Vendredi
(avec seulement dix minutes de retard, tu peux clapclaper la SNCF qui s'améliore toujours un brin), samedi, dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche. Ça a fait
9 jours avec pomme de pin.
357 de pas assez pour que l'année soit parfaite mais diantre.
Dans cette histoire, il y eut vendredi avec rien de notable
(ou alors, ma rencontre avec le truc qui lave les voitures et ça c'est trop marrant), samedi avec rien de notable non plus
(je m'esclaffe, y'a eu le bal, mais je parle de ceci-cela après), dimanche grasse mat', lundi où je me suis pas perdue whouhou dans
Bruxelles whouhou en allant au cinéma whouhou, et même pas dans le métro. Mardi c'était le jour où on travaille et mercredi le jour où je me suis pas perdue dans
Bruxelles whouhou en faisant les magasins whouhou et en retournant près de l'école de pomme de pin à pied toute seule whouhou. Et aussi le jour où je suis allée pas au musée d'histoire mais que plutôt j'ai profité du beau temps dans un parc où comme de par hasard y'avait plein de militaires qui sont des étudiants de l'
Ecole Royale Militaire qui soutenaient des championnats d'athlétisme. Comme par hasard y'avait pomme de pin et puis moi à moins de 10 centimètres. Jeudi là on est allés Ã
Tournai pour voir des trucs et des machins.
À
Tournai y'a de's appartements chouettes
(y'en a des nuls aussi, je dois dire). Des appartements chouettes et plein de trucs médiévaux dont une cathédrale hyper nic-nic et y'avait aussi des magasins de livres. Pour conclure
Tournai c'est hyper la classe et puis pomme il va y habiter à partir de la rentrée et c'est pas une bonne nouvelle ça ? Même que plus tard si tout se passe comme dans le plan de l'abbaye cistercienne, mais sans abbaye cistercienne, j'y habiterai aussi, dans le même appartement que pomme de pin, whouhou.
Vendredi on a roulé, roulé, roulé, et puis on est arrivés dans la maison des dalmatiens de la montagne
(même que j'avais reçu du courrier ! (ouais, la Caisse d'épargne)).
Samedi on a vu des z'amis. Les z'amis c'étaient
Youguette et
Elo+Paul et
Julieta (dans l'ordre d'apparition sur scène).
Maintenant il faut dire
Elo-et-Paul c'est comme
Charline-et-Alex ou
Fanny-et-Boris. Être des demies-personnes, tout ça
(c'est chouette même). Ou alors on peut dire juste Elo ou juste Paul quand des fois on parle juste d'un des deux, tu comprends ?
Là on est allés à la foire où on a dépensé des sous en attrapage de peluches, nourriture grasse et pas équilibrée
(les gaufres au Nutella c'est bon, note) et peut-être tour de manège qui fait rire ou crier, suivant le niveau de tension. La dernière partie c'est pour si tu t'appelles
Elo ou
Emil. Dans ce cas-là il faut pas dire
Elo-et-Paul mais juste
Elo parce que
Paul il a peur, tu comprends ?
(mais il ouvre les boîtes de poivre pour moi alors ça rattrape (je me gausse toute seule, ne pas chercher à comprendre)). Aussi on est allés au billard et on a mangé au
Flunch, que demander de plus à l'humanité, je m'interroge.
Dimanche on a marché et cherché des fossiles et vu des motards et marché et on s'est reposé et on a regardé
D&CO (on se cultive à fond). Mais là si tu comprends bien y'avait plus les z'amis, c'était juste pomme de pin et imou. Est-ce qu'on peut dire
Nicolas-et-Emil où on a pas le droit aux tirets
(tu devinerais jamais où ils sont cachés ceux-ci sur un clavier belge tellement c'est sournois ces bêtes-là (les claviers belges, pas les tirets)) ?
Bon, j'dirais, le bal, t'as vu les photos que gracieusement j'ai mises à ta disposition
(je suis géniale, je sais, je sais).
Il s'est passé différents trucs-bicules : ma robe était trop courte
(haha, ces militaires, toujours le mot pour rigoler). Total ils ont piqué mon invitation, pour faire personne sait quoi rapport au fait que j'étais déjà dans la place. On a mangé. On était mille à table, y'avait des
Belges (c'était en Belgique faut dire (c'était Nicolas et son popa et sa moman, quoi)) et des
Luxembourgeois et une
Française. Enfin on était 8 à table parce que quand même la moitié de l'humanité nous connait pas, y'a que les privilégiés qui peuvent manger avec nous
(on y croit, on y croit, on y croit).
Aussi on a bu
(des choses avec zéro alcool parce qu'on est des gens sages) on a dansé.
On a fait le truc de couples : on s'est embrassés, enlacés sur la piste de danse, en entendant l'orchestre jouer les dernières notes d'un slow. Comme si on était des z'amoureux à un bal, en fait. On était des z'amoureux à un bal, j'dois dire. Avant on avait dansé le slow qui allait avec, au départ parce qu'en toute vérité il y avait deux de ces jeunes
Luxembourgeois qui nous ont obligés presque presque. Après on y allait parce que le lieutenant invitait sa cavalière. Le lieutenant c'est un vrai, c'est pomme de pin, mais la cavalière c'est pas une vraie, elle a pas de cheval.
Y'avait aussi le quadrille des lanciers, qui sont de jolis élèves de l'école avec leurs jolies cavalières dans leur jolie robe et qui dansent joliment et qui te donnent un joli sentiment d'infériorité
(en fait non, mais c'est joli à regarder (je vais de ce pas te chercher une photo)).
Ensuite, il y a ce truc. Tous les élèves de l'école qui prennent une chaise et qui courent au milieu de la piste de danse et qui chantent
(très très fort comme un hurlement) une chanson qui s'appelle
Pampou et ça fait peur si on est pas préparé psychologiquemenht. Mais c'est chouette.
Y'avait même vue sur l'
Atomium qui clignotait, et tout, et tout.
Le bal il était chouette même sans l'invitation.
Et en vrai, la semaine qui a duré neuf jours elle était chouette même sans les heures où pomme de pin il était en cours et que patiente telle la copine aimante je l'attendais à la maison en révisant
(OH, OH, OH).
Maintenant, recommençons =)
Totem tout ça.