Ois, ois, brave gen[s] (le verbe "ouïr" à la deuxième personne du singulier, présent de l'impératif, si jamais).
Aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres.
Figure-toi que pleine d'innocence et enroulée dans ma serviette (oui je sais on s'en fout) je suis allée m'informer de la semaine que m'a prévu Babette Teissier, histoire de se gausser un peu devant tant de drôlerie, et FIGURE-TOI que la bougresse a réussi à prévoir un truc exact.
Héé, avoue, t'es impressionné, hein ?
Bon elle a aussi dit des trucs habituels, du genre je vais être soit face à un dilemme entre amours et amitiés, soit une de mes amitiés va se transformer en quelque chose de plus tendre (haha), jeudi. Tout un programme.
Mais là où la bonhommette a pas raconté n'imp, et où tu dois clapclaper dans tes mains avec ferveur, c'est qu'elle m'a glissé à l'oreille "Le 27, retrouvez vos amies" (elle me respecte un maximoum, tu vois, elle me vouvoie même). Or il se trouve que samedi se fête non pas un, mais pas non plus deux, mais trois anniversaires d'amies diverses et variées, ce qui donne lieu à deux rassemblements de gens plein de sympathies, dont, je te le donne en quatre mille, mes amies (pas toutes, mais c'est chouette quand même).
Bref, tout ça pour dire qu'elle a dit un truc exact la brave dame, ça mérite champomy et cotillons à profusion.

Ma jolie calculatrice HP 40G a rendu l'âme, le 28 novembre sortent en DVD les Chansons d'amour ET Ensemble, c'est tout, enfer et damnation je suis pas Crésus des maisons (vise la rime), je m'épate toujours à faire abstraction de bidules quand je pense à 2006, popa hier a posé l'interrogation du siècle, "qu'est-ce qu'il y a à 21h ?" (j'te donne pas la réponse en quatre mille, par contre), Maour c'est chouette à écrire ET à prononcer, j'trouve (et si tu trouves pas, même tarif), le samedi ça sert toujours à rien mais le pas-prochain-celui-d'après, il semblerait que j'entre dans ma vingtième année d'existence, en charmante compagnie, j'ai les peids glaglaciaux, je me tartis à faire une phrase sans queue ni crâne, mais qu'est-ce que le point ?

(Y'a un espèce de bonhomme chevelu hirsutement qui regarde vers sa droite avec écrit Emilienne sur ses simili-pieds, c'est possiblement troublant)

Euh, Serge, tu l'aimes ?




Ha oui je viens de remarquer que des phrases que je dis souvent pour preuve de ma pasdouétitude, c'est "je suis con ou je fais exprès ?", et aussi "je me déteste" (je me déteste souvent mais pas trop longtemps, ça va).

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Je viens d'instaurer la règle universelle : les boxers, c'est le bien.
Ne sous-entendons pas que le reste c'est le mal, c'est juste le moins bien.

Puis je me suis demandée si on mettait mes cheveux bout à bout, quelle longueur cela couvrirait-il ?
Là je me mets en quête d'une photo de mes cheveux des fois que tu saches pas à quoi ressemble cette magnificience (haha), et t'en auras juste une où j'étais pas coifée, parce que c'était le soir loin de ma brosse et après des tresses.
En fait c'est une question qui m'a traversé l'esprit jeudi, sinon.



Après, je me suis dit, est-ce que mon chat va m'en vouloir si je mets mes mains approximativement glaciales sur son ventre, et la réponse est : elle a moyennement apprécié (maintenant elle se lave, est-ce que ceci étonne quelqu'un ?).

Là je viens de me rendre compte que j'ai commencé l'article (le quatrième de la journée, faut s'y faire) en parlant de sous-vêtements, mais ça c'est juste à cause d'un T-shirt rouge de soeurette qui a déteint dans la machine à laver (malgré le Décolor stop, ou je ne sais comment ça s'écrit), et pendant un immense moment de frayeur (nan j'plaisante), j'ai cru que j'avais une chaussette rose et l'autre restée dans son état de pureté naturelle. En fait non j'en ai deux roses ça règle le problème.
Ça m'a donc poussé à cette profonde réflexion.

Une autre partie de mon cerveau s'est posé une question tout à l'heure, mais ladite a déserté ma mémoire sans scrupule.

