à trouver. C'est durant ce voyage qu'elle se rendit compte qu'elle comprenait l'essence même de chaque plante. Elle se rendit compte qu'elle pouvait sans problème choisir les plantes qui, une fois mélangées, fourniraient une potion contre la fatigue ou au contraire en changeant une plante, une potion pour favoriser le sommeil.


C'est alors qu'à son retour elle chercha les personnes les mieux placées pour lui apprendre ce métier qu'elle désirait plus que tout pouvoir pratiquer, l'herborisme. C'est ainsi qu'elle parcouru à nouveau les régions de son pays à la recherche de ces praticiens bien peu reconnus et si peu appréciés sans jamais cesser de penser a son être aimé qu'elle savait retrouver une fois sa formation terminée.


Cette formation elle l'acheva au château royal. Comme le veut la tradition, son dernier maitre devait choisir pour elle un endroit où elle exercerait sa profession jusqu'à ce qu'elle sente qu'elle avait abouti sa formation. Et ce maitre choisit le château royal. Il savait bien qu'en cette période de difficultés intenses pour le pays, seule une personne avec une aussi forte personnalité que Ciboulette pourrait aider le roi et ses ministres à remonter la pente, uniquement par sa présence. Et il ne se trompait pas le vieil ermite, peu de temps après son arrivée, la vie du château avait reprit sa vivacité et son efficacité, jamais le royaume n'avait connu telle opulence, et bien entendu personne ne se doutait de la personne qu'il fallait remercier.



Mais Ciboulette n'était pas heureuse, son cÅ“ur tendait toujours vers le pays voisin, celui où l'élu de son cÅ“ur travaillait si dur pour une seule chose : permettre à sa bien aimée d'avoir une vie confortable une fois qu'elle le rejoindrait.


Ce qu'elle fit peu de temps après. Voyant que son rôle était terminé elle voulut partir mais eut le malheur d'en informer son roi. Ce dernier, si avide et cupide, ne désirait pas laisser partir la source de son succès, aussi l'enferma-t-il dans sa tour. Mais Ciboulette ne se laissa pas faire ! Jamais il ne faut négliger l'importance des amis qui peuvent aider quelqu'un. C'est donc grâce à l'aide de son apprenti mais aussi de ses amis les plus proches du château (et aussi grâce à quelques poudres bien utiles pour endormir les gardes) qu'elle se faufila un soir hors du château pour se dépêcher de filer là où son cÅ“ur la guidait depuis toujours.

 


C'est ainsi que se finit l'histoire de la jeunesse de Ciboulette, mais chuuuut cela doit rester entre nous…


De krommlech.

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Ciboulette, la suite

Mardi, 28 août 2007.

"[Et ben j'ai pas de bol...] Enfin il y a des jours à pas de chance, et d'autre avec. Comme par exemple [celui] où je reçus dans toute sa modernité le papyrus envoyé par Ciboulette. L'herboriste du château n'avait même pas voulu me cacher qui elle était malgré le fait qu'elle m'écrivait sous pseudonyme. La pistache bleue, sans doute une de ses trouvailles.

À l'ouverture du parchemin je fus de suite assailli par les odeurs épicées qui émanaient de cette encre à base de sève végétale que seule elle est capable de créer. Je me mis alors frénétiquement à lire ces quelques lignes. Je dus m'y reprendre à quelques reprises pour accepter l'inévitable, son ire était sur moi. Néanmoins elle me donna son autorisation afin que je lui envoie une missive en retour.

Bien du temps j'hésitais sur les termes à employer ! C'est que lorsqu'il s'agit de l'humeur d'une femme, aussi belle et intelligente soit-elle, un terme mal placé, une nuance mal construite et tous les efforts passés auront été vains. Finalement, je mis une touche finale à ma missive et lui expédiais la promesse qu'elle représentait pour moi via le même messager assez étrange qu'elle avait utilisé à l'origine. "Il est rapide et discret", m'a-t-elle affirmé. Et en effet, mes espoirs ne furent pas vains, une réponse vint bientôt. Depuis ce jour nous entretenons une correspondance très active. Et lorsque mes occupations professionnelles m'emmènent loin de ma belle (qui jamais ne quitte mon coeur et dont l'esprit ne peut se distraire) nous trouvons d'autres moyens. Parfois plus lents, parfois incertains, mais toujours ayant le même but ; prouver à l'autre que notre éloignement physique ne peut en rien porter atteinte à notre amour.

Un jour l'un de nous, voire les deux devront faire un choix. Nous devront laisser de côté nos activités si assymétriques d'herboriste et de marin afin d'enfin être capables de nous réunir et de jamais, jamais plus ne devoir souffrir telle souffrance que signifie l'éloignement qui nous sépare si souvent.

