krommlech

J'ai plusieurs blablabla à te raconter, aujourd'hui. À propos de courrier pour exempler, mais pas pour critiquer mon amie la Poste, ohohoh, innovation en chaumière !
Puis un autre truc mais je sais plus quoi en vrai.
Pis un autre truc et c'est à propos de pomme.

Tout à l'heure je revenais pédestrement de la "gare" (haha) et puis cette réflexion me traversa l'esprit : "HAAAA mais pomme il va avoir 23 ans bientôt". Mais en fait il est vieux !
Parce qu'en fait il est censé avoir trois ans de plus que moi, mais j'en ai que 19, nom d'un minuscule bonhomme.

Enfin c'est une remarque tout à fait palpitante mais je trouvais que le 23 sonne méga beaucoup.
C'est comme les 18 ans de mon cousin, quoi. Il est allé les chercher où, les 18, en tout sérieux ?

L'autre truc je m'en souvenais plus alors je dis pas.

Mais après en fait je me suis souvenue (parce qu'en vrai l'article a pas été écrit en un coup, entre temps j'ai vécu ma vie de euh, fille de 19 ans qui a faim le samedi soir, ou machin du genre).
Je voulais dire que tout à l'heure j'ai vu Dyonisos !
Pas le groupe, hein, parce que bon je connais une seule chanson d'eux (quand j'étais petit, j'étais un Jedi, j'adhère) mais le dieu. Romain ou Grec, je ne sais plus et c'est bien malheureux.
Mais bref c'était Bacchus-Dyonisos (comme ça tout le monde est jouasse) et il était fait en nuage.
Juste je levais les yeux au ciel et bim, son visage m'apparut, et tout de suite je le reconnus. Mais j'aime pas le vin en fait.


L'autre autre truc c'est ce matin j'ai reçu du courrier.

C'était une grande enveloppe blanche format A4.
Dans une grande enveloppe blanche format A4 en théorie on peut penser qu'il y a beaucoup de feuilles.
Dans la grande enveloppe blanche format A4, y'avait une feuille blanche format A4. Avec six lignes d'écriture, qui plus est.

C'est une entreprise elle m'a envoyé une lettre pour me dire que j'étais pas embauchée en juillet (saprelotte, j'avais pas remarqué).

Dans cette entreprise, un jour, ils ont réalisé une enquête très sérieuse.
Elle était intitulée : Qu'est-ce qui coûterait le moins cher, acheter que de grandes enveloppes blanches format A4 ou embaucher quelqu'un pour plier les courriers en trois ?
Ils se sont dit après mûre réflexion que les enveloppes se mettraient pas en grève et qu'elles demanderaient pas de congé maternité (ou pater, c'est selon).
Du coup ils ont abandonné l'idée du plieur de feuille en trois et ils ont engagé plein plein de grandes enveloppes blanches format A4 pour mettre leurs six lignes d'écriture dedans.
T'façon ils s'en foutent ils ont jamais rêvé de visiter la forêt amazonienne, alors bon.

P.S. : Mauvais marché il faut arrêter de me complimenter, que tu sois un homme, une femme, un cheval ou un mouton (je connais pas personnellement tout mon lectorat, alors on sait pas, peut-être Dolly me lit-elle du paradis des moutons (ôte-moi d'un doute, elle est bien trépassée Dolly ?)). Parce qu'après je ne me sens plus de joie comme le corbeau là (c'est très animalier comme P.S.) p'is dans l'ensemble j'aimerais garder mon fromage.
Par contre si un jour éventuellement je dis un truc drôle tu pourrais peut-être, peut-être.

Très cher joli gentil et vivifiant mauvais marché (c'et une entrée en matière comme une autre) je suis venue te dire pas que je m'en vais, parce que j'ai encore le temps pour ça, mais te dire je sais même pas quoi au juste, je fais de l'improvisation.

Parce que j'ai envie d'écrire mais pas de parloter virtuellement, pas de dormir, pas de lire, pas d'autre-ir(e).

Je suis plutôt contente parce que je te rappelle que je suis une fille chanceuse dans l'ensemble. L'ensemble des réels positifs privé de zéro, par exemple.