Je tiens aussi à dire que j'aime beaucoup réviser assise dans mon lit sous ma couette, sauf qu'une heure de "la personnalité et l'oeuvre de Jésus", et de "les caractères originaux de l'histoire religieuse en Allemagne", ça fait papillonner les yeux et tomber ma joue amoureuse de mon oreiller.
Et je dois dire que la sieste ne m'est pas refusée étant donné qu'il est de notoriété publique que les fac d'historiens ne font rien de leurs journées.

Et ceci clot cet article inintéressant entre tous, mais qui n'a rien fait au monde qui mérite son inexistence.

Ha non je dois ajouter, que c'est à cause de Denis le Petit que je vais devoir apprendre que Jésus est né entre 7 et 4 avant lui-même.
Avant lui-même quoi.
(C'était pour la petite note culture)

De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

Une phrase.

Samedi, 20 octobre 2007.

Ha oui au fait, ça me revient, l'autre jour je suis partie telle la brise prendre le bus (la SNCF (n') est (pas) mon amie (heureusement que j'ai pas fait refaire mon abonnement de train, hein)), et y'avait un truc dans ma poche, mais pas Sammy-mon-ami (le GSM, si jamais), c'était plus encombrant, et de ce fait j'ai remarqué que j'avais décampé de chez moi en embarquant le peigne dans ma poche, mais qu'est-ce que le point ?



Euh, aucun rapport.

De krommlech.

Rangé dans Pas douétitude innée.

Bon bah, pas d'image.

Samedi, 20 octobre 2007.

Tu connais M. Brunn, l'auteur du très fameux livre Le Commerce International dans le Monde au XXè siècle ?
Alors c'est mon prof d'histoire économique et sociale à l'époque contemporaine, que j'ai le vendredi de 14h à 15h, pour la plus grande allégresse de tous les élèves qui suivent le cours.
Déjà, on peut noter qu'il a des idées suicidaires, ou bien l'envie de voir une révolte de ses propres yeux, qu'en sais-je, mais tu noteras que dans un cours d'histoire économique et sociale, ne parler que d'économie, c'est profondément courageux quand on sait qu'il y a des bandes de syndicalistes-communistes-trucs en -istes dans la salle (je suis plutôt au fond de la salle et une des phrases récurrentes que j'entends c'est "quand est-ce qu'on parle du social ?").

Bref, l'ambiance dans la salle pendant cette heure de cours tape dans l'un brin paradoxal.
Elle navigue entre les gémissements faibles de souffrance, comme si c'était une salle de convalescence dans un hôpital, un fraîchement amputé d'la jambe avoisinant un grand brûlé (note qu'à mon avis dans un hôpital ils sont pas dans le même service, quand j'y pense, mais on a qu'à dire un hôpital d'il y a méga longtemps).
Et d'autre part, on entend assez fréquemment des éclats de rire, absolument nerveux à mon avis (je confirme, c'est franchement convulsif), venant de gorges éparses.

Mais alors, la dernière fois, même si je sais que personne l'a lu, je t'ai mis le plan du cours, du coup ça te donne une idée de l'esclaffe.
Ensuite, deux-trois êtres humains de ma connaissance ont eu l'honneur d'entendre la voix du prof, parce qu'enregistrer le cours sur lecteur MP3, c'est le bien (3), des fois que j'ai une absence pendant le cours et que j'oublie de noter.

Qui plus est, le prof est assez dingue dans son genre, et ça doit venir de ça les rires nerveux, là.
(Prépare-toi présentement à subir une énumération des faits et gestes gaussants du prof, ou à refermer la fenêtre, au choix)

Déjà, il est d'une logique imparable :
"... le traité de commerce avec diminution des droits de douane, ce qui a pour conséquence de diminuer les droits de douane."
"Blablabla et/ou, parce qu'il peut y avoir "et" ou "ou", blablabla" (j'ai pas retenu ce qu'il y avait à la place des "blablabla", mea culpa).

Ensuite, il nous prend pas pour des stupides, ça va.
Il nous écrit le vocabulaire au tableau, des fois, pour si on sait pas l'écrire, comme "échelle mobile", et quand il écrit pas au tableau, il nous aide en prononçant même les lettres muettes.
"Affluxe" (donc, "afflux")
"Les monnaiesse" (donc, "les monnaies" (nan j'te prends pas pour un stupide non plus))
Ou alors son célèbre "monnaie-avec-deux-N", qu'il nous sort à peu près souvent, histoire qu'on mémorise bien qu'il y a deux N, si on le savait pas.

