Mais dans l'impossibilité je suis, parce que tu m'as déjà vu parler d'un machin bidule que j'aime bien et que paf ça donne envie de le voir ?
Moyen pas, moisie à ça je suis.
Ce qui est tout de même étrange, parce que dans l'existence mon métier ça pourrait être argumentatrice professionnelle (oh ça serait trop bien si on me donnait des sous pour ça). J'veux dire je passe mon temps à me justifier et à contredire les gens en argumentant pour les amener à penser que j'ai raison (d'ailleurs ça m'agace pomme il dit toujours "oui oui t'as raison" sans écouter ce que je dis, je parlerais au mur ça ferait le même effet, c'est bien la peine qu'il se tape 350km pour venir s'il écoute même pas quand je lui parle).
Donc justification et argumentation sont mes maîtres-mots (avec pâtes et chocolat), mais quand il s'agit de mettre en vêture de lumière un truc top-moumoute comme Kaamelott, impossible est par ici, et repassera par là .
C'est comme si l'existence était bien faite, je te professerais mon amour pour certains films, certains livres, certaines musiques, certains poèmes, certaines œuvres d'art, et grâce à mon action bénéfique ces œuvres prendraient une place de premier choix dans l'univers et on dresserait ma statue à tire-larigot.
Mais en fait non, parce que quand j'aime un truc, bah je l'aime et le cœur a ses raisons que la raison connaît point du tout, ou le machin du genre que Blaise a dit un de ces quatre dimanches (ou était-ce un lundi ? Je ne me souviens que d'un mur immense (Jean-Jacques, bonjour !)).
Juste, alors,
Kaamelott c'est fini, et c'est tristesse.
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