Hier je pensais au fait de faire baptiser ses enfants, va savoir pourquoi. J'adhère pas à l'idée, pas pour un quelconque athéisme ou quoi (j'ai décidé de plus me prononcer quant à une quelconque religion ou areligion que je pourrais avoir parce que la réponse m'a l'air pas mise au point (comme avant que je découvre le mode macro sur mon appareil photo, ouais enfin j'étais jeune et innocente (je le suis toujours))) mais c'est juste pour le coup d'imposer une religion à un enfant sans lui demander son avis. Je pense que c'est une conversation que j'aurai dans quelques années avec pomme de pin, et qui aura le mérite d'être réjouissante, jusqu'à ce que l'un de nous cède (youp).

J'annonçais que j'avais pas méga envie d'aller sur MSN, et la logique du truc que j'ai comprise, c'est que quand j'ai pas envie d'y aller c'est précisément le moment le plus malin pour y aller.
Pour parler à ces gens que je vois demain (ou aujourd'hui, vu l'heure)), dans trois semaines ou dans un an.
En vrai ça sera peut-être un peu plus qu'un an, on verra ce que l'été prochain nous réserve (une question me traverse l'esprit et tiens pomme de pin si jamais tu passes par ici ce week-end, dis-moi, quand tu seras muté sur ton bateau-navire l'année prochaine, ou je sais pas quels termes utiliser, à quel moment est-ce que tu sauras quand tu décanilles sur mer et m'abandonne sur terre pour de longs mois (hisse et oh, Santiano, sauf que je m'appelle pas Margaux) ?).
C'est une question qui me traverse l'esprit depuis disons mardi, depuis que le temps est devenu trop long.

J'ai toujours du mal à envisager qu'on puisse passer un quart, voire un tiers de l'année loin l'un de l'autre, d'affilée, ça risque de me faire sombrer du côté dinguote-absence de sourire de la force, ou quoi.

Surtout que m'est venue cette réflexion à l'esprit, je suis pas censée survivre toute seule dans un appartement.
Je dis environ depuis que je suis en âge d'y réfléchir, en poignardant dans le dos toutes les féministes (haha) que quand je quitterai la maison de mes parents ce sera pour vivre avec mon mari.

J'ai pas le potentiel pour être indépendante, diantre, je sais même pas me servir de la machine à laver, à 19 ans, tu avoueras que c'est franchement scandaleux.

J'avais pas prévu dans le plan que le mari en question (ou fiancé, pour quelques moments encore) serait un marin (j'avais écrit Martin, haha). Je suis même pas allée te chercher en Bretagne, pourtant, pomme de pin, au beau milieu du Brabant Walllon, qui l'eut cru ?

J'aime bien parfois écrire ce qu'il faut sur mon blog, et d'autres fois non.

J'ai décidé par une curieuse envie de ne plus réfréner mes envies de poster des articles (hahaha). J'te jure je le faisais des fois. Vu la quantité qui traîne par ici ça semble improbable un peu, je trouve.
La censure qui m'interdit de parler le soir pour cause de regain de sérieux a chu, pas pour des raisons d'introspection, haha, mauvais marché, ne te fourvoie pas.

Le dernier article nocturne que j'ai posté m'a apporté une nouvelle connaissance (mais je ne le connais pas, bla, bla, bla (même pas besoin que tu sois là pour avoir les réflexions appropriées, haha)). Et sait-on jamais, que l'expérience se réitère.

N'en déplaise à cette jeune pomme de pin (et je sais que ça lui déplaît), il semblerait que ses absences m'apportent de nouvelles connaissances, ce qui tend à prouver que mon petit monde tourne quasiment uniquement autour de pomme quand il est là.

Haha, jeune personne qui me lit, me parle et me connait, sois joyeux, il repart en octobre, je serai de nouveau tout à fait disponible.

