Se fourvoie-t-il, Omicron ?

Mardi, 8 avril 2008.

Tiens je me demandais.
La dernière fois un individu Omicron (je laisse un peu Bêta se reposer sinon tu vas pas avoir l'impression que je connais l'alphabet grec) m'a dit minco modo que mon blog était dans le coin de l'incompréhension et qu'il valait mieux ranger son ordi pas loin de la boîte d'aspirine (ou le contraire).
Bon il l'a pas dit tout à fait comme ça, l'individu Omicron, mais pour le résumé (le résumé qui est plus long que la phrase d'origine, j'avoue) c'est ça. Et aussi dedans y'avait l'expression "trop de private jokes" (on anglicise ou on pas).

Donc là mon cerveau se disait que je suis sûre que tu trépignes dans l'attente de l'achèvement de cet article pour te précipiter vers les commentaires et me dire si l'individu O. se fourvoie ou si je devrais simplifier l'ensemble (je dis ça mais je le ferai pas, hein, t'abuse pas).

Tout le monde il a le droit de répondre, même moi. Mais je le fais pas.
Toi si, je le sens dans ton regard.


De krommlech.

Rangé dans Point d'interrogation.

Dans mon existence y'a des problèmes et évidemment ils sont très graves tu t'imagines bien.
En l'occurence là je songeais à un problème en rapport avec ici, et le problème c'est que des fois je me souviens plus si je t'ai dit un truc ou si seulement j'ai songé que je pourrais mais que. Très grave comme je te le disais.

Pour exempler est-ce que je t'avais déjà fait part de cette coïncidence qui coïncide avec des bouts de l'année dernière ?
L'année d'avant avant j'ai connu jeune homme pomme de pin, et puis on a parlé un peu beaucoup passionnément à la folie plus du tout. Plus du tout c'était par exemple vers le 11 février de 2007 quand j'ai dit on se parle plus nom d'un minuscule bonhomme (j'avais une dose d'énervement dans mon organisme).
Finalement le monsieur tellement je suis gentille belle intelligente charmante addictive (raye toutes les mentions elles sont inutiles) il m'a envoyé une missive et au bout de presque un mois je me suis décidée à daigner répondre. Là on était au moment des partiels, donc à la mi-mai. Puis courant mai-juin on a recommencé à se parler avec le paroxysme (haha) vers le 17 juin.

Vers début février de 2007 (le 4 pile poil poule) pour la première fois de mon existence entière j'ai parloté avec le monsieur qui est un cowboy, et disons que pendant les euhhh trois premiers mois on a eu un rythme de discussion assez soutenu, puis à partir de mai ça a commencé à se tarir, et bon, depuis le mois de juin, on a du se parler trois fois sur MSN (youhou).
Bon ne nous plaignons pas j'ai quand même des nouvelles du monsieur quand il poste un article toutes les deux ou trois ans.

En gros pour résumer ce passionnant article, y'a pas eu cohabitation, je fis je parle à Nicolas puis je parle à Julien puis je reparle à Nicolas, et donc me demandé-je, est-ce une condition sine qua non (hop, mot intelligent !) que je parle pas à l'un pour parler à l'autre ?
Non parce qu'au final ça m'arrangerait d'avoir des nouvelles de tous les deux, quand même, j'avoue. Même si en toute gaussitude, je connais Julien depuis disons 14 mois à peu près et que sur les 14 j'ai (presque) plus de ses nouvelles depuis 10, pour résumer.

Je songeais à ça en m'endormant hier (en arrivant pas à m'endormir, plutôt).
Je me disais c'est dingue parce qu'en ce moment je me couche assez tôt dans l'ensemble, disons qu'il est rare qu'après 23h je sois pas encore couchée et quand même je suis fatiguée alors que l'année dernière je me couchais efficacement au moment où c'est déjà le matin en me levant pas plus tard que maintenant et j'étais moins fatiguée.
Et je me suis dit tiens l'année dernière à cette époque je parlais à Julien qui (je sais pas maintenant) se couchait plus près de l'aube que du crépuscule, et maintenant je parle à pomme de pin qui dit "je voudrais pas me coucher à 22h quand même" dans le sens où 22h c'est tard (il a des raisons d'être empli de fatigue et tout, quand même, j'avoue (p'is quand il disait ça il avait un examen le lendemain matin)).
Donc dans la famille je m'adapte aux gens autour de moi, je suis.