Elle est celle qui m'a envoûtée, celle dont le philtre d'amour est aussi simple à réaliser que de quoi raviver un enfant mort-né afin de le ramener à ses parents désespérés. Elle est celle pour qui le langage des plantes n'a aucun secret. Elle est celle qui a jamais dévoua sa foi à son roi mais dont le coeur appartient à elle seule.

Elle est celle qui obnubile le mien ; elle s'appelle Ciboulette et je suis fier de pouvoir crier du plus haut de sa tour solitaire que je l'aime.

 

Ton dévoué serviteur"

De krommlech.

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Ciboulette l'herboriste.

Jeudi, 28 juin 2007.

Ciboulette l'herboriste.

Il était une fois une belle et gente damoiselle qui vivait au château. Sa renommée s'étendait bien au-delà de toutes les terres connues par la plupart des gens. Ses connaissances n'avaient d'égal que sa beauté mais malgré cela elle préférait la compagnie des plantes à celles des Hommes.

Sa demeure se trouvait en haut de la plus haute tour du château, elle l'aimait car rien ni personne n'avait le courage de venir l'y déranger. Cette tour était la mieux située, la mieux exposée et la moins touchée par les intempéries, idéale pour sa culture.

De secret, pour elle les plantes n'en avaient point, elle connaissait tous les secrets qui entouraient chaque plante, et pour sûr car de la graine à la tisane, elle les soignait comme s'il s'agissait de ses enfants. Pour peu que l'on avait le courage de lui demander assistance, elle se déplaçait pour aider seigneurs ou serfs du château ou d'ailleurs. Elle  n'était point proche de ses sous et tant qu'elle pouvait vivre avec ses plantes, elle ne demandait rien.

Longtemps on ne crut à son existence, et les ménestrels contaient ses aventures comme autant de légendes mais elle existait bien. Ceux qui furent souvent au château à cette époque là peuvent vous témoigner de ses rares allées et venues dans les corridors du château. Elle apparaissait et disparaissait avant qu'on ait le temps de réagir mais jamais sans laisser un indice de son passage, baume pour un soldat blessé, plantes pour soigner un enfant malade…

Jamais on ne sut réellement ce qui lui arriva. D'aucun disent qu'elle mourut lors d'une période de sécheresse intense en voyant que toutes ses plantes se mourraient, d'autres qu'elle se suicida en voyant que les rois qu'elle servait utilisaient ses potions comme autant de poisons pour tuer leurs ennemis politiques, les derniers disent qu'elle partit finir ses jours dans des contrées lointaines qu'elle seule connaissait.


Quoi qu'il en soit, elle est et restera une légende et quand vous regardez vers la plus haute tour du château, n'oubliez pas qui y vivait.

Ciboulette était son nom, herboriste sa profession.



Voilà sous tes yeux ébahis, quelques mots à propos de Ciboulette l'Herboriste écrits par mon cher fiancé =)
[Merci beaucoup gracieux monsieur]
Et la photo vient de cette chère mademoisellle le grelon géant, c'est une fleur de ciboulette et on peut dire que c'est bien fait quand même la vie.
[Merci beaucoup charmante damoiselle]

P.S.. : Mea culpa pour la mise en page si c'est pas la bonne mais je suis repassée par OpenOffice, tout ça tout ça.

De krommlech.

Rangé dans Saperlipopette.

Ode à mon coeur, sous forme épistolaire.

Coucou vautour !

 

Cela faisant longtemps non?
 

Donc, je me lance.

 

Commençons par le commencement.

 

Je le connais depuis quelques semaines seulement, mais j'avoue que je ne cesse de penser à lui. J'ai en moi ce besoin incessant de venir lui parler, juste pour savoir comment il se porte car chacun de ses mots est un baiser et je le lis du bout des lèvres, même si ça me fend le cœur lorsqu'il me réponds qu'il n'a rien à dire et que les blancs pouvant s'installer entre nous sont pour moi la pire des malédictions.