Cette nouvelle connaissance dont je parlais, n'en re-déplaise à pomme (scrogneugneu, totem) en plus de m'être sympathique, à une qualité inconnue jusqu'alors dans mon entourage.
Il y eut la Suisse, le Centre, la Belgique, le Sud, l'Ouest, et bien sûr l'Est qui m'entoure chaque jour, introduisons maintenant le Nord.
Pile poil poule l'endroit où je devrais me rendre, et où je me rendrai, l'an prochain, la licence dans la poche et le master en vue. Si les choses se déroulent comme elles doivent se dérouler. Mais je suis chanceuse, je te rappelle, ça force l'optimisme, et la relativisation est un recours.

Ce qui implique, pour ceux qui ne suivent pas, ou que ça n'intéresse pas, qu'en plus du joli marin qui me manque plus que jamais (en même temps je dois dire que jamais me manque pas, je sais même pas qui c'est), j'aurai une connaissance par là-bas.

La bonne nouvelle d'habiter avec pomme de pin a parfois du mal à se suffire à elle-même, notamment en juillet, qui est, je te le rappelle, le mois de l'attente, de l'ennui et de la glande.
Juillet me rappelle qu'il est chouette de vivre avec lui mais qu'il faudra aussi accepter de le voir partir. Juillet n'est pas utile pour que je me souvienne que ma famille, celle dont je suis fan, mes amis, ceux qui ne sont déjà pas loin physiquement pour cause d'habitation dans le Sud ensoleillé (j'espère que la nouvelle sera bonne lundi =)), mon chat, qui n'est bien que proche physiquement, étant donné son peu de conversation, seront restés dans le Nord-Est où se range la Lorraine, ou éparpillés ailleurs dans le monde si tel est leur désir.

Après avoir fini gentiment ma deuxième année de licence, deux constats peuvent se faire.
Petit UN, c'est quand même plus facile d'avoir de meilleurs résultats quand on révise. Il ne m'aura fallu que 14 années d'école (je ne compte pas la maternelle, merci mal) pour m'en rendre compte, bon timing.
Petit DEUX, je suis carrément pas faite pour faire de nouvelles rencontres, si l'on en croit le nombre de gens de la fac qui sont devenus pour moi ne serait-ce que de vagues connaissances. je rassemble mes forces, je compte, aucune.

Juillet à donc tendance à ternir mes pensées, mais pour faire revenir un sourire, oh, il suffit d'allumer ma webcam, c'est bien connu que je ne peux que sourire en présence de mon visage sur un écran.
C'est pas tellement une histoire de narcissisme, c'est juste la vieille habitude de voir mon visage souriant dans une glace.

Je m'demande vraiment comment ils font, là, ces couples que je croise parfois au détour d'un blog, les relations longues distance qui ne s'accordent de la proximité que pendant les vacances scolaires, ou autre.
Erf, ça me semble improbable de rester tant de temps sans se voir.

Comme je le disais, je disais rien de construit, vu l'heure tardive et le brouille boruille de mes pensées.

Brouille-brouille, ça n'existe pas comme mot, n'essaye pas de l'utiliser pour avoir l'air cultivé. Mais tu peux filer l'adresse de mon blog pour montrer que tu lis de bonnes choses par contre. Enfin je plaisante.

J'aime pas écrire des descriptions, enfin j'aime pas décrire, et c'est peut-être pour ça qu'en règle générale j'aime pas parler de ce que je ressens-qui-ne-sautille-pas-de-joie, j'y songe.
J'veux dire, les pensées sont bloquées, elles tournent plus.

Je peux pas palabrer mille ans sur le fait que pomme de pin me manque, parce qu'une fois que c'est dit, mais y'a plus rien à dire, saperlipopette.

Je sais pas non plus décrire un lieu fantastique, à moins que j'introduise des coquelicots multicolores, plein de coccinelles et peut-être un ciel vert. Uniquement si l'herbe est bleue, cela dit.

Donc là c'est le moment ou soit j'arrête soit je continue sur ma lancer en disant de pire en pire (ça ne veut rien dire, j'en ai conscience, mais ça exprime bien mon idée cependant).

Pomme il a dit qu'il me construirait un truc chouette avec son fer à souder, qu'il serait un bidule pour m'aider à prendre des décisions. D'unbe part, c'est totalement inutile, d'autre part, c'est totalement rigolo, je crois que j'adhère à cette idée.
Mais dans l'attente dudit objet, et en l'absence d'une pièce de 50 cents (les Belges ils disent pas centimes, quel peuple étrange) qui pourrait pile ou facer pour moi, me voici cntrainte de continuer.