Il nous fait de petites confidences sur la langue française,
"Si on arrive à la fin d'une phrase il faut mettre un point."
"... en viennent à réclamer, c'est pratique la liaison comme ça on sait qu'il y a un T."

Il a une technique particulière parfois, tu sais, tu connais Le Bourgeois Gentilhomme de l'ami Jean-Baptiste ?
Le passage à propos de "Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour", tu maîtrises ?
Bah il fait un peu près pareil.
Il prend des mots, il les mélange dans tous les sens, et comme ça il arrive à faire 14.521 phrases différentes, mais qui veulent toutes dire pareil.
Hier il a réussi ça avec principalemnt les mots "propagation", "libre-échange" (parler de libre-échange au milieu des communistes !), "Europe", et "céréales".

Et bien sûr, il fait des blagues, même pas des blagues d'historiens qui sont compréhensibles que pour ceux qui connaissent les dates du règne de Justinien (aucune idée, j'ai oublié) ou le nom des ministres de Louis XIV (aucune idée, j'ai oublié aussi), nan juste des blagues normales pas drôles compréhensibles par le commun des mortels sans culture historique particulière.
"Des blablabla peu chers - rien à voir avec Marseille" (elle il nous a avoué qu'il l'avait préparée depuis deux semaines, avoue qu'elle valait le déplacement (j't'explique pas le lien avec "peuchère", ça va ?)).
"... comme l'or - c'est pas le café."

Là tu te dois d'avouer que tu comprends parfaitement les rires convulsifs de l'assemblée, environ un par exemple cité, plus tous ceux que j'ai pas notés, des fois je prenais le cours mine de néant.
Mais n'empêche que ça passe le temps de noter tout ça, hein, t'as moins l'impression d'être à l'agonie, et les gémissements de souffrance paraissent plus lointains, c'est tout bénéf'.


De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

Lucky mais pas Luke.

Samedi, 20 octobre 2007.

Là j'ai décidé de te raconter comme je suis chanceuse comme bonhommette dans mon genre, à l'aide d'un exemple EXCLUSIF.
Ensuite possiblement je serai motivée pour te parler d'un de mes cours du vendredi après-m', à l'aide de toutes les petites notes que j'ai prises hier durant le sus-cité.
Maintenant que tu sais de quoi je vais parler, tu peux t'enfuir en courant et me laisser faire mon monologue, voilà, t'es sûr que tu vas rien rater de croustillant.

Donc, bonhommette chanceuse, et je vais pas te parler de verre qui tombe de l'imprimante, j'ai déjà fait ça.
Nan, là c'est tout de suite plus conséquent.
Alors, mise en situation :
Vendredi dernier (dans mon cerveau vendredi dernier c'est celui de la semaine dernière, pas hier, alors que c'est bête quand on y pense, le dernier vendredi c'était hier, mais je ne peux rien faire à ma logique décharnée, t'excuseras), vendredi dernier disais-je, le pénultième vendredi par rapport à ici en fait, journée mémorable entre toutes, je me suis sustentée le midi à la pizzeria du RU (restaurant universitaire, toujours) en compagnie des très honorables grelon géant et Youguette (ordre alpha évidemment).
[D'ailleurs j'ai mangé une pizza quatre fromages avec seulement trois fromages, qu'est-ce que le point ?]
Hugh (= Youguette, pour les nuls en prononciation et associations d'idées) nous a quittées à 13h45 pour se diriger vers Brad Pitt, et en fait le bidule c'est que j'ai pas fait le rapprochement entre il est 13h45, je commence à 14h, j'ai pas le temps de manger un dessert.
Du coup avec Elo on a commandé un dessert, mais à un moment quand même j'ai vu l'heure et j'ai dit je vais envoyer un message pour demander si par hasard j'aurais pas l'autorisation de m'abstenir d'aller en cours, avec d'EXCELLENTS arguments, mais on m'a dit nan j'vais t'en vouloir, ohoh, super.
Et c'est donc pour cela qu'avec icelle nous avons mis au point un plan machiavélique qui s'intitule : on se sustente tranquill', on arrive à la fac et il sera trop tard alors Emil ira en cours qu'à 15h, et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes si elle s'arrange pour ne pas mentir mais également ne pas faire comprendre qu'elle a malencontreusmeent raté une heure de cours.
Tu penses que quand ma survie et ma culpabilité en dépendent, je maitrise à fond ça.
De ce fait, on a appliqué notre plan à la lettre et au lieu d'abandonner la jeune damoiselle à 14h pour filer comme le vent à un cours barbant (au quatrième étage, qui plus est), on est restées ensemble un peu plus longtemps, vu que le cours était commencé quand on est arrivées sur le campus.