 

Son entrée dans ma vie est l'une des plus belles choses, voire même la plus belle, qui me soit jamais arrivée. Grâce à Igapo, que je ne remercierai jamais assez d'ailleurs toi Dieu tout puissant, j'ai rencontré une personne merveilleuse qui me permet de voir les choses d'un point de vue optimiste ;). Plus sérieusement, je voulais le remercier d'être lui-même, tout simplement (C'est très certainement la seule phrase véridique de tout le bordel ici présent nommé article alors savoure^^) Donc je disais que lui Julien était la personne la plus exceptionnelle que j'ai croisé dans ma vie. Il est quelqu'un d'attentif, toujours à l'écoute des personnes qui lui parlent. J'ai trouvé en lui la personne parfaite pleine de gentillesse et d'attention (en plus il a 22 piges alors il est encore plus parfait que parfait^^). Bon le seul petit problème c'est qu'il habite à quelques bornes de chez moi mais bon ce n'est pas important, le tgv est en service maintenant donc je devrais bientôt arriver dans sa vie. Si c'est pas chouette tout ça !! Bientôt je vais être près de chez lui pour lui prouver à quel point il est exceptionnel (Je l'ai prévenu qu'en débarquant j'allais bouleverser son existence) et j'ai hâte de le voir enfin, de pouvoir mettre un visage sur cet avatar en noir et blanc(où on ne voit même pas les yeux !), une voix sur ces paroles si douces et si réconfortantes, une personnalité se trouvant derrière un écran. J'ai envie de pouvoir parler des heures avec lui de vive voix, sans devoir dire je dois y aller au bout d'un certain temps trop court car ce dernier est vil dans ses moments là et se raccourcit.

 

En parlant de l'heure, il est temps que je file d'ici et que je rende sa place au proprio.

 

Bisous mon cœur.

Bisous Igapo.

Perle de glace.


De krommlech.

Rangé dans Saperlipopette.


Hola jeune bonhomme et/ou bonhommette!

    Tu ne me connais peut-être pas mais je suis la jeune demoiselle qui vient d'arriver et qui s'est glissée au fond de la salle, le plus discrètement possible tu remarqueras, (c'est à dire en faisant claquer la porte et tomber la chaise^^).
Ici, je suis un peu la petite nouvelle! Je m'essaie comme tu le vois à l'art de l'article.
Et  je me suis dit " tu es dans la catégorie saperlipopette" et, en bonne invitée, je voudrais te parler de celle qui invite, c'est à dire le proprio de ce blog en fait^^.
Donc pour commencer, afin que tu m'aimes bien jeune lecteur, (tu risques de déchanter à la fin de l'article mais essayons tout de même de s'attirer la sympathie des gens), il est important que je te file quelques potins! Ben quoi! Ne fait pas la fine bouche, tout le monde aime les potins!
Donc prépares-toi, je vais te révéler un grand secret sur le vautour, puisque c'est ainsi qu'elle se prénomme ici.
Un jour, il y a très longtemps (4 -5 ans pas plus), je fis une découverte dans sa maison. Je vais te situer la chose.
Quand tu entres, diriges toi vers sa chambrette. Si tu ne connais pas le chemin ben, tanpis pour toi... Bon je vais te donner une aide, il faut descendre un escalier... (tu sais, elle t'en a déjà parlé de cet escalier, donc tu n'as pas d'excuse pour ne pas t'en souvenir) ensuite tu pénètres dans son antre ( je sais, elle n'est pas un ours ou tout autre animal de ce genre mais vois-tu j'essaie d'éviter les répétitions, en jeune fille bien civilisée que je suis^^).

Voilà c'est bon tu es dans sa chambre, et là, après avoir observé la déco, tu peux apercevoir sur le mur, à ta gauche, une petite porte. Approches toi, n'ais pas peur, tu l'ouvres et tu pénètres dans la pièce. Voici donc tout le secret que cache notre jeune amie, il est dans cette chambre.
Cette pièce est  "la pièce aux rats" (on est ici au moment clé de l'article pour ceux qui ne suivent pas, mais essaies de percuter quand même, je vais pas me répéter tout le temps!)
Je suis témoin, je ne te raconte pas n'importe quoi, je l'ais vue de mes propres yeux, , croix de bois,croix de fer et blabla tu connais la chanson.
Les créatures qui habitent cette pièce, plus communément appélées rats, sont devenues légendaires avec le temps, mais elles hantent
toujours en ces lieux, ne t'y trompes pas. Seulement ce ne sont peut-être plus des rats, avec le temps elles se sont transformées. (En quoi? tu te demandes, et bien vas voir par toi-même, je ne vais quand même pas tout te raconter!) Si un jour tu es en fuite et si tu te réfugies chez mademoiselle, je te conseille quand même d'éviter de te cacher dans la pièce aux rats mais ce n'est qu'un conseil, tu fais ce que tu veux après tout.

Et voilà jeune lecteur, nous sommes arrivés au bout de la révélation et je suis très contente d'avoir passé tout ce temps à te parler de rats! Je doute que j'arrive à m'attirer ta sympathie si je finis sur cette histoire^^. Donc je vais continuer un peu (je crois qu'au fond de la salle ça proteste un peu, tu peux partir quand tu veux, c'est pas un forfait ici tu t'en vas quand ça te dit!) A ce propos, pour garder un esprit sain, il était conseillé de s'en aller dès le début^^. Je t'entends déjà râler, oui j'aurais pu prévenir avant, en même temps je n'aurais plus eu de lecteur^^ et alors à quoi ça aurait servi que j'écrive un article dis-moi??