Puisque de toute façon à part quelques suicidaires et les gens dont le niveau d'ennui a du aterrir en-dessous de la limite du supportable (soit, dans la fosse des Mariannes), je pense que plus personne ne me lit, je peux donc dire tout et n'importe quoi.

Même raconter des secrets honteuyx sur moi, ou genre.
Le problème majeur est que j'ai pas de secret honteux. J'aime même pas de secret qui est pas honteux, je crois.
Enfin j'ai bien du secret en réserve mais il m'appartient pas, alors je le laisse enhtre mes deux oreilles.


Qu'est-ce que je pourrais avoir comme secret ?


Bien sûr, à la vue de la taille de l'article, tu imagines bien que je me suis pas tartie à relire, donc tu pourras bien gentiment excuser mes fautes de frappe, d'orthographe, de grammaire, de conjugaison, et autres encore. Et me signaler s'il y a de telles choses (sauf les fautes de frappe, ça me passe au-dessus du genou) afin que je meure de honte puis rectifie ça.

C'est rigolo cet article je trouve, c'est comme si je parlais à quelqu'un pendant un moment et qu'il oubliait de m'arrêter de parler, je continue, je ontinue, et on ne m'arrête plus.

C'est tout à fait vivifiant.
 

La super idée de demander à la barre de tâches de se faire la malle quand je lui demande rien, c'est tout à l'heure.
J'étais sur Mozilla avec plusieurs onglets ouverts comme euh, souvent, puis la musique, et d'un coup ça s'est mis à faire"BIP... ... ... BIP... ... ... BIP... ... ..." comme ça à intervalles assez réguliers, assez strssant dans l'ensemble.

Je me suis demandé si ça venait pas de la musique mais nan nan vu que la chanson a changé et ça le faisait toujours. Je me suis demandé si ça venait pas du blog inconnu que j'avais ouvert, comme musique de fond ou que sais-je (hééé, on sait jamais, hein ! Un fan de Grey's Anatomy, Dr House, Urgences, Scrubs, autre, qui met un monitoring, en fond, ou bidule du genre).
En fait j'ai fermé Mozilla, mais le bruit étrange courait toujours.

Ohoh, un mystère à la boule de chewing-gum, te dis-tu.
Encore que j'ai quelque peu flingué le suspens avec ma première phrase, mais fais comme si.

Pour résumer, j'avais plus que le Lecteur Windows Media ouvert sur l'ordi (un jour j'essayerai iTunes, quand même), et un truc qui me disait que le rythme cardiaque dudit était stable.
Nulle raison de s'inquiéter, en somme, surtout au moment où je me suis rendue compte qu'une pub c'était insidieusement ouverte quand j'étais sur Cowblog sans me prévenir (bougresse) et qu'elle faisait BIP à chaque fois qu'elle changeait d'image.

Voilà, pasdouétitude innée, on se refait pas.

Et je fais un bis vu que j'ai décidé.

Je fais ma liste des gens auxquels je dois écrire cet été pendant que nous voguons voituriquement en France, et une fois que j'ai fini, j'avais même pas 15 personnes, donc trouvant ceci plus que louche, je me suis dit j'ai du en oublier saperlipopette.
Donc j'ai pris Sammy-mon-ami (Samsung, toujours) dans la main droite et je me suis mise à parcourir gentiment le répertoire pour voir qui j'aurais éventuellement oublié, et là je tombe sur "Florent".

Figure-toi que j'ai pas la moindre idée de qui c'est, en fait.

Est-ce que tu sais qui est ce Florent qui git dans mon répertoire ? Un truc qui commence par 06.87, si jamais.

Sinon, des fois que j'ai pas ton adresse mais que peut-être je voudrais t'écrire en août (à toi de le deviner), tu peux me l'envoyer par mail, ou autre, tu sais ?