Puis à 15h j'étais en cours, à 15h08 je recevais un SMS, à 15h56 je sortais de la salle et voilà ceci est une autre histoire.

Bon c'était une longue mise en situation, mais j'y peux rien fallait connaître ma vie dans le détail (et encore je t'ai pas dit comment j'étais habillée (j'avais un jean, un sous-pull noir à manches longues, un t-shirt rouge avec col en V, mes chaussures d'amour, tout ça ^^)).

Ensuite deuxième partie de l'intrigue, la partie j'ai de la chance (comme sur Google).
Hier je vais au cours à 14h, après m'être plongée avec délectation dans la biographie de Louis XIV en attendant qu'il soit l'heure du palpitanisme, et puis alors le prof arrive, tout ça tout ça, et qu'ai-je appris avec une surprenante surprise ?
Ben, (si t'as pas deviné encore) il était pas là la semaine dernière ! D'après ce que j'ai compris suivant la conversation des jeunes communistes derrière moi, il s'est pointé au début du cours et il a dit quelque chose du genre "il faut que je décampe" et il a filé tel le mistral.
Du coup, j'ai même pas besoin de rattraper le cours par mes propres moyens, haha.

Allez, j'ai de la chance hein ?

Et pour ma réhabilitation à la suite de la lecture de la mise en situation auprès d'un jeune homme, techniquement on peut dire que j'ai pas séché, même si sur le moment j'étais pas au courant =)

P'is là je te parlerais bien dudit cours, et surtout dudit prof, mais je sens ça va faire long comme article, alors je clos lui et je me mets à la rédaction d'un nouveau après avoir posté lui, d'ac ?

Un brin d'ironie, mais j'ai mis ça dans la catégorie "histoire d'étudier" alors que je t'explique comment je suis pas allée en cours, ouais ouais.
J'espère que t'as remarqué le méga jeu de mots avec "histoire d'étudier", vu que j'étudie l'histoire, au moins.


De krommlech.

Rangé dans Histoire d'étudier.

Vespéral.

Vendredi, 19 octobre 2007.

Parfois ça fait de petites bulles d'espoir, qui éclatent. J'en parle pas tellement, sinon à la déception s'ajouterait la culpabilité, et puis aussi parce que c'est pas le genre de sujet qui m'attire particulièrement.
Une fois j'ai téléphoné, quand une de ces petites bulles a éclaté, en clignant très rapidement des yeux pour empêcher le petit goût salé de se répandre sur les joues. Avec une voix pas très amicale, c'est difficile de tout contrôler, je crois, les dimanches matins le prouvent. Sans regarder dans le miroir, parce que les seules choses que je peux voir dans le miroir sont moi en train de sourire, s'il doit y avoir un "moi" dans le miroir.

Je suis dans mon lit, Bonnet à gauche, Edgar à droite, la couette remontée jusqu'au menton, dans un sweat-shirt en polaire que je retirerai au milieu de la nuit parce que j'aurai trop chaud, mais en attendant il est là sans regarder les minutes qui défilent, sans voir mon chat dans le noir, et je me dis ça, je me le dis TEL QUEL, et je me dis je dormirai pas beaucoup plus, alors je viens l'écrire pour dormir beaucoup plus après.
Je me relève et je rallume l'ordi, la lampe de bureau pour ne pas être trop éblouie par la page blanche de Wordpad, je tape ça, et je vais l'enregistrer en me disant que je le posterai demain.
Demain si je le relis je vais me dire que non, faut pas le poster, ça va servir à rien à part.
Mais peut-être que je le ferai quand même; je crois que ça dépendra de je ne sais quoi.

Là à part regarder les cinq pièces de cinq centimes posées sur mon bureau, une de chaque pays, sans faire exprés, rangées dans l'ordre croissant, de la moins à la plus brillante, l'ialienne la moins, la belge la plus, je vois plus quoi faire par ici.

Il reste trois pattes à Ursula la pieuvre-qui-colore-la-langue, mais on dit des tentacules, j'ai soif mais pas grand chose sous la main.