Tout ça pour résumer que y'a rien à résumer, t'as lu l'article alors bon.

Note que pomme de pin entre dans le traumatisme ambiant quand je l'appelle oralement "Nicolas", qu'est-ce que le point ? Et je me coupe un bras plutôt que de l'appeler Nico, j'aime pas ça.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

Oscar et pomme de pin.

Lundi, 7 avril 2008.

Pomme de pin il m'offre des cadeaux souvent, et maintenant j'ai ça :



Rapport au fait qu'Oscar est mon ami et que j'ai bavé sur le livre (sans salive) pendant un moment, dans les magasins et dans ma chambre en le sortant du papier cadeau, fallait que je t'en fasse part.
En plus la couverture elle est chouette et colorée et ça donne des sourires.

Je l'aime plus que le soleil.
Pomme de pin - le livre - Oscar, raye les mentions inutiles.

P.S. : Y'en a pas.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

Je suis VIP, des fois.

Lundi, 7 avril 2008.

Aujourd'hui j'ai vu Benoît Magimel. Mais en plus beau, en plus jeune  et en plus "je suis doctorant en histoire et je travaille au château de Lunéville". En plus la classe pour une fac d'historienne, c'est-à-dire. Une autre fois j'avais vraiment vu Benoît Magimel mais je préfèrais le doctorant en histoire. Je l'avais vu à une avant-première pour les Rivières Pourpres 2. Le vrai, je veux dire. Et l'autre Benoît Magimel je l'ai vu au château de Lunéville où on a visité le chantier, on a monté dans des échaffaudages, on a vu les petits bouts du nain Bébé tous brisés, des animaux empaillés, les réserves du musée de Lunéville (parce qu'on était des VIP tels quels). Au début on avait des casques de chantier qui faisaient de la pub pour la Meurthe et Moselle et donc est-il besoin de préciser qu'on avait la grande classe ?
L'autre Benoît Magimel c'était notre guide et plus tard je veux bien être lui, mais avec les caractéristiques d'une fille et sans le doctorat en histoire. je veux bien travailler au château de Lunéville, pour résumer.


Ça c'est le nain Bébé avant qu'il soit tout brisé par l'incendie.

Aussi pour la première fois de mon existence j'ai mis les pieds dans une synagogue, à l'étage pour les femmes et au rez-de-chaussée pour les garçons, et y'avait même le Sefer Torah sous nos yeux, on est de très grands VIP. Ça c'est de grands rouleaux très classes.

On a vu deux églises une avec plein de vitraux qui parlent de Jeanne D'Arc et qui a une allure de château de Walt Disney (Blanche-Neige, là). Et une autre avec du jaune et une tête d'abbé cachée-peinte sur une colonne et d'autre trucs chouettes.
Plus le temps passe et plus je me palpite un maximoum pour les églises. Aussi les abbayes et tous les toutims mais j'ai moins l'occasion d'en visiter.

Sinon je hors-sujetise d'un coup d'un seul, mais on a qu'à dire c'est la mention "je suis VIP" qui sert de fil conducteur à l'intrigue.
Samedi soir avec pomme de pin on s'est téléportés à Nancy pour aller au cinéma (téléportés avec l'aide d'une Opel Corsa, d'une autoroute et d'un quart d'heure).
Alors comme à l'accoutumée on s'est garés dans notre parking personnel (nous sommes des VIP = fil conducteur) qui est avec une grille et une carte spéciale et des caméras de surveillance et tout, avec du gratuit.
En arrivant j'étais contente parce qu'il y avait garées l'une à côté de l'autre deux voitures du même modèle et de la même couleur (notre parking privé on le prête par bonté d'âme).
Dans la vie j'aime bien certains trucs à base de voiture comme les deux voitures d'un même modèle et d'une même couleur garées l'une à côtté de l'autre ou les plaques d'immatriculation (surtout les françaises parce qu'on peut jouer au jeu des départements et elles ont pas l'air en colère comme les voitures belges).
Mais quand on est reparti enfer et damnation, y'avait dans un espace de 10 places de parking ou par là 5 fois des voitures du même modèle et de la même couleur (les voitures blanches, c'moche) et ce fut  complétement flippant (pour une demoiselle de mon genre facilement impressionnable).