Pour conclure, ma motivation à faire à peu près tout, y compris adresser la parole aux gens, c'est quelque peu fait la malle depuis deux jours, donc si je suis pas sur MSN ni rien, c'normal.
Au pire des cas ça durera encore une semaine, puis tout sera rentré dans l'ordre.
Mais j'ai pas l'intention de rester une semaine en absence de motivation, soit dit en passant.

La première phrase elle est là juste pour savoir si elle disparaît quand j'ajoute des images, surprise !


Haha, ouais je sais. Je lis les journaux de Mickey de ma petite sœur et c'est plutôt cool.

Sinon dans l'ensemble, je te raconterais bien ma vie comme à l'accoutumée mais je suis habitée par la non-envie de tapoter,, et qui plus est je suis occupée (en plus ce soir y'a Grégoire Leprince-Ringuet et Bruno Wolkovitch sur France 2 alors je ne loupe point).

Par contre j'ai pris des photos ces derniers jours, je les ai miniminiminisée, j'ai mis un bord noir sur une inspiration subite, et je t'en montre quelques unes ça occupera tes yeux peut-être bien.


En plus comme ça tu sais que ces derniers jours j'ai vu des vaches et des chevaux et des poissons et j'ai fait un puzzle et les chats dorment tout le temps. Je faisais du vélo bleu avec une robe bleue et un chapeau bleu mais ça se voit pas sur les photos.
Avec ça, tu peux donc t'estimer heureux que j'ai la flemme de raconter, n'est-ce pas ?

Sinon, j'ai vu Kung-Fu panda aujourd'hui (peut-être un autre jour je te raconte la logique surhumaine de l'UGC (ha non allez aujourd'hui, tiens. Ils mettent un film pour enfants dans une salle où lesdits enfants, s'ils font moins d'1.50m ou genre, voient pas l'écran à cause des dossiers des sièges de la rangée de devant qui le cache. Ouais, CLAPCLAP l'UGC)) et je trouve c'était le film d'animation le plus chouette chouette depuis euh, longtemps. Genre mieux que Ratatouille, pour exempler, trouvé-je (bien que Ratatouille soit associé à un évènement plus que joyeux dans mon esprit).

Le tamanoir est un animal beaucoup trop méconnu.

Ce soir, réhabilitons-le tous en choeur. Ou juste moi, c'est suivant ton niveau de participation.

Ce pauvre tamanoir, qui est aussi appelé grand fourmilier les soirs de fête, est menacé. Ce qui est triste parce que s'il disparaît on le connaîtra encore moins.
Il mange des fourmis, comme son nom de fête l'indique (la langue française est parfois bien faite (mais fais attention, le pingouin ne mange pas de Kinder Pingu, ça ne marche pas à chaque fois !)).

Tu meurs d'envie de savoir également que le tamanoir mesure dans les genre 1.90m, dont 90 centimètres de queue. Et là il se la joue un peu Marsupilami. C'est à dire qu'il se sert de sa queue pas uniquement pour décorer son arrière-train.
Le Marsu il s'amuse à faire ressort ou coup de poing, le tamanoir lui, il fait une couverture avec.
Hééé, t'as vu comme il est malin ?

Le tamanoir est anorexique, rapport au fait que pour 1.90m, il fait juste entre 20 et 40 kilos.
Mais note que vu la taille des fourmis, ça se comprend. Minuscule par rapport à une pomme de terre, pour exempler.
Ensuite, autre truc rigolo chez le tamanoir, il a une langue maxi-format. Genre 60 centimètres. Voilà, sa langue c'est à peu près ton bras. Alors que dans la plupart des cas, il est plus grand que toi, quand même. Note l'exploit.
Par contre il a pas de dents.

Bon p'is ça suffit, si je dis tout après tu peux pas apporter tes connaissances sur le sujet. Parce que je suis sûre que tu es un as du tamanoir, et qu'en plus tu veux étaler ta science, alors fais-toi plaisir !

Aujourd'hui, on parle de "la vie après la mort".
Mais explique-me je (explikeumeuje, whouhou), pas du concept de vie après la mort, très peu pour imou de déborder de profonditude ici (t'façon mon avis se résume avec succinctement), mais juste de l'expression "la vie après la mort".