Du coup je pense que je vais enregistrer, me relever, boire, éteindre l'ordi, et retourner serrer Bonnet et Edgar dans mes bras, en me disant pour demain soir que j'ai bien fait de dire non, parce qu'il y a le verbe "manquer" dans mon esprit, juste maintenant (maintenant, et souvent, pour la rime et pour l'exactitude).

Et demain quand je relirai ça je me dirai peut-être que ça sert à rien de le poster, mais je le posterai quand même pour voir.
Surtout que je me souviens du dessin d'Elo, je dois pas tapoter des trucs et les effacer, alors voilà.

Haha, Morphée se rapproche, un bâillement !

En fait si je le poste quand même.
C'était pas spécialement hier soir, y'a juste un lien de cause à effet, si tu le vois, entre mon portable sonne quand il est 21h et le ci-dessus, même s'il était pas 21h quand je l'ai écrit.

De krommlech.

Rangé dans Guilleret c'est où ?

Maintenant à chaque fois que je passe par la petite rue piétonne-piste cyclable pour aller à la fac, je pense à deux bouteilles de 7UP posées contre le mur. Ça me fait sourire.
Petit à petit je me remplis d'associations d'idées.
Là en ce moment ça me fait souvent penser à quelque chose du genre est-ce que je serais capable de rester plusieurs mois toute seule dans un appart', à genre des centaines de kilomètres de mes amis ma famille et mon chat, à devoir travailler ('fin plutôt, chercher du travail, disons), m'occuper du sus-cité (l'appartement donc), et tous ces trucs de grands là, point d'interrogation.
Sinon je pense à "mon dieu, j'ai osé dire ça ? Impressionnant !" et ça me fait rire, ou à un message que j'ai reçu hier quand le train arrivait en gare de Rosières (à l'époque où les trains circulaient encore, haha), qui m'a fait rire aussi même si (d'ailleurs, ça baigne mieux ?).
Souvent les associations d'idées c'est des choses qui me font sourire ou même éclater de rire, ou même étouffer un rire, enfin tu vois des verbes avec "rir" dedans, sauf "souffrir" un peu, parce que je suis pas masochiste saperlipopette.

Tout à l'heure j'ai du partir à la fac (où je suis à cet instant précis où je tapote ça, même si je posterai qu'en rentrant chez moi vu que je suis dans une jolie salle où ils ont bloqués l'accès à Internet), alors qu'il me restait 15 pages de Harry Potter tome 7, et laisser le livre posé sur mon lit, sans savoir finir parce que le bus m'aurait pas attendu (le Sub, c'est le bien (3) quand les niouks de la SNCF se plaignent de leur retraite).
Je devais faire un choix, à savoir j'ai 1h30 de transport et quinze pages de lecture, et plus d'écouteurs pour mon lecteur MP3, ou alors j'ai 1h30 de transport et j'entame un nouveau livre ? Je pouvais pas emmener les deux, c'pas que je suis à fond contre les sacs lourds, mais ils pesaient leur poids, les deux braves là (le sac d'un fac d'historien est censé être vide, à la rigueur avec deux feuilles vierges et un stylo, pour faire croire qu'il travaille).
Du coup je suis partie (14h14 (pas eu le temps de compter c'est passé à 15 (personne pense à moooooooooi BOUHOUHOUH))) avec la biographie de Louis XIV (où pour l'instant je lis du mal de Julot (Mazarin de son p'tit nom francisé) parce qu'il était bougre un brin (mais pas trop quand même)). Et les QUINZE dernières pages de Harry Potter vont devoir attendre mon retour triomphal ce soir pour laisser échapper leur suspens.
Alors que, c'est pas de notoriété publique que je DÉTESTE le suspens (sauf quand, hein) ? Je te le donne en quatre mille, si tout à fait, ça l'est.

Hier j'ai détesté très fortement la dernière phrase du chapitre 31 ou 32 je sais plus exactement (j'ai rien sous la main pour vérifier). À la rigueur je me demande si j'ai pas détesté la dernière phrase du chapitre 31 ET celle du chapitre 32.
Ou alors c'était 30 et 31, ne me fais pas hésiter comme ça quand j'ai rien sous la main pour vérifier ou je vais sûrement sombrer dans la folie.

George sinon c'est toujours mon préféré, c'est le meilleur. Un peu comme Georges mon yéti, sauf que lui il a un S au bout, et que là il dort par terre depuis quelques jours.