En ces temps de chaleur, (je m'essaie moi aussi à la non transition^^), je te conseille quelque chose à faire de très chouette, afin d'occuper tes journées de la meilleure façon qui soit.
Tout d'abord, tu prends ton mp3 (quelle modernité du "jeune" tu remarqueras),
(si t'en as pas, ben, tu le piques à quelqu'un, ("empruntes" non mais! Je parle à mes doigts ne t'inquiète pas) débrouilles toi,quoi! Et arrêtes de m'interrompre!
) ensuite tu vas dans ton jardin (même chose que précédemment).
Il est nécessaire que dans ce jardin, il y ait un cerisier (les autres arbres fruitiers peuvent aussi marcher) avec des cerises mûres c'est conseillé pour la suite^^, et là tu allumes ton mp3 (moi j'ai essayé avec la chanson "As tu déjà aimé?" d'Alex Beaupin mais ça marche aussi avec  d'autres musiques), ensuite tu manges quelques cerises et tu commences à tourner. Oui, sur toi même, tu as bien compris. (Evite de trop manger en même temps que tu tournes, tu risques d'avoir de mauvaises surprises^^) et donc tu tournes, tu tournes, les yeux fermés, les bras ouverts et t'écoutes la musique.
Tu verras, avec une petite brise, il y a rien de plus agréable! Mauvais pour la réputation auprès de tes voisins ou passants par contre, mais bon, on peut pas tout avoir, c'est pas la fête à Médard non plus! Juste, fait gaffe quand tu t'arrêtes et ne vas trop vite quand même, je ne voudrais pas qu'il t'arrive malheur (pas trop envie d'être questionnée par la police surtout^^).

 Voila sur ce, je vais quitter la salle et réfléchir à un moyen sans faille de m'attirer ta sympathie (éviter de parler de rats et de petite danse tourbillonnante je crois que ça doit déjà être un bon début^^).

Alors au revoir (le salut qui convient pour n'importe quel moment de la journée) et ne te perds pas en rentrant chez toi! (j'aime bien donner des recommandations quand je quitte les gens.)

Youguette




De krommlech.

Rangé dans Saperlipopette.

Car voilà j'ai envie de me révolter contre la dictature krommlechienne, j'ai décidé de faire une petite exposition sur les imprim écran de la demoiselle proprio des lieux.
Alors vous verrez en haut à gauche c'est mon coeur, en haut à droite c'est moi (non à peine modifié du tout) et en bas c'est la dite "débile enchapeautée (à minuit, dans sa chambre)" fin de citation qui s'esclaffe devant son ordinateur. Et encore on a de la chance, elle est pas partie se cacher derrière son "chapeau cloche" ou caché la caméra avec sa main. Là tu la vois t'as de la chance lecteur.
Enfin trèves de bavardages et je te montre ce que ça a donné hier enfin ce matin, fin bref par là quoi.


Oui voilà non  ne me remercie pas lecteur.

•••

Edit du vautour, tant qu'à faire.
Puisque c'est comme ça bah autant montrer tout le monde, je trouve.


De krommlech.

Rangé dans Saperlipopette.

Oui bah voilà c'est drôle donc je partage. Enfin j'espère que c'est drôle car aujourd'hui mes blagues sont vaseuses à souhait^^(tout le monde à ses jours sans^^avouez)
Enfin racontage de vie commençons par le commencement:
Ma moman ce matin m'a fit un compliment!!! (oui ça faisait un lustre qu'elle m'en avait pas fait, elle préfère la critique dûre et cassante à souhait) En plus sur mon physique et ma "magnifique chevelure"(de rêve hem hem je déconne là^^)
Bravo on applaudit tous des deux mains encore plus fort j'entends pas^^ Attends tu n'as pas lu la suite tu ne vas pas être déçu^^
Donc je tenais à vous prévenir gentiment que demain on court à la castastrophe genre je sais pas moi tornades, cyclone, éruption volcanique, météorites géantes percutant la Terre, enfin les trucs bien sympas quoi qui touchent à la nature dans sa plus grande méchanceté envers les fourmis qui y habitent.
Oui remerciez ma moman elle va tous vous pourrir la journée de demain ^^

Je laisse la place au vautour après elle va dire qu'elle a plus de place sur sa branche^^ et va me faire tomber d'un coup de patte bien placé^^
By Elo.

De krommlech.

Rangé dans Saperlipopette.

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