Elle est moisie.

Comme je suis mignonne (pas au sens joliesque du terme), je t'explique mon raisonnement de dinguotte.

Le principe de la mort, c'est qu'elle clôt la vie, en quelque sorte. Donc, la vie après la mort, c'est un peu réduire à néant les efforts de la grande tondeuse (j'ai probablement déjà expliqué ça, mais il y a longtemps, en anglais, il y a "to mow" qui veut dire faucher ou tondre. Avec une potine on s'est dit que la grande Faucheuse ça doit donc être the big Mower, mais ça veut aussi dire la grande tondeuse (à gazon, accessoiremment). Ce nous fit rire (nous étions jeunes et innocentes (l'une de nous l'est toujours, devine laquelle))).

La biduline, elle s'embêtre à aller dézinguer les gens pour finir leur vie, et paf ils en remettent une couche ?
C'est comme, t'es à une séance de cinéma, le mot "FIN" s'affiche, à la fin (haha, bonjour logique) et hop, le film recommence.
Nan mais la fin doit juste penser qu'on se moque d'elle, un point c'est le total.

Ben pareil, la pauvre mort, si on lui remet de la vie par derrière, elle sert plus à rien.

Voilà, remercie Morphée pour cette palpitante réflexion.


P.S. : Trop supers les commentaires des types du défilé du 14 juillet, ohohoh.
 

Je m'imprègne beaucoup des gens que je lis, je crois.

Je sais pas pour toi, mais quand j'écris je me rends compte de mes changements de style, au gré de mes lectures. Je trouve ça assez perturbant, dans l'ensemble.

Je suis incapable d'avoir un style qui m'est propre, malgré mes expressions, les mots que je vais chercher parmi les oubliés, mes idées et mon n'importe quoi, il faut toujours qu'il y ait l'ombre d'une autre plume derrière.

Pomme de pin me manque beaucoup. Voire, beaucoup trop.
Mardi, on sera arrivé à ce moment où le temps qui reste avant de le voir est inférieur au temps qui vient de passer loin de lui. Malencontreusmeent, si je n'y prends pas garde, il y a un problème dans le potage.

Le point est que le jeune homme va passer quatre semaines en octobre sur un autre bateau-navire (peut-être il dormira pas dans un container, cette fois, sait-on jamais). Et puis alors c'est rigolo, et possiblement il aime bien être en mer, alors voilà, mais.
Pour une fois, ce qui est étrange, c'est que pomme relativise plus qu'imou. Lui il voit le côté positif, les quatre semaines tombent pile entre nos deux anniversaires, du coup on va pouvoir être ensemble pour les deux.
Mon point de vue sur le sujet par contre, ça tape plus du côté : quatre semaines c'est long, point.

Par contre, y'a quand même un truc chouette chouette, c'est que depuis quelques jours, je passe de fort intéressantes soirées, ce qui me permet de ne pas trop penser à ça et m'appitoyer sur mon sort, et alors là, j'ai envie de dire, c'est tout bénéf.
Mais c'pas le seul intérêt des soirées, hein (parce que sinon je suis persuadée que les gens sont paranos et se disent halala elle fait ça rien que pour pas s'ennuyer et blabla mais nan, y'a tout la partie plaisir à prendre en compte, aussi (bref, bref, tais-moi Emil)).

Sinon, je me demande, est-ce qu'il y a des gens, quand il leur arrive un truc pas super, ils pensent tout de suite à aller le raconter sur vie de merde ?
J'veux dire, y'en a certains, il leur arrive un truc, paf, ils songent "je vais fairee un article sur mon blog !" (je ne me sens pas visée, ça va).
Mais là, genre : tiens, mon copain me trompe depuis deux ans avec un homme, ha mais c'est cool je vais pouvoir le raconter sur Vie de Merde ! Ouais, ouais, super.

Est-ce que quelqu'un par ici a déjà posté un truc sur ledit site, d'ailleurs ?

P.S. : J'avais pas d'illustration en rapport, alors j'en mets une sans, voilà. Y'a le lien vers le site où je l'ai trouvé sur la photo, si ça t'intéresse.
 