Et puis la souris de l'ordi elle est moche, un mélange entre du blanc qui est devenu sale, donc ivoire un peu, et du gris, très mauvais mélange. Pas assortie à l'ordi qui plus est.

[Là j'arrête d'écrire parce qu'il y a quelqu'un à côté de moi et je suis parano qu'elle lise ce que j'écris (ce qui est stupide vu que je vais le mettre sur mon blog, mais je SUIS stupide, c'est pas la découverte du siècle) mais quand même on sait jamais et si elle lit des trucs à propos de 7UP, nan j'ai pas envie.
En plus je sais plus quoi dire parce que j'avais déjà pas grand chose à dire au départ, faut dire.]

Hier on m'a demandé pourquoi j'aime Lise.
Pas dans le genre "nan mais vraiment qu'est-ce que tu lui trouves à cette bougresse", hein, soyons pas dingue, juste dans le genre pourquoi tu l'aimes.
J'ai dit un peu quelque chose du genre "parce que c'est elle" (oh, c'est beau !), sinon j'avais pas envie de me tartir à faire la liste de ses qualités (j'avais pas quinze mille ans d'vant moi) et tous les trucs qui font que.

Et je me demande grandement pourquoi je te raconte ça, parce que :
PETIT UN, tu es la personne qui m'a demandé et tu sais déjà ce que je viens de dire.
PETIT DEUX, tu es pas la personne qui m'a demandé et donc je suppose que la réponse t'intéresse pas si tu m'as jamais posé la question (magnifique logique).

On fait, pose une question, tiens, si quelque chose te turlupine (j'adore ce mot) à mon propos.

[Oui en fait la fille elle me tourne le dos à côté donc je peux continuer à écrire, et il est 14h32 j'ai cours dans 28 minutes au quatrième étage et je dois juste aller boire à la cafét' (ça fait Hélène et les garçons) avant, le temps est à moi (ça me fait une autre association d'idée, une pression dans la main quand j'ai dit au premier semestre j'allais à la cafét' le vendredi matin avec Alex et Antony).]

[Mais en fait non, je continue plus.]

On m'a aussi demandé pourquoi j'aime l'automne et les coquelicots et les Opel Corsa et ma soeur et la Belgique et la France et Moi, et d'autres choses peut-être je me souviens plus, pas juste Lise, au fait.

Et à la SNCF ils font bien leur travail quand il s'agit de pas faire leur travail, justement, sur le panneau d'annonce des trains, y'en avait un d'écrit, le TGV qui allait à Paris, et c'est tout, au r'voir m'sieurs-dames.


De krommlech.

Rangé dans Plein de trucs.

La SNCF est mon amie (haha).

Mercredi, 17 octobre 2007.



C'est des désopilants à la SNCF, je leur ai pas dit
que demain je commence exceptionnellement à 15h ?

Là en fait si tu te demandes, je suis dans ma chambrette à l'heure où je devrais avoir ce chouette cours d'histoire des religions en Allemagne blablabla (j'suis même pas ironique en plus, j'l'aime bien en fait), parce qu'après avoir attendu le train pendant une vingtaine de minutes je me suis dit autant regagner la chaleur du foyer familial, vu que la prof nous trouve déjà en retard quand on est à l'heure, hein.

Je t'ai déjà parlé de mon grand amour pour la SNCF ?

De ce fait je vais aller prendre un train vers 9h dans la joie et l'allégresse, et détester la SNCF, et trouver comment rattraper le cours que j'ai loupé, et arrêter de te raconter mon existence qui te palpite pas un maximoum.

Oui j'vais faire ça.

Au fait tu sais pas c'est quoi leur raison (valable) de ce plaindre, cette fois-ci ?

De krommlech.

Rangé dans Pas douétitude innée.

Totale improvisation.

Mardi, 16 octobre 2007.

Saperlipopette, j'ai cours dans 15 minutes.

Et je viens de remarquer un bidule, sur la page d'ajout d'articles de Cow, il faut accepter les conditions, mais je me suis tromp(ett)ée, et j'ai mis annuler, alors là 'rdinateur il m'a demandé si je voulais vraiment quitter la page ou si je m'essayais à l'humour, je lui ai répondu je sais je suis désopilante (soit, nan j'veux pas la quitter j'ai juste la pasdouétitude en moi), et là il m'a mis sur la page où on peut tapoter l'article.
DE CE FAIT, on peut en conclure que j'ai le droit d'enfreindre les lois de Cow et de mettre des photos de gens qui veulent pas, les insulter, faire un article-image, et écrire en SMS.
Ou alors la totale comme l'essence qui est chère, faire un article-image où je mets une photo d'un Bobby en l'insultant en langage SMS.
Et j'ai le droit vu que j'ai pas accepté les conditions, hahaha si c'est pas magique.