Pour conclure, j'aime pas la neige plus le froid plus le vent plus les bâtiments pas chauffés tout ça mélangé.

De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

Emil a dit, pas Jacques.

Dimanche, 6 avril 2008.

Demain c'est le jour où je fais la sortie de fac d'historiens à Lunéville, et mardi, cours, et mercredi, cours et jeudi, (dernier jeudi de) cours, et vendredi, train, train, pomme de pin (rime de folie).
Et dans six jours pile poil poule ON SERA AU BAL. Argh argh argh, comme dirait Emil (moi,en fait).

À cet instant précis, robe, chaussure, bas, châle, bijoux, et autres trucs nécessaires (pour exempler des sous-vêtements, j'dirais) sont en train d'effectuer un voyage en voiture (en Opel Corsa, on s'moque pas d'eux) pour m'attendre sagement au pays des Belges.

Oui alors, là, attention, instant de folie.
Je dis aujourd'hui même, et pas Jacques, que si j'ai une photo d'imou en "je vais au bal super whouhou" sous la main, je la mets ici. parce qu'il y a des pauvres hères qui veulent voir à quoi je vais ressembler (pauvres vous), et comme ça je suis obligée de le faire et plein de gens sont contents sauf imou.
Après je me cacherai dans un sac géant.

De toute évidence je te raconte pas mon week-end, il y avait plein de rires dedans et pas de bouhouhouh dedans (des bouhouhous c'est quand on est dimanche et que la tristesse pointe le bout de son vilain nez).
(J'ai toujours rêvé d'être un gangster, c'est gaussant (des fois on était deux à rire mais bon))



Il est temps de s'aurevoirdiser, mauvais marché.
Au revoir, mauvais marché ! Au revoir, Emil !
Demain si tu es sage, Père Castor te raconte une histoire. Ou Emil te raconte sa vie, faut voir.

Ik hou van jou pijnappel.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

Quand j'étais petite.

Vendredi, 4 avril 2008.

Je t'avais déjà raconté que quand j'étais petite, je pensais que la maladie d'amour de la chanson de Sardou, c'était le SIDA (déjà à l'époque, anti-romantisme, bonjour !) ? Et aussi, je pensais que "bonne et due forme" ça s'écrivait bonnet du forme.
Une fois j'étais à une fête de village, mais j'étais vachement petite, et on m'a mis un agneau dans les bras, et j'ai dit "hmmm la bonne côtelette". En tout sérieux, qui plus est.
Quand j'ai commencé à marcher à quatre pattes, j'avançais à l'envers, les fesses en avant.
Je voulais être majorette (ouais ouais) sauf que j'ai fait tomber tous les bâtons de majorette que je possédais (soit trois) dans le caniveau, grâce à ma pasdouétitude innée.
D'ailleurs pasdouétitude innée, une fois je suis allée à la procession de la Saint-Nicolas à la basilique et il y avait une statue dudit et elle est tombée et elle s'est brisée et ça a été écrit dans le journal, et quand je suis arrivée chez ma grand-mère le lendemain tout le monde était persuadé que c'était moi qui l'avait fait tomber.
Et la première fois que j'ai réussi à faire du vélo sans les roulettes, j'étais dans le garage, et c'pas facile faut toujours tourner pour pas se prendre un mur.


Oui je suis toujours mini-moi narcissique, y'a des constantes sur Terre.

J'ai songé à ce genre de trucs en me douchant et j'ai complété un tantinet, et là je dois changer de housse de couette (je trouve pas les taies d'oreiller qui vont avec et ça c'est très frustrant (je trouve pas de taies d'oreiller du tout, d'ailleurs)).
Ensuite je dois regarder l'heure toutes les deux secondes jusqu'à 16 heures et quelques, je dois aller chez le médecin au lieu d'aller à un partiel blanc d'histoire moderne (je suis pas malade, si tu te demandes) et regarder l'heure toutes les deux secondes jusqu'à 16 heures et quelques.
En attendant je te donne tous mes saluts, mauvais marché, essaye de pas les éparpiller partout t'en aura plus avant dimanche ou lundi ou mardi ou je sais pas quand (lundi je vais faire une sortie avec des fac d'historiens pour visiter des églises et une synagogue et le chantier de restauration du château de Lunéville et autres bidules-chouettes).