Aujourd'hui, plongeons dans un coquelicot. Tu n'es pas obligé de te mettre en maillot de bain, sauf si tu es Jonathan Rhys-Meyers (ha, ha, ha).

Plouf !


Voilà.

Maintenant qu'on a fait ça, parlons d'autre chose. C'était juste une entrée en article, comme tu veux, je commence par n'importe quoi, pour te mettre dans l'ambiance.

Puis après je dis ce qui me traverse l'esprit, parce qu'il se passe un phénomène formidable, je suis pas capable d'avoir une idée d'article quand je suis en période guillerette. Déjà qu'en temps normal c'pas l'extase, là c'est le bout du rouleau.

Quand on dit le bout du rouleau, est-ce que c'est un des trous (là j'imaghne un rouleau de papier essuie-tout, d'où l'apparition d'un trou qu'on ne trouve pas dans un rouleau à pâtisserie, si tu veux tout savoir), où alors c'est justement un jeu sur le côté circulaire du rouleau qui n'a donc pas de bout, vu de profil (ou de face, suivant où tu es placé dans la pièce) ?

J'ai appris aujourd'hui que les gens qui étaient à la fac en sciences humaines (genre l'histoire, quoi (mais aussi psycho, socio, géo, d'autres trucs en "o")) fumaient plus de joints que les étudiants de fac de pharma, sciences, médecine, etc, etc.
Ça étonne tout le monde, n'est-ce pas ? Et surtout ça passionne la foule, que demander de plus ?

Comme tu vois, tu as vu, tu verras, au choix, en-dessous de ce mirifique article, il yy a un autre article (trop dingue !), sauf qu'il a pas été écrit par moi.
D'ailleurs il est mieux que les miens trouvé-je, ce qui m'emplit de stress, les gens vont s'habituer à de la qualité ou un truc du genre, et je vais devoir dire des choses intéressantes et réfléchies ?
Sinon on dit, l'article du dessous c'était une anti-récréation.
Dans l'univers scolaire, on récréationne en laissant s'envoler ses neurones après trop d'heures de labeur, là opn fait le contraire. Une fois de temps en temps, tu dois rassembler tes neurones pour sortir du n'importe quoi, et voilà.

Ledit article il a été écrit par un monsieur avec qui j'ai parlé un peu-beaucoup (oh, à peine) depuis, genre, moins de 48h.
Donc ça m'apporte la réflexion que des fois, c'est utile de poster un article sur une inspiration subite, parce qu'on rencontre (ou parlote, le cas échéant) avec de chouettes gens et que demander de plus ma brave dame ?
Haha, voici un autre être humain obligé de me supporter, et surtout que je suis en période motivation pour MSNer ce moment (guilleretisme oblige), Monsieur tu n'es pas sorti du pré (hinhin).
[Ha mais d'ailleurs, parenthèse qui parente, j'ai vu tout à l'heure un article qui parlait de mon blog sur un blog (la gloire, mauvais marché) et alors tiens en commentaire quelqu'un qui dit "j'aime bien l'article sur le sourire", mais juste celui-là était pas de moi, haha. Bref.]

Il a mis un lien vers son blog mais je refais parce que le trèfle m'en dit. Ça ressemble un peu à de l'antithèse d'ici, rapport au fait qu'il réflexionne, le jeune homme, du coup ça apporte de la pensée, si jamais tu en manques.

Puis d'autre part, comme la tendance est de passer du coquelet à l'ânon je voudrais ajouter que l'épisode sur la catapulte (qui s'appelle L'étudiant en vrai) c'est tout juste le plus hyper nic-nic de Kaamelott, et donc je le fais choir sous tes yeux, même si je l'ai déhà fait (j'me souviens plus), ça fait rire et c'est bon pour la santé, du coup.