Sauf que, étant sur les ordis de la fac je n'ai point de photo de gens que je pourrais insulter sous la main, vu que j'ai personne à insulter de toute façon, brave bonhommette que je suis.
Et je perds un brin le langage SMS, même dans mes SMS, c'est la déchéance, heureusement que mes cours sont là pour me rappeller la voie divine de l'dolescence qu'est l'absence d'orthographe et le gain maximal de caractères (que j'écris Krt, mais ça peut vouloir dire caractéristique aussi, ça dépend du contexte).

Donc tu l'auras compris j'ai fait une découverte qui ne me sert à rien, mais ça c'est comme le noms des inventeurs de la fermeture à glissière.

Sur ce je vais aller voguer vers le cours d'histoire moderne (que je n'ai pas préparé vu que j'avais l'intention d'y aller demain matin et pas aujourd'hui, même honnêteté quand tu nous tiens "Et vous pouvez aller au cours de ce soir ,?"Oui, oui." Admire =)).
En même temps j'avoue même en y allant demain je mettrais aps ma main à couper que je l'aurais préparé, mais j'aurauis au moins regardé les documents histoire de pas avoir l'air d'être observé un ziti.

Nan mais j'me tais là, tss tss dis-moi de me taire quand je te dis que je dois y aller.

P.S. : Joyeux z'anniversaire Oscaaaaaaaaaaar (et Nicolas, soyons pas dingues).
Bien qu'au cn des deux ne lira ceci, peut m'importe.

Voilà, j'ai cours dans trois minutes.

De krommlech.

Rangé dans SCF, Sans catégorie fixe.

Jeudi je suis allée acheter un cadeau d'anniversaire à mon popa (des casse-tête chinois, très désopilant de le regarder s'escrimer à résoudre le bidule) et j'étais à Natures et découvertes, et j'ai vu un ours en peluche et je suis tombée amoureuse de lui parce qu'il est beige et mignon, et doux comme Bonnet environ, tu comprends l'extase.

Je te montre même à quoi il ressemble tellement je suis gentille.
(Sur le site de N&D, il est dans la catégorie "Jeux et jouets, 3 à 6 ans", haha n'imp)

"Ce petit ours est toujours prêt pour de longs moments de tendresse ! Tout doux, il se laissera câliner au moment d'aller se coucher. Son allure intemporelle réjouira les petits comme les grands, qui retrouveront avec lui tous leurs souvenirs d'enfance…"

Après on était vendredi et après que je sois sortie de cours et que j'aie rejoint m'sieur mon fiancé à la sortie de la salle (même que j'ai pas eu le droit de m'abstenir d'y aller pour le rejoindre une heure plus tôt, tu vois l'arnaque un peu ?) et qu'on ait acheté des billets de train pour aller à Paris dans quelques temps (d'ailleurs, tu savais que depuis dimanche dernier ils ont viré les tarifs Découverte 12-25 ? C'est des drôles à la SNCF), on est allés voir des magasins et là j'ai dit un truc du genre je suis tombée amoureuse de lui hier quand on est passés devant Teddy (ils ont dit il s'appelle Teddy), et après il s'est passé quelque chose du genre, m'sieur mon fiancé m'a tendu un sac de chez Nature et Découvertes et maintenant Teddy il vit dans ma chambre, il s'appelle Edgar et il a dormi dans mes bras cette nuit (en fait, du côté gauche, à droite y'avait Bonnet).
Même Krommlech elle l'aime.
Krommlech aime Edgar, et monsieur mon fiancé, ça marche pour les deux.

Et j'ai un petit peu décidé que c'était la seule chose que je te racontais de mon (notre) week-end tellement j'ai pas envie de te dire le reste (et aussi tellement j'ai dit que je relisais mes cours des trois dernières semaines, les triais, rangeais, faisais des fiches et tout, et qu'il est déjà 16h14).
T'façon tu risquerais d'être jaloux et je suis trop pleine de bonté pour imposer ce sentiment dans ton cœur (haha).



Ça donne envie de faire un câlin, hein ? (Tu dois répondre, oui, bien sûr)

De krommlech.

Rangé dans

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