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Des >.

Mercredi, 2 avril 2008.

Allez, on dit ça fait longtemps que. Pas longtemps que j'ai pas posté d'article, j'sais bien, je suis dans la flamme posteuse en ce moment. Contrairement à la flamme MSNique qui elle faiblit encore et encore.
Donc, disons, ça fait longtemps que je t'avais pas parloté de pomme de pin. Hmmm, depuis hier, au moins (bon, il s'est fait la malle où le correcteur orthographique de Mozilla ?).
Oui aujourd'hui on est le lendemain du poisson d'avril et voilà donc le parcours logique.

Lendemain du poisson d'avril > 2 avril > 2 ? > Moisiversaire ! > Souvenirs, souvenirs > (août, tout ça) > Sourire > Revoir pomme de pin > Regarder l'heure > Moins de 48h ! > (Oui ça fait genre 16 jours que l'on ne s'est point vus et rien que d'y penser ça me donne des frissons pour quand il sera muté à bord d'un navire (et pas bateau) > (je peux être très tragique, en m'y mettant, j'suis sûre)) > Joie dans mon cerveau mes genoux mes bras mes yeux la maison des dalmatiens de la montagne les chaumières les igloos et même les bourgeons de cerisier > Te prévenir mauvais marché que je me tiens coite ce week-end, meures pas d'inanition > (aucun rapport) > Quelle heure est-il, point d'interrogation, j'ai cours à 18h. > Regard à mon portable > Je recevrais bien un message de pomme de pin, tiens > Ha mais, je l'aime, lui. > Peut-être je devrais arrêetr de parler de lui. > Bon je vais me taire, alors.

Conclusion : J'ai cours dans 24 minutes (au moment où je tapote), il reste moins de 48h, et quoi que je fasse je peux pas rester plus de sept minutes sans faire une association d'idées qui me fasse penser à Nicolas. D'où, je t'en parle tout le temps. Et double d'où, d'où, je lui fais des déclarations d'amour.

Je t'aime, pomme !

Bon p'is là j'abrège, c'était juste histoire de dire (en plus je viens de finir le roman que je lisais, faut bien que je m'occupe avant le cours et donc que tu subisses, et non pas de rire machiavélique, je sais pas faire ça).

P.S. : Et hop, message de pomme de pin. Les grands esprits se rencontrent.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

L'ennui.

Mardi, 1er avril 2008.


L'ennui ça apporte l'art (haha), mais pas le talent.

De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

En ce jour d'hui.

Mardi, 1er avril 2008.

La querelle de l'arianisme.

Christologique, Ebionites, dithéisme, monarchanistes, transcendance, adoptationsime, monarchanisme modaliste, sabellianisme, Logos, subordinatianisme, œcuménique (œ : Alt + 0156), cursus publicus, consubstanciel, homoousios.

Voilà j'ai une page et demie de cours et y'a tous ces mots-là dedans, et je te le donne en quatre mille, je connais la définition de deux.
Tu veux faire un jeu ? Dans la liste, il y a deux fois deux synonymes, devine lesquels (ouais je sais on rigole bien en fac d'histoire).

Sinon aujourd'hui c'est le premier jour d'avril ce qui signifie que je dois changer la page de mon calendrier avec les photos de la Lune (enfin j'avoue c'est surtout des paysages sous la Lune que juste la Lune, sinon ça serait redondant), ne pas tourner le dos à Noyémie et ne faire confiance à personne.
Le premier avril ne me rend pas parano DU TOUT. Mais c'est un peu écrit "crédulité absolue" sur mon front.

Glingling, Glingling, entends-je (je suis onomatopéiste de génie, avoue (avec un H ce mot serait plus joli (onomatopéiste, je veux dire, pas génie))). C'est la BU qui m'appelle pour que j'étudie les Soupirs de la France esclave qui aspire à la liberté (on met les titres des livres en italique sur un 'rdinateur, je te rappelle).

De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

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