    Intrusion spontanée, mais prévue, paradoxalement. Vous ne trouverez pas ici votre auteur habituelle. Le choc est inévitable. Intuitivement, le sourire se fait naturellement. Dieu a dit que la joie, l'euphorie se résumait lorsqu'on laissait paraître nos dents. Plus elles sont perceptibles, plus vous êtes content. Tout de même étrange le sourire. Le plus étrange, m'apparait quand je constate, que nous exprimons notre joie, de cette manière, instinctivement. Mais est ce que les Homos souriaient à leur époque ? Non. Eux, je crois qu'ils passaient leurs temps à se monter dessus, indisciplinés et réellement bestiaux. Moi, quand je souris, j'y laisse une couleur particulière. Mes sourires ont souvent été sincère, blanc, pur. Mais qui n'a jamais ri "jaune" ? Vous savez, ce sourire géné esquissé pour éviter de véxer l'auteur des blagues carambar. Oui, il se trouve que malheureusement c'est votre ami, pauvre de vous. Le rire jaune, autre occasion de montrer son hypocrisie. Je ne veux pas vexer alors je préfère mentir, l'illusion est tellement plus douce...

    Mais les sourires sont sources d'inspirations pour nombre de gens. Et si les passants souriaient plus, ça inciterait les autres à imiter. Le monde serait alors moins triste, et plus agréable à regarder, peut-être. Imaginez que le sourire ne soit plus une obligation, mais une nécessité, tout irait mieux. Quand on sourit, tout va bien, si c'est sincère. Vos sourires, chers lecteurs, que dis-je, nos sourires ne devraient pas être réservés à nos amis uniquement. Sortons de nos groupuscules, de nos microcosmes, et sourions tels des drogués au gaz hilarant. N'oubliez pas, dans le mot sourire, il y a rire, mais aussi "sou" ; en revanche, c'est tout de même gratuit.

    Evidemment, si j'en étais resté là, les plus gourmands des gourmets seraient réstés sur leurs faims. Il existe une étape supérieure au sourire, omniprésente chez la propriétaire du blog. Mais Dieu vous aime et se fiche de vous. Avec le sourire, il nous a convaincu, c'est agréable à regarder, et facile à accomplir, que demander de plus ? Le rire, bruyant, dérangeant, difficile, en terme de durée, un vrai calvaire. Les gens l'aiment encore moins. Mais certains hommes se targuent d'être drôles, et vous rendent souvent illares, quelle affreuse chose. Le rire, pauvre de lui, aurait dû demeurer spontané et vivace. De nos jours, les salles sombres sont pretextes à tout ces petits plaisirs de la vie, en majorité. C'est dommage. Deux inconnus qui se croisent, jamais ne riront ensemble, dans la rue, vous pouvez dire que j'ai raison, le cas échéant.

    Permettez-moi l'élaboration d'une théorie stupide : Dans un épisode d'une série américaine très connue, regroupant une famille d'humanoïdes jaunes, dont j'ai oublié le nom, afin d'éviter la violation d'un quelconque copyright, les scénaristes ont décidé de reprendre une vieille idée plutôt populaire, à mon goût. " Le rire est le language de l'âme". Alors, me vient une question : Si les gens ne rient pas, est-ce parce qu'ils n'ont pas d'âme, ou parce qu'ils ne croient en aucune religion leur prouvant l'existence d'une telle entité, négligeant ainsi son language pourtant si salvateur ?

    La Publicité nous pousse à l'achat, c'pas la meilleure solution pour vendre. Pour que le client achète, il doit se sentir heureux, c'est mon avis. Si le monde nous poussait au sourire, croyez-le, tout irait mieux. Je vois d'ici les fous, enfermés dans des asiles, parce que leurs yeux expulsent un liquide inconnu. Ces gens qui ne rient pas. Notez que cette logique se voit déjà appliquée actuellement, mais en général, il est préfèrable d'attendre que la personne ait tentée de se pendre pour l'interner. Si on devait enfermer tout ceux qui ne rigolent jamais réellement, c'est-à-dire spontanément, avec n'importe qui, il y aurait plus d'asiles que de maisons. Pourquoi chercher une raison de rire, quand on sait qu'il y en a trop qui nous feraient pleurer, saperlipopette, ce n'est qu'une question de bon sens !

    Riez, et profitez en pour faire rire les autres, l'avantage, c'est que même les cons peuvent le faire, vous voyez, je n'oublie personne !